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Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

Aldo Sterone est un correspondant français non officiel au Royaume-Uni. Il fait la navette entre les deux pays et rend compte des différences mais aussi des similitudes entre les politiques menées par les dirigeants actuels, à savoir Starmer et Macron.

C’est d’ailleurs depuis que ce couple est en poste que les choses se dégradent à une vitesse inouïe... Ce constat amer, vous ne le trouverez pas dans la presse mainstream, puisqu’elle soutient Macron, qui est l’alter ego de Starmer, et que les deux foncent dans le même mur : celui de la guerre totale, ou de la crise économico-sociale définitive.

 

 

Aujourd’hui, ces deux fous veulent, avec leur arsenal nucléaire et leur envie d’en découdre avec les Russes, « sécuriser » toute l’Europe. C’est-à-dire, augmenter la pression nucléaire sur la Russie. Les effets des produits dopants sur des dirigeants immatures qui se voient en maîtres du monde et de notre destin sont catastrophiques pour la population.

Alors que dans les deux pays l’hôpital public s’effondre, afin de laisser les multinationales de la santé s’emparer de cet immense marché, l’accent est mis sur le réarmement. Aucun doute, ils veulent vraiment nous envoyer à la mort, que ce soit aux urgences ou en Ukraine, ce prétexte pour en finir avec la Russie, le grand rêve britannique depuis des siècles.

Larry Fink, au fond le patron de Starmer et Macron, l’homme qui fait la pluie et le beau temps sur les marchés, ne dit pas autre chose quand il évoque, à mots non couverts, mais devant un parterre choisi, le concept de dépopulation...

 

 

L’Angleterre (et la France) n’est plus qu’une superbanque hypersécurisée avec des masses de pauvres autour, si l’on veut caricaturer, masses dont elle veut se débarrasser d’une manière ou d’une autre, par la maladie ou par la mort : les pauvres, qu’elle fabrique en série, sont en surproduction !

Pour compléter le sombre tableau brossé par Aldo, nous publierons plus tard une petite recension d’un article du Monde diplo sur la prostitution volontaire, il n’y a pas d’autre mot, des troupes dites travaillistes de Starmer devant les forces du Marché. C’est à proprement parler hallucinant. Le vilain Corbyn, décrété antisémite parce qu’en réalité trop social (cherchez le rapport), a été remplacé par une putain de la finance internationale.

L’article date de février 2025 et pour ajouter une couche (superstructurelle) à l’exposé d’Aldo, on en extrait quand même deux morceaux en apéritif. On va comprendre comment la finance a mis la main sur ceux qui devaient théoriquement la combattre. « Mon adversaire, c’est la finance », hein, osait le gros social-traître avant de courir rassurer les marchés à Londres, juste après son élection...

 

Un cinquième des députés tories qui ont fait leur entrée au Parlement en 2019 étaient passés par le lobbying ou les relations publiques. Chez les travaillistes nouvellement élus en juillet 2024, ils sont au moins trente-quatre à avoir occupé des fonctions de ce type, que ce soit au sein d’associations caritatives, d’organisations non gouvernementales (ONG) ou d’entreprises de lobbying. À mesure que le Labour s’est rapproché du pouvoir, l’industrie de l’influence s’est rapprochée du Labour. Lors du congrès du parti en octobre 2023 à Liverpool, on ne pouvait pas faire un pas sans tomber sur un lobbyiste.

Avoir l’oreille des travaillistes devient un atout recherché. Les plus grosses entreprises n’hésitent pas à proposer un surcroît de salaire à qui peut leur offrir cet accès privilégié. Les premiers mois de 2024 ont ainsi vu plusieurs collaborateurs du Labour se faire débaucher. Mme Freddie Cook, assistante parlementaire pendant plus de cinq ans, a rejoint Hawthorn Advisors, une agence de lobbying et de relations publiques (elle l’a depuis quittée pour Snapchat). M. Samuel White, chef de cabinet du leader travailliste Keir Starmer entre septembre 2021 et novembre 2022, est parti chez Flint Global, un cabinet de conseil dirigé par M. James Purnell, ancien ministre de M. Gordon Brown. Flint se targue de faire profiter ses clients (dont Meta, Amazon et Uber) d’une « connaissance inégalée des rouages internes du Labour ».

