Choron sur la modernité et le travail
3 novembre 2011 17:27, par Matthieu01
Que de lourdeur dans certains commentaires camarades ! Le gars lâche des horreurs pour se faire marrer et en faire marrer d’autres. A tout prendre au premier degré on en oublie de se détendre, et on finit écrasé par la pesanteur !
La vraie difficulté est de rester léger dans les luttes sérieuses (voir AS à la fin de son entretien de septembre, voir aussi Nietzsche dans sa critique de la pesanteur de l’esprit humain), et le piège c’est d’attaquer la déconne avec le sérieux d’un croque-mort.
Comme le disait tonton Friedrich, "Etre plein d’épines à l’égard de ce qui est petit me semble être une sagesse pour hérisson" (c’est pas au mot près). Et les conneries de feu le professeur font parties de ces petites choses (à apprécier ou pas, selon les goûts de chacun).