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Assassinats des Kennedy : le rôle d’Israël bientôt officiel ? – Laurent Guyénot chez GPTV

À l’occasion de la déclassification – parfois un simple « décaviardage » – de nombreux documents afférents à l’assassinat du président John F. Kennedy, une émission pédagogique de synthèse de GPTV avec pour invité Laurent Guyénot.

« Le nom d’Israël apparaît de plus en plus. […] C’est un dossier vraiment très, très important, et le jour où tout ça deviendra clair, s’éclaircira, eh bien le monde entier s’éclaircira, d’une certaine manière. »

 

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Retrouvez prochainement Laurent Guyénot en conférence à Annecy :

Laurent Guyénot et les Kennedy

 






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17 Commentaires

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  • Laurent Guyénot fait un travail de recherche, de mise en perspective et de pédagogie remarquable et précieux.

    La question qui demeure c’est : est ce qu’il suffira de virer Netanyahou pour faire accroire à un nouvel Israël post-Bibi auréolé d’un mea culpa pilpoul et légitimer le recel de 80 ans (au moins) de crimes fondateurs sionistes ?

    Tous les présidents depuis Kennedy ont eu accès à la vérité, mais aucun n’a agi.

    L’autre question c’est : un système dans lequel les crimes contre la démocratie, et donc contre le peuple, sont acceptables tant que le peuple n’y a pas accès est-il une démocratie ?

    Un acteur politique qui s’adresse comme si de rien était à un peuple avec plusieurs couteaux plantés dans le dos, est-il un démocrate ou juste un représentant du Pouvoir ? A quel moment le peuple est souverain dans cette arnaque à la démocratie ?

     

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  • Le monde s’éclaircira lorsque l’immense majorité des pleutres ne craindra plus d’être accusé d’antisémitisme dès lors qu’il s’agit d’évoquer les innombrables crimes d’Israel et qu’elle comprendra une fois pour que cette accusation est une arme de destruction massive de la lucidité, de la clairvoyance et du discernement...

     

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  • Issraël, même pas 1% de la population mondiale et 100 % d’emmerdes internationales.

     

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  • A L. Guyénot sur le film d’Oliver Stone duquel il a parlé brièvement dans un entretien. Le film, produit par un sioniste ami personnel de Netanyahu, fait semblant de traiter le sujet (l’hypothèse Clay Shaw est tout à fait décorative et ne débouche sur rien) mais s’impose toujours comme le produit d’entertainment de référence. La raison d’être de son film est de noyer l’hypothèse Israëlienne et la raison d’être de Stone à Hollywood est de court-circuiter toute tentative de soulever le tapis via le cinéma de grosse consommation.

     

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    • Je serais plus nuancé que vous. Il est clair que Stone était au mieux influencé, au pire "tenu" par ses financiers de la communauté à l’époque du film. Dans ses déclarations plus récentes, il évoque plus volontiers le rôle du Mossad. Il faut quand même préciser que la thèse "Mossad job" n’avait quasiment aucun adepte à l’époque du film. C’était bien avant que Michael Collins Piper, dans les années 2000/2010, n’apporte en soutien de cette hypothèse une somme de travail considérable, à laquelle Laurent Guyénot ne manque jamais de rendre hommage. Je me souviens du jour où la mort de MCP a été annoncée, lui dont je suivais les interventions occasionnelle sur des podcasts dissidents. Je crois qu’il a été retrouvé mort dans un motel. Imaginer une mort non naturelle ne relève sans doute pas du fantasme extravagant - il s’était fait beaucoup d’ennemis... Mais ne me demandez pas "qui ?", je n’en sais rien...

       
    • @Michel Mertz
      Il ne vous aura cependant pas échappé que la théorie du complot est pratiquement depuis le début (1963) la seconde théorie officielle, défendue largement par pléthore d’auteurs et de célébrités qui la valident dans un certain nombre de films depuis les années 70. Les mêmes nieront avec véhémence une hypothèse équivalente au sujet du 11 Septembre. Par exemple Stone, à qui l’évènement n’a inspiré qu’un minable film catastrophe. Par conséquent, leur volonté farouche de faire valoir le complot à tout prix au sujet de Kennedy, n’a valu, selon moi, que pour attirer l’attention vers une manoeuvre du parti républicain avec la CIA comme bras armé, ou autres accessoires comme les pétroliers du Texas. Autrement dit de détourner l’attention vers ce qui pourrait gêner.

       
    • Oliver Stone est de la communauté (par son père militaire) donc bon on va pas lui demander de jouer au héros. Sinon j’ai revu son film le mois dernier et d’un point de vue cinématographique le film est excellent. Le producteur est Arnon Milchan si je me rappelle bien, marchand/trafiquant d’armes.

       
    • Jugement final - le chaînon manquant de l’assassinat de JFK de Michael Collins Pipper.

       
  • Les dizaines d’années passent et ce qu’on nous délivre est déjà connu. A plus court terme, c’est le 11 novembre, Brigitte, Weinstein, Epstein et l’île de la Tentation, Tintin sur la lune, du buzz, du buzz et pas d’éléments factuels ou de preuves nouvelles. Des faisceaux qui s’épaississent mais sur des éléments qui sont déjà des faisceaux de présomptions. Les déclassifications promises n’en sont pas. Même révélées ces informations ne seraient pas déstabilisante pour les pouvoirs en place et l’état profond. Une photo du braquemart de Brigitte n’empêcherait pas les Français de voter pour Edouard Philippe ou Retailleau, de maintenir le CRIF, de voter pour Macron président des Etats-Unis d’Europe, n’enverrait pas Sarkozy en prison, ne ralentirait pas la religion mémorielle de la shoah, ne mettrait pas fin au génocide des Palestiniens et de pendre les responsables. La révélation des fausses fioles de Colin Powell n’a fait bouger ni l’une, ni l’autres des roustons mondiales. Pour être trivial ces "affaires" presque tout le monde s’en fout. Autrefois il y avait Ici Paris et France Dimanche qui faisait ce job.

     

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  • Et assassinat de Marilyn MONROE compris dedans, elle en savait trop. Une femme extrêmement intelligente mais malheureusement ambitieuse et c’est ce qui la perdra. Ils ont utilisé le contrôle mental sur elle pour la manipuler.

     

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  • Le président Kennedy était a 100% contre la bombe israélienne et était très inquiet du site de dimona qui en faisait la prononciation. C est un secret pour aucunes souverainetés et les initiés-acteurs de l époque.
    Apres, mettre les deux pieds dans le plat est on l imagine une autre histoire.

     

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  • @michel mertz, c’est exact, ce n’est qu’à partir des années 2000, pour être précis en 2003, lors du 40è anniversaire de l’assassinat de JFK, et ensuite en 2013, lors du 50è anniversaire, que l’on a parlé du mossad, et des américains écrivains, ou intellectuels étaient au courant, et surtout le procureur Garrison, qui lui, avait compris dès le début de son enquête en 1966, et hélas décédé en 1992, ne pas oublier qu’en 1966, le président américain qui était au pouvoir était le président Johnson, que JFK détestait.

     

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  • Merci pour le partage de cet entretien passionnant.
    Je pensais connaitre un minimum ce sujet.
    Pas vraiment en fait.

     

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  • #3525579

    Même National Enquirer a choisi cette piste, donc... Y a de l’espoir ?

     

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