Merci pour ce message plein de réalisme et écologique dans son esprit : combien de terres cultivables disparaissent chaque année au profit d’une urbanisation folle ? Il serait temps de recourir à une véritable politique de préservation et de protection de notre environnement naturel. Freinons la construction de ces lotissements hideux qui défigurent nos campagnes et qui contribue à la mise en péril de notre agriculture. Optons plutôt pour la réhabilitation des centre-ville délaissés notamment en raison des impôts locaux qui incitent beaucoup à aller vivre dans une campagne finalement très proche de la ville ( réalisation du fameux slogan " mettre les villes à la campagne" ? ) sans se poser davantage de questions sur les conséquences de leur choix pour les générations futures...Oui, Greg, réhabilitons " les millions de logements abandonnés ou inhabités ", ce n’est pas ce qui manque...C’est aussi, effectivement, une question de respect envers ceux qui ont oeuvré avant nous dans ce pays.

Foutez la paix aux terres agricoles. On bétonne un département français de terres agricoles tous les 7 ans. N’oubliez pas que manger est un besoin encore plus primaire que le logement.

@ Jérémy
Entièrement d’accord avec vous ! Bien dit !

Ces maisons en carton sont horribles à habiter, j’en ai pris une en location une fois, murs moisis sous le papier peint, loyer exorbitant, cette bicoque avait été construite 5 ans auparavant. Maisons neuves, plus jamais.

"Nous avons UN pays..."

@Leïla

Il est évident que l’antre doit "payer"... dans ce monde où l’on a tendance à valoriser l’extérieur qui est déjà guère reluisant, au détriment du vrai intérieur (âme).

J’ajouterai ceci ;

Selon notre sensibilité, qui a pour effet de développer ou d’étouffer notre potentiel analytique, on peut se forger une opinion différente des propriétaires ou locataires de ces habitations en kit ;

 Ainsi, nous aurons d’un côté les pleurnicheurs fatalistes qui se lamenteront du "triste" sort de ces gens, avec l’éternelle rengaine du "faut les comprendre, ils n’ont pas les moyens donc pas le choix, blablaba ",

 Et de l’autre, ceux qui ne se laisseront pas amadouer par les sanglots d’une pseudo condition de pseudo pauvreté.

Dans le premier cas de figure, la vision ne s’arrête qu’à l’apparence immédiate, sans y relever
l’orgueil de la reconnaissance sociale factice dictée par les manipulations du système mondialiste.

En cela, cette reconnaissance sociale individualise les individus (si je puis dire...), de manière de plus en plus virulente, façonnant une exaltation du "moi" en une entité charnellement individuelle et individualisée, au point que ces "victimes" vivent dans une bulle quasi hermétique, inoculant ainsi à la Nation, une dégénérescence auto-immune du tissu social, à défaut de toute cohésion symbiotique nécessaire à la survie d’une identité commune.

Par conséquent, ces "victimes" individualisées du système, se soumettent pour assouvir leur addiction du monde libéral libertaire, au mot d’ordre du mondialisme, à commencer par la destruction du foyer familial, qui est la base de tout, où de ce fait, les familles se scindent ou se fractionnent, dans le simple but d’obtenir ce "confort" tant recherché avec lequel le mondialisme soudoie les âmes, ainsi, il est logique, qu’une nécessité de logement s’impose, là où à une époque non lointaine, on se supportait sans trop de problèmes sous le même toit.

Donc, il incombe à ces "victimes" là, de s’imposer un examen de conscience et qu’ils ne sont que des idiots utiles endurcis, un pur produit du système, en retrouvant un aspect plus traditionnel, plus authentique et moins authentoc, pour lutter contre leurs pulsions de paraître pseudo-d’autonomes.

Lorsque les paysans d’autrefois bâtissaient une maison en pierre durable et esthétique, je défie quiconque de me prouver que ces vaillants et laborieux furent moins à plaindre que nos chouineurs d’aujourd’hui...

RM

@RichardM, bien d’accord avec toi, mais malheureusement ces idiots-utiles, ces "victimes" content d’être ce qu’ils sont, anesthésiés par la bêtise et l’orgueil, ne sont pas prêt d’ouvrir ne serait-ce qu’un oeil.