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Les Obama : 300 millions de dollars de Netflix pour produire du racisme antiblanc

C’est la conclusion à laquelle on arrive quand on découvre le fabuleux contrat signé par l’ancien couple présidentiel et sa dernière production pour Netflix. Il s’agit du film écolo-futuriste Le Monde après nous, une bluette dystopique d’un racisme si grossier que même les gauchistes ont boudé la fiction.

Film catastrophe et catastrophique

 

On comprend mieux pourquoi l’oligarchie a choisi cet acteur (Barack a été président de 2009 à 2017) aux origines douteuses mais portant beau et inspirant confiance. Le casting parfait pour entuber le peuple américain ! La preuve en images et en chiffres.

C’est l’onglet Pop culture du Point qui nous apprend que le contrat d’exclusivité des Obama sur Netflix leur a rapporté 300 millions de dollars. C’est juste impensable que l’homme de la guerre américaine contre la Syrie, l’homme du soutien logistique à Daech, flanqué de son époux transgenre Michel.le [1], soit récompensé par cette fortune.

 

 

Ah, le scénario : un couple de bobos woke blancs flippés (cascade de pléonasmes), nantis d’un ado con et d’une fille accro à la série Friends, occupe (à l’israélienne) le temps d’un RbnB la maison d’un père et sa fille noirs. Eux sont prodigieusement intelligents et tous s’inquiètent de la tournure que prend le pays, quand une panne géante d’EDF et d’Internet (une cyberattaque, en fait) le frappe.

Le Point parle d’un « thriller apocalyptique », Le Monde d’une « satire sociale ». Les cinéphiles avisés d’Allociné parlent eux globalement d’une grosse « daube ».

« Si j’avais pu mettre 0 étoiles je l’aurais fait, ce film produit par le couple Obama est lent, long et pas mal de scènes n’ont ni queue ni tête. L’auteur dit vouloir nous pousser au questionnement mais le vrai questionnement est de savoir s’il a lui-même écrit le scénario ou s’il l’a fait écrire par une IA. (...)

C’est probablement la pire daube de 2023 et pourtant Netflix nous a déjà livré des chefs d’œuvres dans la nullité de leurs productions. » (jpP)

« je sais pas par ou commencer. Mais en bordel ça donne ça : des personnages aussi caricaturaux qu’on peut les imaginer (la femme blanche aigri et bourré de préjugé, le daron désemparer sans son téléphone, les ados idiots, qui pensent qu’au sexe et bourrés de préjugés et la gamine un peu perdue mais attaché à sa série) » (Noblet)

Puisqu’on parle de Friends, un petit coucou à Matthew Perry qui est mort d’une OD de Kétamine, cette drogue de cheval qui ravage les campus britanniques actuellement. Autre chose, mais ça n’étonnera personne : le Blanc, incarné par Ethan Hawke, est 100 % déconstruit, tandis que le Noir est 100 % viril. Ne rêvez pas, ce n’est pas une critique de la déconstruction masculine, mais une mise à genoux de l’homme blanc !

Les Obama ont produit ce film, qui fonctionne donc sur une opposition Noirs/Blancs, mais les deux espèces doivent cohabiter pour survivre et ce, contre une troisième espèce, invasive celle-là : les Arabes ! Puisque ce sont eux, visiblement, qui ont déconnecté l’Amérique, pour l’attaquer. Un scénar qui nous rappelle la légende officielle du 11 Septembre...

Les Obama prouvent qu’en dehors du théâtre des discours politiques, où tout est pré-écrit, comme pour les animateurs des late shows, ce sont vraiment deux gros cons. Quand on dispose d’une telle somme d’argent et qu’on produit une telle wokerie, du genre qui met l’empire Disney en péril, c’est qu’on est con, point barre.

