Macron chouchoute son électorat en maintenant tout le monde dans le confinement, le port du masque,… Un électorat de vieux qui a peur de tout, car branché sur la télé depuis toujours. Voilà ce n’est pas plus compliqué que ça. Ceux qui mettent en doute les postures gouvernementales sont les plus cultivés et souvent diplômés, les suiveurs de Macron sont le reste dont une grande pleure actuellement sa retraite en chute libre. Ce calcul est électoral pour les prochaines régionales de 2021, à très court terme, cette calamité joue ce pari morbide et très malsain c’est un banquier au comportement à risques.
Encore, bravo à celzéceux qui ont veauté pour ce timbré, j’en connais : d’énormes coups de pied au cul se perdent actuellement.
Nb : en mars 2020, c’était les municipales, les mêmes n’en avaient rien à foutre de l’arrivée imminente du Covid, obnubilés par les élections :
Les regrets d’Agnès Buzyn : « On aurait dû tout arrêter, c’était une mascarade »
Catastrophée par la crise sanitaire, l’ex-ministre de la santé revient pour « Le Monde » sur sa campagne à Paris et son départ du gouvernement.
https://www.lemonde.fr/politique/ar...
« Je me demande ce que je vais faire de ma vie. » Agnès Buzyn est enfin rentrée chez elle, lundi 16 mars, en milieu d’après-midi. Elle vient de « fermer la porte du QG » de sa campagne parisienne et a posé son sac, seule, « effondrée », dit-elle. Elle pleure, et ses larmes n’ont rien à voir avec celles « d’émotion » et de « déchirement » essuyées entre deux sourires lors de la passation de pouvoir au ministère de la santé, il y a un mois. Ce sont des larmes lourdes, de fatigue, d’épuisement, mais aussi de remords. Elle se livre sans fard et l’aveu est terrible. « Quand j’ai quitté le ministère, assure-t-elle, je pleurais parce que je savais que la vague du tsunami était devant nous. Je suis partie en sachant que les élections n’auraient pas lieu. »
Nous payons cet individualisme et ce n’est pas fini.