« 37 stèles et monuments aux martyrs de la Shoah profanés à Herrlisheim. Dans la nuit du 10 au 11 décembre, des croix gammées ont recouvert les sépultures de ce cimetière situé à une vingtaine de kilomètres de Strasbourg. »

Attention : la personne au chapeau noir n’est pas en train de tracer la figure géométrique étrange sur le bloc de béton mais elle la montre à la personne au bob blanc qui a du mal à voir

Festival de désinformation dans ce sujet d’i24(fake)news qui tente de shoatiser, par amalgames successifs et audacieux, le mouvement des Gilets jaunes. Le culot de la chaîne de Patrick Drahi n’a plus de limites quand il s’agit de criminaliser les Français dans leur ensemble, coupables d’une nouvelle « flambée d’antisémitisme ».

« Il n’est pas acceptable qu’on puisse s’en prendre à des sépultures parce que ce sont des sépultures de juifs parce que quand on s’en prend à des sépultures, au fond, ce sont aussi les vivants que l’on agresse. Et ce qui s’est passé ici montre combien nous avons besoin dans ce pays de se redresser systématiquement et combien nous aurons besoin aussi de nous retrouver sur l’essentiel. »

Le pire, c’est ce pauvre Castaner, qui sait à peine parler, et qui doit trouver des mots encore plus forts que ses prédécesseurs, déjà au top de la soumission (Sarkozy, Valls, Cazeneuve), pour qualifier quelques tags probablement dessinés par des agents du renseignement ou des hybrides flics/truands au service du pouvoir profond.

La « profanation » du cimetière juif d’Herrlisheim, dans ce contexte de propagande sioniste hystérique, semble tomber du ciel pour fournir aux ingénieurs sociaux les preuves qui leur manquaient pour augmenter la répression sur le peuple de France.

Il est clair que ces montages de plus en plus nombreux qui surgissent dans les moments de crise politique ne vont pas tenir longtemps, et il faudrait que ces bâtisseurs de châteaux de sable comprennent que plus on rajoute du sable, plus l’édifice est fragile. Normal, il est sans fondations, et sans fondement.

Grosse pub mondiale en passant pour Stéphane Blet qui, de la Turquie, fait sa petite analyse de la situation :

« On voit le B’naï B’rith, c’est-à-dire la secte juive suprématiste qui dirige la franc-maçonnerie mondiale exiger que tout ça cesse très vite... Je crois que c’est une très bonne chose parce que le peuple peut, pour la première fois, se rendre compte de qui dirige quoi, de la nature du problème, et de ce qu’il faut régler. »