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Entretien avec le général Delawarde : parcours militaire et nouvelle notoriété

E&R Pays de la Loire recevait le samedi 9 décembre 2023 à Nantes le général Dominique Delawarde pour sa conférence intitulée « Qui façonne l’histoire ? », l’occasion de s’entretenir avec lui de questions plus personnelles.

 

Au sommaire :

02:32 : Quelle importance cela a-t-il eu pour vous de faire vos études dans le lycée militaire de la Flèche et quel type de formation militaire y avez-vous reçu ?

06:53 : Pourriez-vous nous faire un état des lieux sur l’évolution de l’armée française durant les dernières décennies ?

17:24 : Que pensez-vous du niveau de sécurité réel des réseaux comme X, Telegram, Signal, WhatsApp, etc. ?

21:16 : Comment avez-vous vécu personnellement cette histoire du Qui ? avec Posternak et Morandini ? Notamment, comment vivez-vous la célébrité qui en a découlé et le fait que vous soyez devenu un mème sur les réseaux sociaux ?

24:15 : Que pensez-vous du travail et des positionnements politique et métapolitique d’E&R et d’Alain Soral ?

 

 

 

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34 Commentaires

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  • Et bien, s’il ne suffisait que de ça pour redresser le pays...les sympathisants E et R s’enflamment bien vite.
    Ce monsieur- tout Général qu’il est- a 75 ans et n’a pas de perspectives sérieuses à offrir suite à une séquence chez Morandini, beuz assez pauvre... il a connu le monde que De Gaulle et les amerloques nous ont laissé dans la séquence post deuxième guerre mondiale, tant mieux pour lui, mais l’eau coule sous les ponts...A son âge et avec son vécu, il devrait être trente fois plus vindicatif qu’Alain Soral lui même. Courage à nous tous.

     

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    • Ce monsieur , comme vous dites , a le mérite de réveiller les consciences et il le fait à visage découvert avec les risques que ça comporte.
      Je vous rappelle que le regretté professeur , s’est fait défoncer la figure par les officines de représailles , malgré son age .
      Que tous ceux qui pourraient être même trente fois moins vindicatifs que lui se lèvent avant de donner des leçons.

       
    • #3303179
      Le 5 janvier à 08:23 par L’abbesse du Thaud de Profy
      Entretien avec le général Delawarde : parcours militaire et nouvelle (...)

      Je relis attentivement votre message, j’y relève quelques informations permettant de vous profiler et partant, je me permets de relever que votre conclusion contient une contradiction.
      Il m’apparait nettement que vous êtes jeune car vous dites ne pas avoir connu le monde de Gaulle et en soulignant l’âge du général Delawarde vous regrettez qu’il ne soit pas plus vindicatif, justement à cause de son âge.
      J’en déduis donc que vous ne faites pas partie de la génération des boomers (comme A. Soral et le général) ni des retraités, ni des seniors ni de celle ayant eu de Gaulle comme président.
      Mais, et c’est là le point important que je souligne, vous avez encore la chance, malgré votre âge, d’avoir des informations sur ce monde (celui de De Gaulle). Ainsi, la description du système d’éducation du prytanée de la flèche donnée dans la vidéo apporte des informations pour la compréhension de ce qu’est devenue l’école d’aujourd’hui ; Il en est de même pour les documentaires de l’INA sur les années 60 /70, diffusées de temps en temps par E&R.
      Donc, si quelqu’un doit être trente fois plus vindicatif qu’Alain Soral, c’est vous. Je veux dire « vous les jeunes ». Dans quelques années seulement, il y aura 5 millions de « vieux » en plus en âge de toucher une retraite ou d’aller en Ephad, c’est la démographie qui le dit. Dans trente ans, A .Soral en aura 95 (à la louche…) , le général 105 et on ne sera plus très nombreux a pouvoir parler du monde de De Gaulle, j’en témoigne par avance . Courage à vous effectivement, car vos enfants ou la génération qui va vous suivre n’aura plus personne ayant du vécu et de l’expérience, à écouter ; d’autant plus que le système va s’employer et s’emploie déjà à ce que toute transmission, d’une génération à la suivante, d’une information révolutionnaire, disparaisse.
      Au train où ça va, les jeunes de 2050 seront donc des zombis, des morts-vivants littéralement.
      Donc, si mon hypothèse initiale est juste, et si vous avez moins de 40 ans alors c’est le moment d’être vindicatif car les vieux d’aujourd’hui savent mais ne peuvent plus guère, et dans 30 ans les jeunes de 2050 ne pourront pas (..car les flics lanceront des drones lacrymogènes depuis un bunker) et ne sauront rien.
      Courage à vous tous.

