Egalité et Réconciliation
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"Georges Bernanos, témoin de notre temps", par Henri Guillemin

Une présentation enregistrée le 4 novembre 1974.

 

Le coffret « Georges Bernanos »
est disponible chez Kontre Kulture !

 

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5 Commentaires

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  • #3258138

    Merci pour cette pépite.

     

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  • #3258795

    Mon dieu, que Guillemin a mal vieilli.
    Je l’admirais, dans mes 20 ans.
    Tout cela est bien loin.
    Cette manie de flétrir tout ce qui n’est ni de gauche, ni bien-pensant.
    Très pénible.
    A noter qu’il n’évoque pas l’œuvre maitresse, l’hommage à Drumont, que Alain Soral a si bien contribué à faire connaître aux nouvelle générations.
    Je veux parler, bien sûr, de La Grande Peur des Bien-pensants.

     

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    • #3259135

      je dirais que c’est plutôt toi qui a bien vielli,
      moi où j’ai décroché de Guillemin c’est sa conférence sur l’affaire Dreyfus. enfin il reste malgré tout toujours un excellent vulgarisateur (Napoléon, la commune, les années d’avant guerre etc)

       
    • #3259451

      "Cette manie de flétrir tout ce qui n’est ni de gauche, ni bien-pensant."

      La gauche de Guillemin est celle du travail.

      Quant à la bien pensance, celle qu’il dénonce est incarnée par les affairistes de l’époque qu’il commente, qu’on pourrait mettre en parallèle avec celle de la droite néolibérale d’aujourd’hui.

      Bref, Guillemin c’est l’incarnation, avant l’heure, de la gauche du travail et de la droite des valeurs !

       
  • #3259376

    @ Paramesh,
    Tout bien considéré, et après des années de réflexion, je crois que Guillemin est un homme dangereux : sous des dehors de conférencier madré, cependant qu’issu des entrailles de la la vieille France, en fils d’agent voyer du Mâconnais hissé à la force du poignet, il me semble qu’il incarne bien ces chrétiens de gauche dont il se vante d’être, tourmentés, veules, mous jusqu’à l’absurde, et n’évoquant pratiquement jamais les sujets interdits, préférant les généralités à la Hugo, la misère du peuple, la cariatide qui soutient les riches, sans jamais désigner qui tire les ficelles.
    Tout cela, je répète est caduc.
    De Gullemin, il ne reste qu’un mot : rien.
    Dans trois siècles, et sans vouloir faire dans le fayotage excessif, les vidéos d’Alain Soral, auront beaucoup mieux vieilli, politiquement, j’entends, que la collection complète des œuvres de l’exilé de Neufchâtel, publiées par la TSR.
    _

     

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