« Il ne faut faire confiance à personne, surtout pas aux Blancs. »

On saisit toute le racisme de ce couple à travers cette réplique nauséabonde de la fille noire. Barack est Nobel de la paix et il prône la haine raciale... On savait que ce type était une imposture, mais là, ça saute aux yeux. Noir ou pas, on s’en fout ! Mais ce couple pseudo-royal n’a pas pu s’extraire de sa peau et de son avidité.

Les Obama ressemblent étrangement à la voleuse antiraciste de la fondation Black Lives Matter – Patrisse Cullors – qui s’est acheté quatre villas haut de gamme avec le fric de ses brothers pauvres, un trésor de 90 millions de dollars !

On remerciera malgré tout Barack pour une chose : il ne nous a pas tartiné ses fantasmes homos dans le film. Et Michel.le, lors des avant-premières, était en robe et pas en jogging moulant. C’est déjà ça.

Au fait, ils font quoi de tout ce fric ?

 

On a appris que les deux racisés, déjà proprio d’un quasi-château à Washington (8,5 millions de dollars pour 800 m2) et d’une résidence à Hawaï, se sont offert un manoir sur l’île de Martha’s Vineyard, au large de Cape Cod, là où les Kennedy avaient l’habitude de passer leurs vacances.

La chose valait 22 millions de dollars, mais le proprio a accepté de la leur céder pour la modique somme de 12 millions. L’humanisme, ça peut rapporter gros.

 

 

On se souvient que Barack, aux débuts de sa présidence, avait demandé aux riches de rendre un peu d’argent aux pauvres.
Même cette andouille de Pujadas y avait cru.
Les rieurs et les racistes, vous sortez.

Notes

[1] Pour une fois, nous cédons à l’injonction de l’écriture inclusive. Ce sera la première et la dernière.

The Obama’s, sur E&R

 






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48 Commentaires

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  • Cela me fait penser immédiatement à la série "L’arme fatale", l’arme étant sans doute et par transposition sournoise "l’homme noir"... contre le blanc, et de plus un homme noir qui se rend complice, sans le savoir (mais ça, ça reste à voir), en œuvrant au conditionnement de l’inconscient collectif, et ce, pour les intérêts de ceux qui se servent encore et toujours de lui depuis l’époque des "champs de coton"... ceux qui savent comprendront l’allusion et à qui elle s’adresse. Donc, dans cette série, nous avons d’un côté le "pauvre blanc" dont l’image est celle d’un dégénéré de première, qui de surcroît est célibataire, "évidemment" - à savoir que pour beaucoup d’abrutis, et particulièrement en France, il semble qu’être un taré de ce genre est synonyme de fierté et de virilité -, affichant une dégaine, et notamment de part sa coupe de cheveux, lui donnant des airs d’homosexuel. Puis de l’autre, nous avons en opposition "positive", le fameux "serviteur à demeure" des dominants qui, lui, se voit allouer le rôle d’un hétéro fier de l’être et totalement exemplaire sur le plan psychologique et moral, bref le mec équilibré qui donne des leçons de vie et de tenue correcte exigée avec costard/cravate et belle famille à l’appuie à son paumé de coéquipier.
    Donc, la question qu’on est en droit de se poser est : pourquoi créer un tel déséquilibre entre les deux rôles et ne pas faire en sorte qu’ils soient quelque peu identiques ?
    En poussant modestement l’analyse, il semble que la cible prioritaire de cette manipulation audiovisuelle soit les enfants, des enfants qui, pour la plupart, vont, tôt ou tard et faute de famille dézinguée par la république de Manu et de ses coreligionnaires, se mettre en quête logiquement de repaires externes et d’exemples à suivre.
    Seulement voilà, reste à savoir de quels enfants on parle, n’est-ce pas ?
    C’est l’histoire, pour le moins malheureuse, de Mamadou et Mohammed, nés en France, à qui on apprend que Louis XIV était leur ancêtre.