       
  • Quel bonheur ! Voilà un homme honnête, courageux, intelligent, informé, cultivé et sincère. Bravo E.R de votre rapprochement avec un si beau français qui a fait ses preuves tout au long de sa vie.
    Tout ce que dit le Général DELAWARDE est vérifié, pesé, soupesé, pensé, référencé et articulé. Il est du niveau des grands intervenants d’E.R dont on ne trouve aucun équivalent ailleurs.
    Avec de tels hommes, la victoire pour une société plus juste, plus respectueuse de son histoire et de sa culture, plus naturelle et plus évidemment belle devient possible.
    Par l’exposition publique de ses constats et de ses idées (pourtant remplis de bon sens et fondées sur des preuves documentées) Dominique DELAWARDE à 75 ans risque gros ( sa réputation, ses décorations, son grade honoraire et surtout sa retraite qui le fait vivre) et il le sait : cela s’appelle avoir l’esprit chevaleresque jusqu’au bout, non seulement en paroles mais en actes.

     

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  • C’est lui qui, à l’instar de Salomon, comptait "les décés covide" durant plus de deux ans ,sur les sites "alternatifs", justifiant ainsi "la p(l)andémie".
    Certains l’appelaient le Général Papaye puisque se basant sur un test frauduleux comme l’avait démontré feu le président tanzanien avec la papaye testée...du coup la cravate prend tout son sens...

     

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    • Quant on est quelqu’un droit dans les bottes , vu sa formation et profil , on met sans doute un certain temps avant de réaliser que ceux à qui on obéissait pouvaient autant mentir et manipuler , question de logiciel et la majorité des moutons ont le même .
      Ceux qui dès le début se sont méfiés continuent encore d’halluciner que des nuisibles de ce niveau prospèrent encore , pour combien de temps ?

       
  • Monsieur Delaware...un grand monsieur et un français...un vrai français !!

    Du genre des soldats virés de l’armée après l’affaire des fiches.

     

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  • #3303216

    Dans son comparatif entre soldats professionnels et appelés, le général Delawarde omet (volontairement ?) un "léger" point de détail : il n’y a jamais eu un seul appelé engagé dans les Balkans ! Les soldats qui ont été engagés en Bosnie ou ailleurs étaient soit des engagés, dont une grande partie trouvaient d’ailleurs leur origine dans la conscription à l’exception des légionnaires, soit des "volontaires service long" donc des jeunes également issus de la conscription qui avaient signé un contrat d’engagement. La seule différence tenait dans la durée des contrats : 3 à 5 ans pour un engagé normal, 6 mois ou 1 an pour un VSL.
    La mise en place de ce statut de VSL, qui a duré le temps de la finalisation de la professionalisation des Armées, répondait d’ailleurs à une des raisons majeures qui a conduit à cette professionalisation : l’inemployabilité des appelés en opérations si la France en avait eu besoin. En effet, et c’est une des conséquences de la guerre d’Algérie, aucun politique d’alors n’aurait jamais eu le courage d’assumer la mort d’un seul appelé en opération ! En clair, jusqu’à la fin des années 80, nous avions une armée de 560000 hommes dont seule la portion congrue des unités professionnelles, comme la guerre du Golfe l’a mis en lumière, pouvait être engagée au combat sans délai. Le reste, les appelés, étaient cantonnés à balayer les casernes, à s’entraîner dans les camps de manœuvre champenois et à défiler au 14 juillet.
    Ceci dit, et là je rejoins le général Delawarde, ce constat n’enlève rien aux qualités de soldats dont faisaient preuve une partie, et seulement une partie, des jeunes gens qui effectuaient leur service militaire ni à l’évident caractère de favorisation de la prise de conscience à un destin commun du même service militaire.
    Le problème est que le statut d’appelé ne permettait pas, en terme de finalité opérationnelle, de répondre aux exigences de la défense du pays. Et la mission centrale des forces militaires était, est et sera toujours demain de préserver les intérêts vitaux de la Nation par les armes pour ce qui concerne leurs spécificités propres.
    En conclusion, les mêmes causes produisant les mêmes effets, la mode actuelle qui tend à remettre sur la table un éventuel service militaire pour tenter de régler les problèmes d’éducation ou d’assimilation que les familles et l’EN n’ont pas été foutus de solutionner n’aboutira à rien. La seule question qui vaille est : "Qui est prêt à mourir pour son pays ?"