Le Labour de Starmer porte très mal son nom. En réaction à cette soumission absolue aux forces du Marché, Elon Musk, qui a de quoi acheter de l’homme politique, prépare un gros chèque de cent millions de dollars à Nigel Farage. Si l’on veut rester optimiste, on dira que la gauche travailliste a été achetée par le capitalisme financier, et la droite nationaliste par le capitalisme productif. Entre les deux, il n’y a plus grand-chose. Il faut juste espérer que le capitalisme productif conserve encore quelques scrupules sociaux, ou socialistes. Mais on sait qu’en Occident, depuis l’accident Hitler, l’alliance entre nationalisme et socialisme est interdite.

Par ceux qui font les lois. Nous n’en dirons pas plus, et laissons la parole à Aldo, qui remonte des infos du terrain. C’est bien d’avoir le terrain et le politique, le sol et le sous-sol.

 

 

La Rédaction d’E&R

 


 

Vous êtes nombreux à me demander pourquoi j’ai décidé de quitter le Royaume-Uni pour l’île Maurice. Je vous donne quelques éléments de réponse dans cet article.

Le Royaume-Uni est en train de vivre un exode massif. Il n’y a pas un avion qui décolle sans qu’il y ait à son bord des gens avec un aller simple. L’année dernière, nous avons battu des records de départs, en particulier parmi les millionnaires. Cette année, nous sommes sur la même lancée.

Mais au-delà des grosses fortunes, ce sont aussi des retraités, des jeunes professionnels, des familles entières… Plus personne n’arrive à y trouver sa place. Ça devient, à proprement parler, un no man’s land. Une sorte d’équation de vie qui ne fonctionne pour personne. Voici plus de détails.

 

Annexion de l’Ukraine

Depuis 2022, la Russie a pris quelques territoires à l’Ukraine, mais le Royaume-Uni, lui, l’a annexée complètement.

Nous payons les salaires des fonctionnaires, les retraites, les armes… et ce, de manière unilatérale, sur la base du don (on ne reçoit rien en retour). Il faut savoir que la politique britannique est hystérique et jusqu’au-boutiste. On s’engage sur une voie, puis on s’enfonce dedans de manière compulsive, sans même savoir pourquoi on a commencé en premier lieu !

Nous avons aujourd’hui un accord opposable pour financer l’Ukraine pendant les 100 prochaines années. Donc, cela ne changera pas de notre vivant.

 

Obsession Climatique

Le Royaume-Uni est un pays froid et pluvieux. Vers la fin août, il commence à faire 9 degrés le matin, et il faudra attendre juin de l’année suivante pour envisager d’arrêter le chauffage. Ce dernier reste occasionnellement nécessaire durant les mois de juillet et août. Des millions de Britanniques vivent dans la précarité énergétique et doivent choisir entre se nourrir ou chauffer leur foyer. Par contre, au niveau des autorités, le pays se vit comme en cours de réchauffement climatique terminal.

L’engagement le plus fort de l’État est ce qu’ils appellent le Net Zero. C’est un projet civilisationnel qui n’a jamais été soumis au peuple. Il est une priorité absolue pour les partis de gauche comme de droite. De ce fait, le Net Zero n’est pas quelque chose que l’on peut changer par les urnes.

C’est un projet ruineux. Nous dépensons des milliards en machines de capture de carbone, en éoliennes, en panneaux solaires sous la grisaille… Pendant ce temps, les infrastructures pourrissent sous nos yeux. Les routes sont défoncées. Quand on fait trois heures d’autoroute, on passe deux heures dans des zones limitées à 80 km/h et 45 minutes dans les embouteillages.

