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Deux œufs de dindes

J’avais déjà évoqué la généalogie du gender : cette « théorie » est fille du féminisme, est le féminisme jusqu’au bout. Quant au féminisme, il est le ressentiment femelle quintessencié.
La base du monceau d’inepties femellistes empilées par couches successives de maquillage, fond de teint et poudre aux yeux, depuis des années et des années, son socle, sa première « idée » fondatrice, qui, si on l’ôte effondrera tout le fatras est : « On ne naît pas femme, on le devient . » Le credo.
Du féminisme au gender il n’est que de degré.

Toute femme est donc un homme comme les autres.
Pourtant, hors l’infâme chromosome, il est entre homme et femme, dans l’art et la manière de s’exprimer, une touche, un style, « ton style c’est ton cul » qui va ferrer le sexe de l’impétrante et la trahir, gendernellement parlant.
Le style c’est l’homme, surtout la femme.

Or donc, depuis que la Bécassim a fait son nid dans un ministère, les autres dindes pondent énormément.
Voici deux gros œufs bien fienteux, que j’ai eu l’honneur de recueillir sous deux derrières emplumés.
Le premier fut pondu par Dupont, prénom Florence, aussi joli qu’elle est moche, « professeure de latin » de son état. Il fut ensuite servi en homelette aux petits oignons avec un torchon ’im Monde, sous le titre qui se voulait ironique, d’une ironie rosse de bas-bleu : Papa bleu, maman rose.
Dans cet article de mariage, parfaitement imbécile et plein de haine recuite à la Lauvergeon à l’égard des manifestants de la manif pour tous  [1], l’antique latriniste attristée s’insurgeait contre le fait que l’on puisse encore déterminer le sexe d’un nouveau-né, peu après sa mise-bas.
Voici en quels termes :

« D’un coup d’œil, le médecin ou la sage-femme a repéré les organes génitaux qui vont officiellement déterminer l’un ou l’autre sexe du bébé – tant pis s’il y a un doute... Il faut choisir tout de suite. L’acte de naissance devra dans les trois jours dire si c’est une fille ou garçon (....)La puéricultrice lui met un ruban rose ou bleu au poignet. Chacun va s’évertuer à lui inculquer son genre. »

- Merdre ! À moi mes hommes ! Sortez les verges ! Mère Dupont-Ubu voit des hermaphrodites partout !

En dehors du manque du sens du ridicule et de celui de la réalité, cette ubuesque sortie révèle un autre manque, vraisemblablement celui de la maternité et des maternités. Il n’est hélas que de considérer la figure de l’auteure des jours de tels propos, pour ne pas concevoir qu’elle ait pu jamais concevoir. (Devant tant de stupidité, seule l’attaque ad hominem paraît la réponse appropriée.)

Maire Ubu

Pour rester dans le sujet des enfants en bas âges, il est un autre coco, pondu celui-là par madame Sandrine Mazetier, l’édile socialo du XIIe arrondissement de Delanoëville, femme-maire qui n’aime guère, sinon les mères, du moins le genre maternel.
En effet, pour cette socialo-féministe éclairée la dénomination d’« école maternelle » paraît insupportablement « sexiste », et pour ça devrait être légalement supprimé ! Tel est le vœu de la Mégère. Avec ou sans drine ça sent le con à plein Nez.
On a du mal à y croire n’est il pas ?
Et qui ne voit, qui ne comprend, que si la fonction de maîtresse de maternelle était jugée valorisante, flatteuse ou gratifiante, comme pédégette, ministresse, banquière ou porno-star, cette appellation ne serait pas jugée le moins du monde "sexiste" !
Du ressentiment d’être née femelle.
Tout est là.

À propos de banquier et de porno, madame Mazetier a toujours été une Strauss-Kannienne décidée, une de ces déesses-caca maternelles, qui en tenait une couche bien pleine pour l’ex-Patron du FMI....
Dont l’engagement personnel contre le sexisme a pris les formes ancillaires que l’on sait.

- Merdre ! -Que ne vous assom-je, maire Ubu !

Encore plus, sur le féminisme et le gender, chez Kontre Kulture :

Notes

[1] « Papa bleu et maman rose ne sont pas un couple hétérosexuel, mais une paire de reproducteurs "blancs" »

 
 






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26 Commentaires

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  • #539427
    Le 26 septembre 2013 à 23:08 par Buleh Gila
    Deux œufs de dindes

    Nous avions adopté un petit bébé, quand les autorités nous l’ont remis à l’hôpital, accouché sous X, ou l’équivalent, les infirmières lui avaient déjà donné un prénom, nous le lui avons laissé.
    L’amont, l’avant, les ancêtres, le passé, l’héritage, biologiques, culturels, conjoncturels, accidentels, font le présent, feront le futur.
    Et alors ?
    Quel orgueil, de croire aller contre le temps.

     

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  • #539489
    Le 27 septembre 2013 à 00:08 par barbossa
    Deux œufs de dindes

    encore deux connasses ignorante qui projettent leur frustrations sexuelles dans des sorties délirantes !

