Christophe Barbier, fan de l’euthanasie active
22 août 2011 00:42, par franckCes dégénérés de lucifériens ont créé une société où il n’est pas possible de vivre dignement et ils ont le culot de nous parler de mourir dans la dignité !
La vaste majorité d’entre nous vivons comme des merdes, que nous l’admettions où non c’est un fait, et on nous parle de mourir dignement ! Ah ! Ah ! Ah !
Quoiqu’il en soit le simple fait qu’un phénomène de société mineur comme l’euthanasie bénéficie d’une telle couverture médiatique devrait mettre la puce à l’oreille. De tout évidence il s’agit d’une des obsessions de l’oligarchie. Or dès lors que l’on commence à s’interroger sur les raisons de cette lubie les réels motifs derrière les prétextes humanitaires apparaissent...
La France est l’un des pays au monde où il est le plus difficile de vieillir. Non seulement les vieux ne sont pas respectés (avez vous constaté comment le personnel médical parle au vieux ? Cet horripilant ton condescendant comme si on s’adressait à des attardés...) mais en plus tout est fait pour les spolier de leur biens. La vaste majorité de vieux se retrouvent placés en asile contre leur gré. Une hospitalisation pour quelque chose de mineur sert toujours de prétexte pour placer définitivement et contre leur gré les vieux dans un mouroir. Un exemple courant parmi tant d’autres : un des voisins de mes parents vivait depuis plus d’un demi siècle dans sa maison. Il vivait tranquille avec son chien, son chat et son jardin. A 90 ans passés il tomba malade, quelque chose de mineur nécessitant toutefois une hospitalisation. Sa famille qui ne lui avait pas donné de nouvelles depuis des années subitement se sont mis à s’intéresser à ce vieux et dans un élan d’amour filiale ont demandé au médecin de placer le vieux à l’asile pour son bien...le même baratin du style "Il est trop vieux pour vivre seul.", "C’est dangereux..."...Le vieux voulait retourner chez lui pour finir ses jours ce qui lui fut interdit "pour son bien". Au bout d’un an l’affaire fut résolu, il mourut à l’hospice, probablement assassiné (euthanasié). Pour l’anecdote à l’hospice il vécu l’enfer. Un jour un de ses potes vint le voir avec une bouteille de pinard. Une infirmière les surprirent et prit la bouteille, la fracassa contre le sol en poussant des cris d’hystérie ! A 90 ans passés on lui interdisait ce dernier petit plaisir qui lui restait ! PUTAIN ! Même un condamné à mort à le droit à une dernière cigarette et un dernier verre ! Mais pas un futur euthanasié !