Les écoles n’ont plus d’argent pour le papier et les stylos. Sauf en cas de meurtre, la police ne se déplace plus. Nos militaires achètent leur équipement avec leur carte de crédit. Les gens attendent deux ans pour une opération…

Au Royaume-Uni, on trouve des milliards pour le Covid, pour l’Ukraine, pour le climat… On vient même d’offrir 100 millions à la Syrie. Mais pour nos propres problèmes, on nous fait des leçons de réalisme économique avec condescendance : "Mais vous croyez qu’on peut imprimer l’argent ?"

 

Explosion de la fiscalité

Puisque les grosses fortunes partent, les impôts augmentent brutalement pour ceux qui restent.

Presque tous les jours, de nouveaux impôts sont annoncés. Sauf que dans un pays néo-victorien sans services publics, l’impôt ne se vit pas comme une contribution à la société, mais comme un tribut arraché par la force.

Dans ce pays, une garderie pour enfant coûte 2300 euros par mois. Une école privée, 2850 euros par mois et le Labour a introduit une TVA punitive de 20 % en plus. Beaucoup de parents n’ont plus les moyens, ont dû retirer leurs enfants, et attendent qu’une école publique ait une place disponible.

Le médecin, c’est 150 euros les 15 minutes. La médecine se vend à la minute, ici. Le médecin public est payé par nos impôts, mais la majorité ne donne plus de rendez-vous depuis l’époque du Covid.

Entre deux villes situées à 25 minutes de train, il faut compter 7200 euros par an pour un abonnement deuxième classe. Pour partir en famille à la piscine municipale, c’est 60 euros pour 90 minutes, et il faut réserver une date et un créneau horaire spécifique. Comme ma fille trop ce temps trop court, la sortie piscine municipale c’est 120 euros.

Si l’on perd son emploi, le chômage (JSA) est un forfait de 106 euros par semaine, pendant 6 mois.

Dans ce contexte d’absence totale de services publics, une fiscalité élevée devient rapidement étouffante. Pire encore : elle devient un danger.

En cas de coup dur (perte d’emploi, maladie, enfant harcelé à l’école…), on ne peut compter que sur ses propres économies.

Mais avec la fiscalité actuelle, on économise… puis on verse tout à l’État. En cas de problème, on se retrouve tout simplement nus.

Ici, pas de RSA, ni de RTT, ni de chèques resto, ni de « Mon Compte Formation », ni de comité d’entreprise…

C’est marche ou crève, tout simplement.

Dans ce contexte, il faut renoncer au vital pour pouvoir donner de l’argent à un État de plus en plus lourd.

On vit au Royaume-Uni seulement si l’on accepte de payer une fiscalité scandinave sans rien en retour.

Beaucoup doivent rouler dans un véhicule en fin de vie, rafistoler des lunettes, envoyer les enfants à l’école avec une veste qui ferme mal… juste pour pouvoir payer un État qui exigera encore plus de sacrifices l’année suivante.

 

Inflation

Avec la fiscalité, c’est la double peine. Comme chaque ménage, nous avons nos habitudes. Chaque semaine, j’achète plus ou moins les mêmes produits. Cela fait plusieurs années que chaque achat coûte un peu plus cher que la semaine précédente.

Quand je suis arrivé vivre au Royaume-Uni en 2008, les prix de la nourriture me semblaient plus abordables qu’en France, par exemple. Aujourd’hui, quand je traverse la Manche en ferry, j’en profite pour faire des emplettes en France. C’est toujours ça de gagné.

Il faut savoir que l’inflation n’est pas accidentelle, mais organisée par l’État. Par exemple, il y avait souvent des offres du type "1 produit acheté, 1 offert". L’État les a interdites sous prétexte de lutte contre le gaspillage. Alors que nous sommes censés vivre dans une économie libérale, l’État exige désormais que des entreprises privées augmentent leurs prix et fassent plus de profits.

