Henry de Lesquen s’insurge sur les points clivant qui bâillonnent la liberté d’expression à savoir la loi Perben et la Shoah. Il n’en parle jamais avec grossièreté mais la définit. Or, un mot, un concept doit se définir, s’expliquer. Il est certain que la shoah ne s’est pas invité par hasard comme concept. Venue des USA, je pense par les néoCONs et d’hollywood, ce mot sert de MUR, de prison mentale à tous ceux qui le prononcent. Cependant, HDL a raison de mettre l’accent sur l’âge des gens (2016-1945 = 71 ans). Partant de cette soustraction, il faut raisonner. Combien de victimes reste-t-il ? La plupart décédèrent post 2nde guerre mondiale. Je me souviens d’une visite dans le cadre scolaire en Auschwitz suivi de la projection du film « nuit et brouillard » mais aussi de la réaction de beaucoup de lycéens : un fou rire. En partageant nos idées, on avait la sensation de se trouver dans un décor de ciné. Il y a quelques années de cela, on pouvait encore parler de ce sujet maintenant cette religion shoatique cadenasse toutes les libertés. Derrière cette idée, que se cache-t-il ? Beaucoup de concepts marketing à partir d’un mot générique bien léché renferment des détournements de valeurs, financiers et bien d’autres choses inavouables et impensables. Pendant que l’on endort des gens avec un mot, les mondialistes travaillent et avancent fructueusement leurs pions pour mettre en place toutes leurs politiques déviantes à l’échelle de la planète. Le dire ne fait pas de vous un complotiste.
Il est à noter que ces associations, ces professionnels de qui réclament justice, sont financés par l’une des fondations les plus actives au monde LA FONDATION FORD (travaillent concomitamment avec celle de Soros dans les déstabilisations nationales dites "révolutions colorées"). La fondation ford, en France, finance entre autres SOS Racisme, le CRAN, et l’Institut français des relations internationales, mais aussi, dans le passé, Futuribles et le Congrès pour la liberté de la culture, Reporters sans frontières (RSF) mais participe au financement des No borders (Camps des immigrés de Calais, Grand Synthe) et autres groupuscules d’extrême gauche. Derrière la religion de la shoa se cache des enjeux financiers considérables par captation de biens mais aussi par des procès truqués dont le jugement aboutit à des peines de prison, amendes et saisit des biens. Bref certains peuvent être considérés comme un DOL.