     

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    • Personne n’apprend à Mamadou que Louis 14 était son ancêtre ... On lui apprend juste que le sale blanc à envahit l’Afrique, mis en esclavage ses parents , a tué plein d’Algeriens pour le plaisir, et n’est qu’un sale kouffar qui mérite de crever .

      C’est quand même pas pareil. Et on lui apprend aussi que les blanches sont des putes à violer à Mamadou. D’ailleurs les blanches ne disent pas non à Mamadou en règle générale, c’est elles qui lui disent que le blanc est un sale raciste, enfin son père .

      Pauvre Mamadou...c’est trop triste , chiale bordel.

       
    • Salut "Tuco", je connais les symptômes que tu décris et depuis très très longtemps, hélas. J’essaie simplement d’apporter une réflexion un peu plus subtile vis-à-vis de lecteurs qui viendraient à lire ce genre d’article pour la première fois sans pour autant connaître les tenants qui amènent à ces aboutissants.
      Cordialement

       
  • On retrouve ce même acteur noir dans la troisième saison de True Detective qui reprend, à la base, tous les codes qui ont fait le succès de la première, mais pour en réalité tout inverser, à savoir, pas de pédophilie sataniste et où, bien évidemment, le méchant racisme des blancs contres les noirs et particulièrement ce noir détective est omniprésent. Le noir est comme l’équivalent du personnage de Rust dans la saison 1 à savoir, l’intellectuel, le pugnace, celui qui va au bout, avec des réflexions particulièrement profonde et intelligente (pour une création américaine) mais où ici tout n’est que masturbation mental, victimisation, chienlit et où le personnage de sa femme serait comme au dessus de tout (oui parce qu’en plus ils y ont mis du féminisme pour en rajouter dans l’insupportable). En bref, la saison 1 était hors de toute propagande sociétale, une réalisation très au dessus de tout ce qui a jamais été fait dans les series avec du talent, du scénario, de l’écriture, aucune ostentation pour un réalisme aussi intéressant que terrifiant et passionnant et la saison 3 est carrément un rituel franc maçon comme nous l’expliquais Stéphane Blet, c’est à dire qu’on nous fait miroiter la vérité pour qu’au final ou inverse et annule tout. En réalité la saison 3 à été réalisé pour comme discréditer la saison 1, l’annuler, la "canceller" finalement et tout ça porté donc par cet acteur noir médiocre qui est un acteur soldat de l’oligarchie en charge de promouvoir toujours plus loin les tensions raciale dans le but de nourrir ce triangle infernale, cette trinité sataniste avec de chaque côté la culpabilisation, la victimisation et au sommet l’ignorance pour manipuler les deux parties éternellement dans des mise en scène permettant de créer et recréé le régime de rêve du pouvoir. Cerise sur le Mc Soros, c’est ce même acteur qui interprète les nouvelles aventures du vampires Blade, pardon, du vampire NOIR Blade, parce que vu les interprétations de cet acteur on sera bien plus au courant que Blade est noir que vampire à mon avis.

     

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  • C’est sûr que c’est pas du Sergio Léone ou du Clint Eastwood , voir du Blues Brothers ...dans ce dernier le rapport blanc negro spirituel était quand même amené d’une façon beaucoup plus saine pour tous, sans supremacisme à haïr autre que celui du KKK, pour le reste leur mission pour le Seigneur fonctionnait bien pour le distraire ensemble , James Brown , Ray Charles et les racisables du groupe avait leur place au delà des quotas imposés , le Gospel tout ça, c’est l’Amerique Evengeliste qui fonctionnait . On était pas dans le satanisme, mais dans le divin , a condition qu’on s’arrête pas en route et qu’on fasse pas passer tout les blancs qui résistent à leur destruction pour les plus racialistes , juste parcequ’ils veulent avoir une descendance qui ne les déteste pas pour ce qu’ils sont : non wokistes, non dégénérables comme les autres.

     

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  • #3304294

    On en est pas au premier film Anti-Blanc. Jordan Peele, par exemple, est le maître en la matière...