L’objectif idéologique est clair : appauvrir les Britanniques et ne leur laisser aucun revenu disponible, afin qu’ils ne s’adonnent pas à des activités relâchant du carbone.

Il faut toujours se rappeler que le Net Zéro est le projet central de toutes les politiques britanniques.

 

Liberté Individuelle

Depuis le Covid, le Royaume-Uni a pris goût à l’arbitraire, à la censure et à l’extra-judiciaire.

Tous les jours, des gens sont arrêtés pour un tweet, une conversation privée sur WhatsApp ou tout autre délit d’opinion.

Généralement, cela ne se termine pas en poursuites judiciaires - parce qu’il n’y a pas de délit constitué - mais la garde à vue, les perquisitions et le harcèlement policier suffisent à dissuader les gens.

La surveillance progresse à grands pas.

Alors qu’on n’a pas d’argent pour les infrastructures essentielles, chaque nouvelle technologie est aussitôt armée pour surveiller et extraire des amendes, sous divers prétextes. Les amendes ainsi prélevées de force, sans contrepartie, dépassent le PIB de certains pays.

Depuis 2025, Apple a dû supprimer la Sécurité Avancée sur les appareils et les comptes des Britanniques. Résultat : une personne vivant en Afghanistan a désormais une meilleure sécurité numérique et une meilleure protection de sa vie privée qu’un habitant de Londres.

Alors que tout croule autour de nous, on nous surveille, on nous fiche, et tous les moyens de contrôle et de coercition sont en place.

Pour la première fois de son histoire, le Royaume-Uni vient d’être déclassé dans le Global Expression Report. C’est le seul pays d’Europe à être passé en jaune.

Ce rapport est pourtant très bienveillant envers les pays européens. La France ou l’Allemagne n’ont, en réalité, rien à faire dans la catégorie verte, mais malgré cela, le Royaume-Uni est désormais en jaune.

Cette baisse ne rend pas suffisamment justice à l’effondrement réel des libertés individuelles dans le pays.

 

Wokisme

Une fois chassé des États-Unis après le début du mandat Trump, le wokisme semble avoir trouvé asile au Royaume-Uni.

Nous nous enfonçons chaque jour un peu plus dans des excès idéologiques, promus de manière compulsive.

J’ai atteint un stade où je ne peux plus laisser ma fille étudier dans une école britannique.

On les expose à des choses non appropriées pour leur âge, et à des déviances qui, même dans le monde des adultes, restent plutôt « niche ».

 

Brexit

Le Brexit n’a jamais eu lieu. Nous restons soumis à l’Union européenne, à ses lois, ses décisions de justice, ses normes, ses égarements idéologiques, sa corruption et sa politique internationale. Nous ne dévions pas d’un iota. Aucune promesse du Brexit n’a été tenue.

Alors que les Britanniques ont perdu la liberté de circuler dans l’UE, les migrants du monde entier sont, paradoxalement, plus libres que jamais d’entrer dans le pays. Il en arrive jusqu’à mille par jour, et ils sont presque tous régularisés.

On nous promettait que l’hôpital public allait recevoir l’argent économisé grâce à la sortie de l’UE. Non seulement nous continuons à dépenser pour l’UE, mais l’hôpital public croule sous la bureaucratie, tout en étant pillé par des contrats privés, attribués de manière opaque et systématiquement surfacturés.

Et sur le reste, la caste dirigeante du Royaume-Uni s’avère bien plus radicale et jusqu’au-boutiste que Bruxelles.

 

Guerre avec la Russie

Il n’y a pas, dans ce monde, une place pour un pays qui s’appelle Russie et un autre Royaume-Uni. Depuis 2014, une rhétorique belliciste anti-russe est diffusée quotidiennement dans les médias.

Alors qu’on fait semblant de se préoccuper de l’Ukraine, l’establishment britannique a tout fait pour pourrir la situation, aggraver le bilan humain et empêcher toute solution négociée.

