1966 : le discours de Phnom-Penh du général De Gaulle
2 janvier 2012 23:32, par Fitch
Quand même, quel bonhomme !
Je ne l’ai pas connu car je suis né lorsqu’on l’a foutu dehors après le référendum de 1969.
Pas de prompteur, pas de discours appris par coeur écrit par un conseiller en communication ou de papier sur le pupitre. Il parle avec sa tête et avec son coeur.
Le tout dans un français irréprochable.
Je crois que ça n’existe plus.