Ces deux-là auraient pu être amis, mais dans une autre vie. Dans la France dystopique des années 2020, ils n’arrêtent pas de se chamailler.
À l’occasion de la victoire du queer autrichien Johannes Pietsch, un contre-ténor, c’est-à-dire une voix de gonzesse, Aymeric et Riton ont encore remis ça. C’est Naulleau, grand défenseur d’Israël depuis son livre avec Soral, qui a versé le premier sang.
Eric Naulleau est dans l'obligation " de dénoncer les éternels complots juifs jusqu’à l’Eurovision " : ben oui hein, il a un truc à se faire pardonner qui date de plus de 10 ans : https://t.co/4L7BF7nl23. C'est donc à une Techouva éternelle à laquelle il s'est astreint.
C'est à…
— MichelM60 (@MichelM1960) May 18, 2025
D’après nos calculs, Nulleau devrait expier ce livre pendant encore 1 000 ans. Après, ça se calmera. En attendant, Caron a dû penser à la chanteuse israélienne qui, génocide-à-planquer oblige, est arrivée deuxième, grâce au vote du Mossad.
Autant le premier, la germano-queer, mérite sa médaille (on dit ça mais on n’a pas regardé la soirée, on avait barbecue), autant la génocidée qui n’aurait pas dû concourir, génocide des palestiniens oblige – vu que la Russie a été écartée du concours à cause de la ou de sa guerre –, ne mérite pas la sienne. C’est une médaille politique ou artistique ?
Voici la chanson plagiée 1 350 fois de la Nana Mouskouri 2025 :
France 24, ça vous arracherait la gueule de dire génocide ou massacre à la place de « guerre » ? Ou « terrorisme » pour les bombardements israéliens quotidiens sur des civils sans défense ?
« Pour envoyer un message fort, l’État hébreu a choisi une survivante des attaques terroristes du 7 Octobre pour le représenter. En raison de la guerre à Gaza, sa participation a été très critiquée. »