Un peuple incapable de violence est fatalement voué à disparaître, visiblement les irlandais, à l’instar des français, n’acceptent pas l’idée de disparaître.

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Ben oui, mais ils sont déjà dedans .
Ils commencent à comprendre le cout de l’Europe.
C’est pas tout d’avoir les Gafam sans impots, et un euro tombé du ciel.

M’enfin je dis qu’ils sont dedans, parcequ’ils ne peuvent se plaindre que de
la criminalité de l’immigration, pas de l’immigration en elle-même.
Même idéologiquement ils sont pris.

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Pourvu que ça fasse des émules, surtout en France !

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Aucun peuple européen ne veut des migrants:autres civilisations,autres moeurs,autres religions,autres logiques,autres coutumes,etc..
De plus,ils ne veulent pas s’adapter,mais nous imposer leur charabia.
N’ont aucun arts qui ne nous correspondent.
Charles Martel,Pépin le Bref,Charlemagne,Croisés,revenez !

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La vraie résistance ! On est loin de la palestinienne à papier français Rima Hassan et l’autre trisomique suédoise !
Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins...
Jean-Jacques Rousseau

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Prenons un peu de recul sur l’actualité brûlante dans ce qui reste une colonie anglaise au nord de l’Irlande, et recentrons-nous sur ce qui se joue ici, chez nous.

Il faut toujours se méfier des réactions collectives, surtout lorsqu’elles peuvent être instrumentalisées par des agitateurs ou des agents de provocation — parfois même rémunérés pour cela.

Oui, la France connaît chaque année un nombre préoccupant de viols et environ un millier d’homicides. C’est trop, évidemment.
Mais il faut aussi mettre ces chiffres en perspective : la France compte plus de 70 millions d’habitants. Par le passé, avec une population bien moindre, le pays a connu des années avec davantage d’homicides.

Ce qui a changé, ce ne sont pas seulement les faits : c’est la perception.
Un fait divers peut aujourd’hui, via les réseaux sociaux, enflammer une foule en quelques heures, là où il aurait été, autrefois, un simple entrefilet dans un journal local.

Ce qu’il faut interroger, c’est la capacité des pouvoirs à canaliser ces émotions collectives, à encadrer la réaction populaire — ou à s’en servir.

Parce qu’au fond, ce n’est pas la colère qui est nouvelle : c’est la manière dont elle est déclenchée, amplifiée, et parfois manipulée.

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Historique ! : cette croisade contre l’injustice (occultée par les architectes de la division et les mages de la diversion) et les joies enchantées du multiculturalisme vit venir la réconciliation entre indépendantistes et unionistes.

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@don’t rock my boat
L’autre jour chez Praud un des membres du plateau a montré dans un petit film le contenu des tiroirs de sa cuisine. Oh ! shocking ! il y avait au moins une douzaine de couteaux de toute taille dont certaines très impressionnantes, de vraies armes de guerre ! comment peut-on avoir besoin de tant de couteaux dans une cuisine ahurissant ! Et c’était dans la cuisine d’un des plus dociles participants !

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Mon rapport à l’immigration a changé lorsqu’un groupe armé nous a accueilli dans un petit camping, je travaillais avec des jeunes adultes de la banlieue parisienne et nous sommes arrivés au mauvais moment, la semaine d’avant une jeune fille s’était fait agresser par un autre groupe et quand on nous a vu débarquer, on nous a accueilli fermement
Je me suis dit qu’un jour, il y aurait forcément des débordements.
Heureusement, nous avions bifurqué du projet que les pontes avaient prévu, suite à des vols journaliers, nous étions partis en moyenne montagne avec au programme rando, rafting, canyoning, les activités sportives avaient soude le groupe et les leaders s’étaient calmés à la vue du vide où ils n’étaient pas les premiers à sauter.
Du coup, le groupe est resté soudé et à respecter nos consignes sans s’affoler, j’avoue que je n’ai jamais oublié mon face à face avec un des tireurs.
Il y a eu tolérance, fric à gogo pour des vacances de rêve, pour calmer les tensions.
Je ne m’étonne pas de cette violence, qu’elle soit d’un côté ou de l’autre, elle est l’évolution presque normale qui était à prévoir

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L’afflux migratoire est un pre-requis au declenchement du chaos dans une population homogene.

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