La face cachée de la Libération
5 janvier 2012 15:01, par MG 42Une Américaine vivant à Berlin, Mme Frances Faviell, décrivit l’horreur qu’elle éprouva lorsqu’elle lut le journal intime de sa dame de ménage Lotte, et la description du « viol de Lotte et de milliers de femmes, même des vieilles dames âgées de 65 ans, par les troupes répugnantes venues de l’Est, pas une seule fois, mais à plusieurs reprises, des femmes dont les enfants se cramponnaient à leurs jupes... » Dans ce journal, était consigné « chaque date et chaque détail, écrits à la lumière de la torche de Lotte, les meurtres de ceux qui avaient essayé de protéger les vieilles femmes, les excuses de l’officier russe qui avait découvert les corps... l’explication dont il avait fait part à Lotte comme quoi les troupes avaient reçu la Plunderfreiheit pour quarante-huit heures...C’était l’un des documents les plus horribles que j’eus jamais lu, et je ressentis un frisson glacial lorsque je le reposai ». Plunderfreiheit ; la liberté de piller et dévaster ! C’était le résultat humain des accords politiques conclus à Yalta, au cours des quarante-cinq toasts bus."
les troupes coloniales francaises en italie on eu la même permission...
et en allemagne, avec l’affaire du tunnel d’Augsburg.
L’histoire vraie de la libération de l’Italie est effectivement (aussi) liée au corps expéditionnaire français composé d’Algériens, de Marocains, de Tunisiens et de Sénégalais.
Cette vraie histoire débute en Sicile. C’est Mariangela Profeta Fiore, réfugiée à Montegrande (au sud de la route nationale Licata-Gela) qui rapporte des premiers kidnappings de jeunes femmes italiennes par des Marocains qui « les considéraient leur butin de guerre et les emmenaient en ricanant et en les traitant de tous les noms, comme des prostituées. » Le deuxième (lourd) épisode on le retrouve à Capizza, entre Nicosia et Troina : ici les Nord-africains se donnèrent à plusieurs viols collectifs. Mais ce fut pendant l’avancée vers la Ligne Gustav avant, et ensuite vers la Toscane que les Marocains se déchaînèrent. Ils violèrent par milliers des fillettes, des vieillardes, des femmes enceintes… sans oublier les hommes
Sans oublier également le viol organisé par "l’état major français" pour remercier ses soldats des colonies dans le tunnel d’Augsburg où tout ce qui avait un sexe féminin fut violé (femmes, enfants, vieillards, bonnes soeurs,..."etc" )...
Le général Leclerc outré en fit fusiller 12 sans procès le 8 mai 1945.