Egalité et Réconciliation
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Le gauchiste Laurent Cantet se demandait dans son film L’Atelier pourquoi les jeunes se soralisent

Note de la Rédaction

À l’occasion de la mort du réalisateur, nous exhumons cet article, une forme d’hommage maison.

« Pourquoi une part de la jeunesse ouvrière, aux prises avec l’ennui, la solitude et l’absence de mémoire, se reconnaît-elle dans les discours de l’extrême droite ? C’est le sujet du dernier film de Laurent Cantet, riche et complexe, à la fois thriller et documentaire. »

Ainsi commence l’article de regards.fr à propos du film du réalisateur gauchiste. Dans lequel on retrouve tous les poncifs et aussi toutes les impasses idéologiques du gauchisme à la sauce antiraciste et antifasciste.

 

Depuis la naissance d’une opposition nationale et sociale forte, couplée à l’explosion de la liberté d’expression sur l’Internet, le dogme gauchiste dominant a volé en éclats. Les piliers qui formaient cette idéologie aux commandes depuis l’après-68 se sont heurtés les uns aux autres sous l’effet du réel, prouvant par là-même qu’ils n’étaient pas bien solides. Une propagande massive les a imposés aux Français, qui se sont rendu compte, peu à peu, de leur inanité et de leur inefficacité. Devant l’immigration massive, devant le chômage massif, devant la paupérisation programmée, cette idéologie était non seulement inefficace, mais complice !

Avec un train de retard, et une guerre de retard aussi, les agents culturo-mondains continuent à seriner les principes de cette idéologie qui a totalement failli à un public de plus en plus maigre et de plus en plus sceptique. Les Français seraient-ils pris pour des cons par les médiacrates aux commandes ? Peut-être pas, tant ces personnages sont intoxiqués par leur propre poison.

On en voit le résultat flagrant dans le dernier film de Cantet, qui fait une fixation sur Alain Soral, fixation qui symbolise la perte de repères et d’influence de la gauche socialo-sioniste. Cantet, étymologiquement, ne comprend pas l’engouement de la jeunesse pour Alain Soral et le soralisme [1], qui est une vision du monde pourtant beaucoup plus adaptée et moins insultante pour l’intelligence que sa propre grille de lecture.

Dans L’Atelier (ou la fabrique de clichés) de Cantet, deux personnages se font face, on vous passe les symboles lourds comme des chevaux morts...

« Malika, petite-fille d’un ouvrier algérien des chantiers naval, veut transmettre la fierté du travail, les combats contre la fermeture des chantiers. La jeune femme imaginerait volontiers l’action dans ce temps homérique où 10.000 ouvriers produisent des paquebots qui sortent du port à grand renfort de fêtes locales. Cette mémoire des luttes du monde ouvrier, repère essentiel pour Malika, n’évoque rien à Antoine, plus déraciné qu’elle. Lui verrait bien l’histoire se dérouler dans le port actuel où accostent les yachts de milliardaires. On y verrait ce luxe qui le fait rêver.

Le film se focalise peu à peu sur ce jeune homme qui habite une cité comme il en existe tant, partout en France. Les histoires orales et familiales transmises par le grand-père de Malika se heurtent aux images qu’Antoine capte sur son ordinateur ou dans des virées où la culture viriliste domine et où le talent se mesure aux canettes dégommées à coups de revolver. L’ennui et la solitude suintent. »

On sent bien que Malika, le Bien, va s’en sortir alors qu’Antoine, le Mal, va mal tourner. Il va se soraliser. Regards.fr, pas à l’abri d’une aberration, titre même « une démonstration percutante ». On imagine les lycéens qui seront obligés de voir ce film, véritable insulte à leur intelligence et à leur libre-arbitre, placés devant le choix binaire Malika/Antoine, antiracisme/racisme, ou antifascisme/fascisme... à savoir être des couillons ou des salauds ! La belle méthode éducative que voilà ! Comme si les jeunes d’aujourd’hui étaient aussi cons que ceux de Mai 68 ! De l’eau informative est passée sous les ponts depuis, et la proportion de jeunes qui ne votent plus pour les partis dominants de l’alternance va croissante...

Le Cantet a donc produit, à l’aide de l’organisme public de financement de la propagande, le CNC, une œuvre de propagande tellement lourde qu’elle sera un énième coup d’épée oligarchique dans l’eau. Les jeunes se foutent de ce genre de prêt-à-penser comme de leur première mauvaise note, et leur asséner ce catéchisme pour imbéciles ne fera que renforcer leur méfiance.

