@vigile
Tu veux te détruire physiquement, moralement , au niveau santé , combien de temps encore ?
C’est ce que tu veux pour les tiens ?
Pour tes enfants, amis ,collègues, peuple ??
Cotiser pour avoir toujours moins ??
Pour des écoles rurales que l’on ferme, des routes non-entretenues, des services d’urgences fermés, une sécu qui rembourse de moins en moins , des autoroutes, que nos anciens, nos parents , nous et bientôt nos enfants, ont remboursé, payés, depuis belle lurette et qui engraissent des multinationales, des actionnaires des fonds privés, où tu dois toujours payer, payer plus, sur une autoroute qui est a toi, des aéroports que tu as financé, une A.M.E dont tu n’as pas droit ??
Payer des flics qui t’éborgnent, t’amputent, te défigurent, une presse qui t’insulte, des radars qui te verbalisent, des horodateurs qui te surveillent et sanctionnent ?
Une télé, un cinéma subventionné par ton fric qui te méprise ?
Tu te drogue ?
Tu as des problèmes de compréhension ?
Tu aimes la soumission ?
Réveille toi camarade, pense a toi ,aux tiens ,aux nôtres, a nous !!
Rejoints la lutte et émancipe toi de ce système d’enculés
Force et honneur
Placard anti-électoral, 1er mars 1906.
Publié par l’anarchie n°47 et signé Albert Libertad
C’est toi le criminel, ô Peuple, puisque c’est toi le Souverain. Tu es, il est vrai, le criminel inconscient et naïf. Tu votes et tu ne vois pas que tu es ta propre victime
Pourtant n’as-tu pas encore assez expérimenté que les députés, qui promettent de te défendre, comme tous les gouvernements du monde présent et passé, sont des menteurs et des impuissants ?
Tu le sais et tu t’en plains ! Tu le sais et tu les nommes ! Les gouvernants quels qu’ils soient, ont travaillé, travaillent et travailleront pour leurs intérêts, pour ceux de leurs castes et de leurs coteries
Où en a-t-il été et comment pourrait-il en être autrement ? Les gouvernés sont des subalternes et des exploités : en connais-tu qui ne le soient pas ?
Tant que tu n’as pas compris que c’est à toi seul qu’il appartient de produire et de vivre à ta guise, tant que tu supporteras, – par crainte,- et que tu fabriqueras toi-même, – par croyance à l’autorité nécessaire,- des chefs et des directeurs, sache-le bien aussi, tes délégués et tes maîtres vivront de ton labeur et de ta niaiserie. Tu te plains de tout ! Mais n’est-ce pas toi l’auteur des mille plaies qui te dévorent ?
Tu te plains de la police............