     

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  • #539548
    Le 27 septembre 2013 à 00:59 par jean
    Deux œufs de dindes

    Dans le talmud Zim-Zam-Zouma, deux oeufs sont battus par deux morceaux de fromage (trop long à expliquer - google : "eggs cheese sages jews"), mais grâce à Dieudo et ses ananas - oh mon p’tit gars - SHOW US A LIE !

     

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  • #539569
    Le 27 septembre 2013 à 01:25 par Amz21
    Deux œufs de dindes

    C’est tous de même incroyable le bêtise de ces féministes changer école maternelle par quoi et même pourquoi ? N’y a-t-il d’autre combat ?
    Le plus terrible c’est que leur idée a la con contamine les nouvelle génération chez nous aussi en Algérie
    Esperons que nous les patriote et nationaliste des deux rives réussirons à Éclairé nos jeune esprit
    Ps veuillez m’excuser pour les faute d’autographe

     

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    • #539805
      Le Septembre 2013 à 10:23 par Nicolas Tesla
      Deux œufs de dindes

      Le plus terrible c’est que leur idée a la con contamine les nouvelle génération chez nous aussi en Algérie.




      Que les hommes se montrent virils et disent NON, stop, ça suffit ! Au lieu d’acquiescer voire les encourager comme on l’a fait nous les Occidentaux, c’est une boite de pandore...
      Si les hommes s’énervent un peu, les femmes ne diront plus rien ou n’y penseront même pas, sinon elles vous dévorerons... Qu’elle soit Française, Arabe, Chinoise, Russe ou Martienne les femmes restent des femmes...
      La culture, la religion, les valeurs sociétales, expliquent leur comportent décent et respectueux ou pas...

       
  • #539721
    Le 27 septembre 2013 à 08:24 par astro161
    Deux œufs de dindes

    ton style c’est ton cul !!!!!!!!!!!!
    grand grand grand Ferré

    http://www.youtube.com/watch?v=OBPH...

     

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  • #540277
    Le 27 septembre 2013 à 17:02 par bob
    Deux œufs de dindes

    De la schizophrénie à la folie furieuse

    Il est même étonnant que nous puissions encore nous exprimer en Français, car notre langue est par excellence la langue du genre et même de la différenciation du genre. Pas une phrase sans un féminin ou un masculin, “une fleur sur un chemin sous un ciel où, une étoile brille à côté du soleil”, et comble de perversion, après nous avoir exaspérée pour féminiser tous les mots qui ne s’employaient qu’au masculin, voila qu’ils inventent les organes génitaux à la carte.

    C’est sans doute trop dur pour eux d’assumer ce que la nature a fait, le “connait-toi toi-même ” devient “soit n’importe quoi”. Le caractère humain étant ce qu’il est, le “soit n’importe quoi ” se transforme en “fait n’importe quoi ”. Nous ne pouvions pas nous attendre à autre chose dans le règne de la quantité. Les individus vidés de leur essence ne sont que substance informe et indifférenciée. Dans un sens, ils ont raisons, ils ne sont plus ni hommes ni femmes, abandonnés par l’esprit, ils ne sont qu’agrégat de matière. Mais, là où ils pensent choisir, en réalité, ils sont le choix et la conséquence de leur monde d’apocalypse, les symptômes de la maladie.
    Schizophrènes, se rendent t’ils compte qu’une paire de femmes a toujours besoin d’un homme pour enfanter, quitte à le réduire à son seul éjaculât, et qu’une paire d’hommes a besoin d’une femme pour porter “leur” un enfant même si celle-là n’est pour eux qu’une matrice. Ils collaborent aux expériences les plus perverses et aux manipulations les plus abominables que l’être humain n’ait jamais faites, mais s’offusquent que l’on puisse guillotiner un violeur d’enfant.
    Au plus profond d’eux-mêmes, ils savent sans doute, qu’ils sont eux aussi des tortionnaires et que dans un monde normal leur place serait au gibet.

    Pour notre part, poussons un peu plus le raisonnement : nous pensons que le genre humain n’est qu’un genre parmi d’autres et que nous pourrions aussi bien être une tomate ! D’ailleurs, nous sommes une tomate et, en tant que tomate nous pensons arrêter immédiatement de payer des impôts, car une tomate ne paye pas d’impôts ! Pouet-Pouet

    Libre selon l’esprit

     

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  • #542148
    Le 30 septembre 2013 à 04:50 par Bryan
    Deux œufs de dindes

    Une petite suggestion pour Égalité & Réconciliation. Pourquoi ne pas créer un chandail intitulé : Pourquoi je ne suis pas féministe ? Ensuite, énumérer quelques raisons dérangeantes qui justifient l’affirmation : je suis contre l’avortement, je rejette la théorie du genre, l’homme et la femme ne sont pas égaux mais complémentaires... Je serais acheteur d’un tel t-shirt.