Pour ce qui nous concerne, déprogrammer une partie grandissante de la jeunesse française est un jeu... d’enfant : la programmation est tellement nulle qu’on n’a pas de mal à la déconstruire, pour reprendre les termes de cette philosophie à la mode dans les années 70. Une déconstruction des modèles qui avaient fait la force de la France, et qui n’a pas été réalisée par hasard ! Comme le film de Cantet n’a pas été réalisé par hasard : l’oligarchie doit à tout prix raccrocher les wagons avec la jeunesse, sous peine d’un futur de plus en plus difficile pour elle.

Alors bien sûr, tous les jeunes ne sont pas méfiants sur les intentions des adultes en charge de la direction de la société et de la communication de masse. Beaucoup tombent dans les pièges tendus, et on ne peut pas les en blâmer : il nous a fallu à nous aussi des années pour les déterminer, les neutraliser et les dénoncer pour éviter que d’autres ne tombent dedans.

On va terminer sur la critique de regards.fr, qui essaye de noyer le poisson :

« À partir de cet entrelacs de jeux vidéo, de propagande de l’armée, de cours de culturisme, Antoine construit sa vision du monde en gobant les idées d’un Alain Soral quelconque qui abreuve ces jeunes oreilles de principe "d’honneur" et de "valeurs" jamais vraiment précisées. »

Pour eux, on peut préciser ce que sont les valeurs que nous défendons. Elles ne sont ni imprécises ni incohérentes, comme les pseudo-valeurs que sont l’antiracisme et l’antifascisme et qui sont utilisées sans vergogne par la dominance, plus apte à faire appel à l’ignorance qu’à l’intelligence des jeunes !

 

Notes

[1] Qu’il fait manifestement passer pour une idéologie d’extrême droite racialiste

Encore un film soutenu par le CNC et une socio-culture impopulaire

 






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60 Commentaires

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  • "...pourquoi les jeunes se soralisent". Par ce qu’ils en ont assez d’être des goyim, et pas que les jeunes, nous allons bientôt tous nous libérer...
    ps : leur cinéma de m... ils peuvent en faire des falafels et se les mettre dans le fion.

     

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    • Pourquoi de plus en plus de jeunes virent à droite, droite ?

      Car ils en ont surtout marre de devoir baisser la tête dans la rue, les transports en commun, l’école et autres lieux publiques pour éviter d’être agressés, dépouillés, frappés.

      Parce qu’ils ne supportent plus cette engeance vêtue de survêt et casquette qui crache sur la france et ses habitants, dès lors où ils ne sont pas pro mosquées.

      Etre perçu comme des goyim ne les dérangent pas car pour la plupart, ils n’ont jamais eu à faire à QUI l’on sait du fait qu’ils ne sont militants en rien, si ce n’est à vivre peinards sans être inquiétés à chaque coin de rue.

      Demandez dans la rue aux gens, jeunes ou non ( hors immigrés et descendance directe bien sur...), par qui ils se sentent le plus emmerdés au quotidien et vous constaterez que c’est loin d’être QUI vous pensez.

      Donc oui, beaucoup de jeunes virent à droite toute, mais c’est surtout dans l’utopique espoir de voir les Charters se remplir avec l’aide d’un Zorro providentiel.

       
  • J’avais pu voir son film ressources humaines dans le programme au collège il y a plus de 20 ans. C’était plutôt réussi, il ne nous bassinait pas encore avec toutes les conneries sociétales qui ont supplanté le sérieux, la lutte des classes.
    Ce type est la parfaite illustration de l’évolution niaiseuse gauchiste, la tête dans le sable, le cul en l’air.
    L’extrême drooooooaaaaaaatttteeee

     

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  • Vous noterez que, sans le savoir et sans s’en rendre compte, l’article de Regards valide le corpus idéologique de Soral et E&R !

    Car, au delà de la caricature femme = gentille + issue de =victime = gentille au carré, versus attardé macho de souche, la victoire va à celle qui porte la transmission familiale (droite des valeurs) et le travail productif accompagné de luttes sociales (gauche du travail) et que celui qui perd c’est le flemmard matérialiste inculte...

    Bref, même quand ils essayent de tout mettre à l’envers le réel gagne toujours !

     

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  • Quelle caricature stupide ! Je suis Alain Soral depuis 15 ans il me semble et je ne suis toujours pas raciste... Bien plus éveillé, cultivé et serein en revanche. Les livres Kontre Kulture, l’initiation aux concepts, la compréhension dialectique, la fin du simplisme sont autant de bienfaits que le sieur Soral m’a apporté et je témoigne de ma reconnaissance en achetant régulièrement des livres et des vidéos sur le site d’E et R. La bonne vieille technique du mensonger pilpoul sophiste utilisée par ceux qui n’ont ni les arguments ni les compétences pour mettre à mal Alain Soral et ses nombreuses brillantes idées !!!