     

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  • J’en ai profité pour revoir cette fameuse sequence du "QUI". Cette sequence est completement dingue, avec ce posternak au bord de l’implosion, et morandini en juge de paix qui arrete l’entrevue, tel un parangon de vertu. En tout cas bravo au general. Il a dit ce que beaucoup pense mais ne peuvent que la fermer sous peine d’etre mis au ban.

     

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  • #3303400
    Le 5 janvier à 17:14 par ProtégeonslaPalestine
    Entretien avec le général Delawarde : parcours militaire et nouvelle (...)

    Dominique Delawarde est un être de haute moralité. Son sens de l’honneur et de la droiture s’accompagnent d’un potentiel comique (involontaire ?)

     

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  • Grande leçon de lucidité politique. Merci à ER.

     

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  • #3304225
    Le 7 janvier à 19:23 par en général on vérifie
    Entretien avec le général Delawarde : parcours militaire et nouvelle (...)

    Maints États qui combattirent le Troisième Reich étaient, ouvertement, racistes eux aussi.

    Il faudrait un livre entier pour expliquer ce qu’était le racisme du Reich. Voici quelques éléments, cités ici car ignorés des foules, au contraire d’autres faits certes essentiels mais unanimement connus.

    Extrait d’un entretien avec le général Otto Ernst Remer (de la Wehrmacht) :



    – Est-il vrai que les Allemands qualifient les Russes de sous-hommes ?
    – Absurde ! Les Russes sont des êtres humains tout comme quiconque.



    https://en.wikipedia.org/wiki/W._E....



    Du Bois fit un voyage autour su monde en 1936, qui comporta des séjours en Allemagne, en Chine et au Japon. Tandis qu’il se trouvait en Allemagne, Du Bois remarqua qu’on le traitait avec chaleur et respect.
    Du Bois took a trip around the world in 1936, which included visits to Germany, China, and Japan. While in Germany, Du Bois remarked that he was treated with warmth and respect.


     

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  • #3304496
    Le 8 janvier à 12:26 par en général on vérifie
    Entretien avec le général Delawarde : parcours militaire et nouvelle (...)

    Il est étonnant de devoir le rappeler contre l’interprétation de surdoués brillants en histoire : la devise Gott mit uns (Dieu avec nous) est chrétienne ; elle est le nom prophétisé pour le Christ.

    Livre d’Isaïe, VII, 14 :



    C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe : voici que la vierge est enceinte, elle enfantera un fils, qu’elle appellera Emmanuel (c’est-à-dire : Dieu-avec-nous).




    Évangile selon saint Mathieu, I, 23 :



    Voici, la vierge sera enceinte, elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous.



    C’était déjà la devise de l’armée allemande en 1914-1918.

    Ayant été admis en PMS avec des résultats, disons, agréables à découvrir, et diplômé en histoire, je ne prétends quand même pas rivaliser avec le général – ni en intelligence ni en culture – et regrette de voir ce manque de rigueur chez un tel homme.

    Quand on est athée, on croit avoir le bon droit pour soi ; quand on est croyant, la même chose se dit être avec Dieu : ce n’implique rien de sinistre en soi.

     

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    • #3304849
      Le 9 janvier à 00:14 par en général on vérifie
      Entretien avec le général Delawarde : parcours militaire et nouvelle (...)

      Le sionisme ne se réclame pas de l’interprétation chrétienne de la Bible ; s’il a certaines spécificités, c’est ailleurs que dans ce qui est commun à ces deux religions qu’on doit en chercher le principe.

      La tradition talmudique (cabaliste ou non ; le sionisme s’inspire largement des idées du mouvement cabaliste Goush Emounim) estime que l’autorité de la majorité des rabbins l’emporte sur les décisions de Dieu (Talmud de Babylone, Nezikim, Bava Metzia 59a). La notion de tikkoun (réparation) implique quant à elle un devoir de réparer ce qui dans le monde sera considéré comme mauvais.

      Ivan Fiodorovitch Karamazov, personnage de Dostoïevski (Les Frères Karamazov), concluait que si Dieu n’existait pas tout était licite : la norme extérieure intangible que le christianisme voit dans les commandements de Dieu constitue pour cette religion une règle morale indiscutable, et donc le mot d’ordre Dieu avec nous ne permet ici rien qui puisse aller contre les commandements de Dieu.

       
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