Ils pousseront à la guerre jusqu’à l’extinction du dernier Ukrainien capable de combattre.

Et si demain l’Ukraine n’est plus dans l’équation, on pourrait assister à une guerre directe entre le Royaume-Uni et la Russie, jusqu’à ce que les Russes fassent une marche Pride sur la Place Rouge… ou qu’un des deux pays cesse d’exister. Cela crée une impression de danger permanent.

Les dépenses militaires explosent, et tout le monde sent que, tôt ou tard, on va se prendre un missile sur la figure.

 

Conclusion

Les Britanniques ne sont pas un peuple qui se bat ou qui résiste. Mis à part quelques critiques timides en ligne, les gens sur le terrain encaissent en silence. Beaucoup ont poussé le conformisme jusqu’à l’extrême.

Si une loi inique tombe, ils ne vont même pas traîner les pieds ! Au contraire, ils s’y soumettent avec zèle et empressement.

Dans ce contexte, je dois protéger ma famille, et me protéger moi-même. Ce n’est plus un pays qui offre des conditions de vie décentes, ni des perspectives crédibles d’avenir. Rester ici plus longtemps, c’est se mettre en danger sur tous les plans.

 

Il est beau, le couple franco-britannique

 






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6 Commentaires

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  • #3550113
    Le 10 juillet à 16:58 par anonyme
    Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

    Merci pour ce témoignage.

     

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  • #3550117
    Le 10 juillet à 18:39 par Paul82
    Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

    Je ne suis pas spécialement anglomane, mais c’est triste de voir ce qu’est devenu l’Angleterre (et que dire des autres pays, comme la gauchisante Ecosse ?).

     

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  • #3550125
    Le 10 juillet à 21:01 par goy pride
    Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

    Comme l’avait dit Soral, il n’y a plus qu’une solution : les entrepreneurs doivent s’expatrier vers des lieux où il est encore possible de se développer comme l’avaient fait les Irlandais ou les Chinois par exemple. Ainsi on peut créer une communauté d’expatriés prospères avec des réseaux internationaux et en contact avec la "mère-patrie". Les ressources financières accumulées dans les pays où l’on peut encore devenir riche par le travail et la frugalité peuvent ensuite servir à aider les compatriotes restés au bled. Mais rester au bled pour voir son entreprise faire faillite, voir ses enfants se faire corrompre par des profs maboules wokistes, puis finir dépressif, alcoolique, drogué et suicidaire...ce n’est pas un projet de vie ! Donc soit on fait comme Juving, on reste mais en s’organisant en réseaux solidaires...soit on se casse à l’étranger. Perso je pense que pour ses enfants on ne peut plus rester en France puisque l’école à la maison est interdite et que l’on est contraint de les exposer à la dégénérescence sexuelle enseignée dans les écoles, on est contraint de les injecter avec plus d’une dizaine d’injections toxiques...la seule solution pour protéger sa progéniture est l’exil.

     

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    • #3550133
      Le 11 juillet à 03:20 par Geoffrey
      Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

      ou alors on fait la Révolution !!!

      moins penser à son petit confort (et à ses vacances annuelles)

      et plus penser aux autres, à l’Autre !!! càd (’faut tout expliquer) à une organisation de la société avec pour critèreS justice, méritocratie (gosses de riches = gosses de merde), solidarité (la vraie solidarité ne connait pas d’excès !).

      Geof’Rey, idéologue numero uno

       
  • #3550138
    Le 11 juillet à 05:46 par Anonyme
    Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

    Je demande avec quel il argent fait tout ça...

     

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    • #3550149
      Le 11 juillet à 09:38 par Charles C
      Aldo Sterone : Pourquoi je quitte le Royaume-Uni

      Expert en aéoronautique, déjà. Ensuite analyste, écrivain, blogueur, probablement entrepreneur dans je ne sais quels secteurs. Il semble aussi proposer du conseil, du "coaching".