     

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  • Je pense que ce gars part du prémice faux que Soral fait partie de l’extrême droite.

    Je serais tenté de prendre Soral pour ce qu’il dit qu’il est ; je trouve qu’il parle trop du Christ, et que comme il relate que dans les années 80 il était "NEw wave", on ne peut déjà pas trop le classifier comme extrême droite, ou du moins comme occupant une position extrémiste à droite.

    Il semble y avoir un amalgame partant de ce faux constat. Je pense qu’une personne adoptant une position extrême sur le spectre politique se caractérise par une structure intellectuelle simpliste et sur-simplifiée à outrance, ce qui ne matche pas Alain Soral.

    Au point ou nous en sommes, je constate que malgré toute leur bonne foi, à ces gens, c’est bel et bien Alain qui fournit des images représentant le Christ. Cela compte pour moi. Nous sommes arrivé dans un contexte ou l’obscénité a atteint un paroxysme et ou les aberrations sont imprimées sur les publicités. Nageurs transgenres, etc etc

    Je suis persuadé qu’Alain peut identifier combien simplement parler d’un gars, le Christ, est positif pour son auditoire, et qu’il serait heureux de ne pas abandonner ces efforts.

    Quelque part, quelque part... Parler d’église entre les gens, d’aimer l’atmosphère de la messe, revient presque à vous faire balancer aux flics pour "societal mismatch". J’encourage Alain à nous transmettre son idée du Christ, et les choses simples qui y sont attenantes, cela compte énormément en les circonstances actuelles.

    Enfin, Merci Monsieur Soral "d’avoir une bouche qui profère le mot Christ". Cela se résume bel et bien à cela. Nous avons désormais à essuyer un genre de honte à cela, vous savez.

    En cela, il est désormais révolutionnaire et efficace de simplement prononcer le mot :)

     

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  • #3355020

    Au fait des nouvelles de Clément dit « Krapo » dessinateur ?
    A quelle époque formidable vivons-nous.
    Un véritable atelier de dysfonctionnement sociétal

     

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  • #3355058

    Il sera mort sans avoir rien compris à rien, comme la plupart des cons endormis !

     

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  • #3355087

    Ridicule dans tous les sens. Incroyable comme cette fiction idéologique trouve son sein dans une actrice qui n’en a pas. D’ailleurs, cette Marina incarne quasi toujours soit la greluche décérébrée comme à ses débuts, soit l’hystérique de part tous ses rôles cinématographiques où l’on peut observer qu’elle n’a pas besoin de beaucoup forcer pour réagir de manière disproportionnée. Tous ces gauchistes portent sur leur "art" les blessures de leur âme tourmentée, abusée, parfois rectifiée dans le sens du Malin à l’instar d’un Cluset chez les "hommes", pour ne plus réussir à faire le distinguo entre les rôles qu’on leur propose avec choix ou volonté planifiée et la réalité qu’ils auront aidé à rendre dégueulasse voire absolument abjecte. Que dire des jeunes "cons" sous quota et non sous talent pour légitimer ce pseudo cinéma financé QUE SI... personne ne déroge à la doxa culturellement politique. Dire que tout ce petit monde participe à la haine et surtout à la chute civilisationnelle de l’Occident sans le savoir car ignares et en pensant bien faire... l’héritage des boomers dans toute sa bassesse et ses richesses. Poutine vite svp ! ... que les Français, les vrais, se refaçonnent dans la rudesse bordel.

     

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  • Il ne comprend rien car Antoine est fils d’ouvrier ou d’artisant, il bosse comme apprenti, il a vu sa banlieue se faire envahir par les remplaçants. Du coup il est parti en province. Quant à Malika, elle est sur les réseaux apres avoir fait son BBL, sa rhinoplastie, et ses implants mammaires, elle lit Grazia, regarde la télé réalité, écoute Aya Nakamura. Donc Antoine essaie de comprendre ce monde de fous, comment on en est arrivé là. Et du coup il prends la claque de réalité AS.

     

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  • La soralisation c’est un synonyme de réenracinement intellectuel et politique. Pour exprimer une pensée politique vivante il faut savoir qui on est sociologiquement d’où on parle historiquement, culturellement. Le gauchisme et le mondialisme sont des processus d’effacement et d’arasement en opposition à tout ce qui est vivant et enraciné.

    "Soralisation"...c’est Orwellien cette castration conceptuelle opérée à travers un élément de novlangue supposément dégradant pour intimider les fragiles.

    C’est comme "estraimeudrouate", cet épouvantail à crétins régulièrement rembourré avec toutes les pensées interdites car non conformes avec la doxa du progressisme mortifère.

     

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