     

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  • J’ai netflix gratuit et je peux affirmer haut et fort que si j’avais eu à débourser qu’un seul centime, jamais je ne m’y serai abonné ! En effet puisque je suis un homme blanc de plus de 50 ans, je suis exactement dans la ligne de mire de tout ces fanatiques wokistes qui génèrent plus de films et de séries de merdes qu’une vache n’émet de flatulences.. Parfois je perds plus de temps à chercher un film ou une série comestible que la durée d’un épisode complet. Puis parfois ça démarre bien, ça semble être un scénario correct, et hop, tout à coup le personnage principale qui semblait bien, dévoile son homosexualité, se fait défoncer la rondelle, adore se faire enculer et partage son bonheur d’être pédé avec ses collègues ou amis qui trouvent tous ça super.. Le plus souvent dans ce cas, c’est un blanc. Sinon c’est une gouine qui mène la barque d’une façon dure et détachée et tous les mecs sont à ses ordres et sont bien entendu des pleutres.. Je n’en peut plus de voir les hommes ’’blancs’’ se faire ainsi rabaisser et ravaler leur fierté. Tout ces acteurs sans couilles qui se prêtent à cette mascarade pour du blé. La, ça me fait gerber. Alors, bien entendu il est rare que je puisse regarder un film ou une série d’un bout à l’autre sans me faire violence. Donc, la majorité du temps je ré-écoute des classiques, même si ceux-ci contiennent trop souvent hélas une part non-négligeable de propagande pro-occidental de bas niveau. Chaque période du cinéma à ses ennemis désignés ;Indiens, Viêt-Cong, Russes, Arabes, et aujourd’hui, l’homme blanc, c’est-à-dire, celui qui résiste et qui tente par tout les moyens de préserver ses repères malgré les attaques en continue. Bref, à ce titre, Hollywood n’est qu’un outil parmi d’autres et fait partie intégrante des divers moyens et processus mis en œuvre pour DÉTRUIRE tout ce qui tente de résister à la ligne de changements voulus et imposés par la finance apatride. Netflix ne s’en cache pas, et aucune subtilité n’est employée pour faire passer les messages, ce qui rends la chose encore plus moche. Malgré tout, je m’aperçois que beaucoup de gens n’y voient rien et c’est peut-être ça qui en bout de ligne me fait le plus peur.

     

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  • #3304324

    Je viens de regarder "une affaire de détail" avec Denzell Washington sur Netflix.
    Le vieux flic est noir, le gentil flic est latino, le seul qui ressemble à un blanc (un peu basané) est le salaud tueur en série (mais très intelligent).
    Voilà

     

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  • #3304380

    Ils ont une sacrée paire de couilles pour oser un tel sujet !!

     

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  • #3304406

    A quand un Nuremberg des gens du spectacle ?

    Depuis 30-40 ans quasi 90-95 % des tueurs en série, violeurs sont représentés comme des blancs..

    DONC soit les juges des pays occidentaux condamnent des innocents, extorquent des aveux, falsifient des preuves soit les sociétés de production du spectacle fabriquent du mensonge ...

    Et pourtant nos magistrats sont plus timides pour condamner la "diversité" que le sale blanc qui n’a pas payé la pension alimentaire ... Sic Vincent Reynouard qui croupit gentillement dans une geole écossaise depuis plus d’un an.

     

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  • Ils sont sur la liste Epstein lui et elle. Faut pas. D emander ...

     

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  • Si je peux me permettre, je trouve cette analyse très peu profonde. Je pense que ce film décrit l’agenda, et parle plus d’une attaque sous faut drapeau, qui viendrait de l’interieur, plutôt qu’un attaque des “arabes”. Je pense ce film plus insidieux que décrit dans l’article. Ce n’est que le reflet d’un Hollywood qui veut décrédibiliser le “complotisme”, et les avis divergents en annonçant leur but, et leur agenda.

     

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