     

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  • #542368
    Le 30 septembre 2013 à 14:04 par Substance2004
    Deux œufs de dindes

    Je ne sais pas si ça vaut vraiment le coup que je m’énerve avec Félix.

    J’étais tombé sur un vieux numéro de Marie-Claire demandant à quelques (in)femmes dont la mère Belkacem, ce qu’était une femme libre.

    J’aimerai beaucoup que l’on s’amuse à aller demander à ces dindes ce qu’est un homme libre ? Ça leur changerait un peu de cette éternelle question.
    Quelle serait sa place dans la société ? Doit-il renoncer à un métier et à un compte bancaire s’il vit en couple ? ect...

     

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  • #542399
    Le 30 septembre 2013 à 14:39 par une vraie femme
    Deux œufs de dindes

    Alors qu’il était bien parti avec « une femme c’est un homme comme les autres », par la suite Mr Niesche en fait trop au niveau du style. Et là en l’occurrence ton style c’est ta quéquette. Pour s’en prendre à une journaliste, est-il besoin de la ramener à ses fonctions génitales ? Elle parle comme ça parce qu’elle a pas eu de gosse, parce qu’elle est mal baisée, parce qu’elle n’est pas bandante (l’ultime critère de valeur, sans doute).

     

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    • #543015
      Le Octobre 2013 à 03:45 par Substance2004
      Deux œufs de dindes

      Très certainement M. Félix (et non pas Mr, renseigne-toi sur les abréviations) fait la différence entre "une femme c’est un homme comme les autres" et "une femme c’est un Homme comme les autres".

      Le premier veux faire de la femme l’homme qui ne domine que par l’argent et la facilité mais auquel il manquera toujours le courage et la force.
      Le second considère volontiers même la putain comme faisant partie intégrante d’une Humanité.

      C’est aussi une question de style.

      Je te rappelle que l’attaque ad hominem, est justement de discréditer des arguments de Dupont Florence sans les discuter mais en s’attaquant à elle. Félix Niesche l’a pourtant bien précisé... Je viens de t’apprendre une locution latine.

      Un coup bas ? Bof, c’est de bonne guerre après tout...
      L’auteur de "Vers la féminisation" nous rappelle tellement que la guerre civile qui nous pend au nez est une saloperie que de répéter tel une mantra que les hommes sont violents est une attaque du même style... La guerre civile peut aussi se dérouler au foyer...

      Certaines manquent tellement aux yeux des hommes d’un style qui leur fait presque oublier leur cul qu’elles essaient de donner un style à leur cul qui ne plait qu’aux bites en le peignant d’un grossier "In gay we trust" (c’est pas de l’amour pour elles, c’est juste une érection... ça part tout seul et on oublie vite).

      Signé un homme qui n’a nul besoin d’adjectif à son pseudo pour se différencier de ceux qui ont perdu toute dignité physique ou morale, ou encore un homme vrai tant les idées que je partage avec Félix Niesche et Alain Soral sont peu ou prou admises dans mon genre.

       
    • #543783
      Le Octobre 2013 à 19:01 par Heureux qui, comme Ulysse...
      Deux œufs de dindes

      @ une vraie femme

      Navré, mais une vraie femme ne saurait être grossière...
      Maintenant, libre à vous de vous comporter ainsi, mais, s’il vous plaît, choisissez un autre lieu où vous pourrez vomir tous vos poncifs.
      Voyez, j’aime aussi les grosses voitures, allez-y, envoyez la purée, votre sociologie de comptoir glissera sur moi comme un pet sur une toile cirée...

       
  • #543697
    Le 1er octobre 2013 à 18:01 par Les je sont faits
    Deux œufs de dindes

    Une femme comme un homme se doit de consacrer un chapitre de sa vie à étudier, à réfléchir pour approfondir sa connaissance de l’Homme et de ses interactions avec le monde.
    Quel que soit la discipline d’approche, il est des thématiques auxquelles l’impétrant se mesure tôt ou tard. La problématique du hasard est l’une des plus passionnantes. La question du déterminisme et de la possibilité de reproduire une expérience à l’identique est davantage décortiquée en physique quantique, même sous la dictature du paradigme de l’infalsifiable, que dans toute autre discipline, sans affect, en s’appuyant sur des équations.
    Ce type de recherches ne peut donner lieu à des publications scientifiques « genrées ».
    Mais dès qu’il s’agit d’y mettre de soi, dès que la réflexion passe au tamis de ses propres démons, immanquablement entre la femme et l’homme la lecture du monde, l’analyse qu’il ou elle en fait , diffère. J’oserai dire tant mieux.
    Même entre un homme et une femme tout deux dotés d’esprits synthétiques, il existe cette différence originelle qui impacte toutes les dimensions de l’expérience humaine. Avoir un faible pour le genre « science-fiction » n’est pas incompatible avec la lecture épisodique de magazines féminins. Il permet même (ce faible) d’en sourire, et d’en saisir la futilité. Sans le prendre au second degré, habitus pernicieux s’il en est.

     

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