Le 7 octobre 2023, des combattants du Hamas passent la frontière de Gaza et attaquent les casernes et colonies attenantes. Le services de sécurité israéliens sont dépassés, et après des combats rapprochés, les militants palestiniens repartent avec des otages.

La défense israélienne, après avoir demandé à ses soldats à la frontière de se mettre en congé, mettra 4 heures à se reconstituer et intervenir sur place. Le 7 Octobre était né, dans une faille de sécurité créée par la hiérarchie militaire.

Les civils (fêtards et colons) seront les grands perdants de cette opération, puisque eux seront surpris par l’attaque, sans grands moyens de défense, abandonnés par les autorités. Ils ont tout simplement servi d’appât. De plus, l’armée, quand elle est intervenue avec des moyens lourds (chars, hélicos), a tiré dans le tas, multipliant le nombre de morts civils mêlés aux preneurs d’otages du Hamas. Cela rappellera à tout le monde, à une autre échelle, la lenteur des secours au Bataclan.

13 Novembre, le 7 Octobre français : Laurence Beneux revient
sur l’intervention freinée au Bataclan

Chez nous, le 7 Octobre est devenu sacré, objet de culte. C’est la 2e ou petite Shoah, et il n’est pas permis d’en douter. Or, des informations remontant d’Israël viennent pulvériser le récit officiel. Cela n’empêche pas les imbéciles ou les collabos des médias français de psalmodier le mantra du 7 Octobre à chaque fois qu’un invité évoque le génocide des Palestiniens. Ils vont même jusqu’à nier la famine à Gaza.

Heureusement, les forces d’occupation israéliennes ont trouvé le livre preuve dans les ruines des habitations (80 % des immeubles sont partis en fumée). On remarque qu’il y a deux camps : les complotistes, appelés comme ça par leurs adversaires, et les israélistes.

La machine a mentir n’a pas fini de produire de la désinformation, mais à chaque mensonge, elle ajoute un grain de sable dans son propre mécanisme, et produit son propre poison. Moins elle empoisonnera de gens, plus elle s’empoisonnera.