Egalité et Réconciliation
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Les soignants suspendus sont réintégrés, sous les crachats du ministre Braun et des médias

 

Lundi 15 mai 2023 est tombée la décision de la Haute Autorité de santé (HAS) : les milliers de soignants suspendus peuvent revenir dans leurs services. Beaucoup ne reviendront pas, partis vers d’autres cieux plus cléments. Entre-temps, l’hôpital public a été fracassé, des services d’urgences ont fermé, tout s’est un peu plus dégradé.

 

Aujourd’hui, en mai 2023, beaucoup de Français redoutent d’aller se faire soigner à l’hôpital (mais pas parce que les suspendus sont réintégrés), où l’on commence à crever à l’anglaise, faute de prise en charge, faute de personnel suffisant. On en est là ! C’est aussi ce que veut la gouvernance libérale, étroitement liée aux grands intérêts privés, que ce soient les assurances, propriétaires de groupes de cliniques, ou le Big Pharma, qui a corrompu en profondeur la chaîne politico-médiatico-médicale.

Les soignants réintégrés après des mois de résistance sont amers, ils ont perdu du temps, de l’argent, de la confiance, et en plus les médias, soutenus par les agents du Système, leur tapent dessus ! Nous sommes bien dans la France à l’envers, celle qui diabolise les bons et qui encense les mauvais.

Le Parisien, en tête de liste (mais on a aussi Mathias Wargon qui fustige la réintégration des suspendus dans Le Monde et dans Le Point), a été trouver des patients qui ont peur de se faire soigner par des soignants réintégrés ! À ce niveau de propagande, on salue l’exploit.

Et que nous dit cet article – de Nicolas Berrod – débordant d’empathie et de reconnaissance pour ceux qui soulagent nos souffrances ? Que 79 % des Français se félicitent de cette réintégration, mais que certains d’entre eux trouvent ça dangereux. Et parmi eux, Guy Konopnicki, bien connu des lecteurs de Marianne. Un sacré client que Nicolas Berrod est allé chercher !

Des personnes à risques sont inquiètes et agacées, notamment celles régulièrement soignées à l’hôpital. « Comment peut-on – même comme auxiliaire – pratiquer la médecine lorsqu’on la nie », tonne Guy Konopnicki, jugeant « le mouvement antivax clairement obscurantiste ». (...)

S’il se retrouve à l’hôpital, Yves, retraité à la Réunion, prévoit carrément de « demander aux soignants qui s’occupent de moi s’ils étaient opposés au vaccin Covid ». « Beaucoup de patients sont inquiets », dit la fondatrice de Renaloo, qui regroupe des immunodéprimés.

Alors elle, on va l’écouter jusqu’au bout, parce que c’est le pompon :

« Quand on doit sa survie à la médecine, on n’a pas forcément envie d’être soigné par des personnes qui ont montré une telle défiance vis-à-vis de la science, avec parfois des comportements qui relèvent du charlatanisme. »

Tout est dit : ces vaccinolâtres ont mis le doigt sur le véritable problème, sans le savoir. Ils confondent la science et les intérêts du Big Pharma, à l’origine de ce pseudo-vaccin dans le meilleur des cas inutile – il n’empêche ni la transmission ni l’infection – et dans le pire des cas dangereux : on ne reviendra pas sur l’explosion des effets secondaires.

Confondre les intérêts des PDG des multinationales de l’injection avec la science, cela a été le travail des médias depuis 3 ans, tout ça pour finalement arriver à donner raison aux soignants antivax. Le pouvoir, qu’il soit médical, politique ou médiatique, ne l’admet pas, c’est pourtant aujourd’hui officiel. Le Système ne reconnaît jamais ses défaites, et quand il perd, il accuse les vainqueurs. C’est de bonne guerre.

On ne jettera pas la pierre au pauvre Konop, bien malade, à Yvanie Caillé (Renaloo), à l’esprit confus, ou à Nicolas Berrod, qui se soumet à l’injonction hiérarchique covidiste : ils ont induit les Français en erreur avec le faux vaccin, ils se rattrapent aux branches en accusant les soignants lucides, honnêtes, qui ne se sont pas soumis au pouvoir du Big Pharma.

Au fond, ce ne sont pas les pires, quand on sait ce qu’a fait toute la chaîne de commandement sanitaire depuis début 2020, avec Buzy, Lévy, Salomon, Hirsch, Delfraissy, Véran, jusqu’à Braun, qui confesse à France Info qu’il serait « inquiet » si un soignant antivax le prenait en charge...

France Info : Est-ce que vous accepteriez, vous, de vous faire soigner par un médecin antivax ? (...) Qu’est-ce que vous feriez, vous, si la personne qui vous accueillait à l’hôpital, par exemple, et s’occupait de vous, était antivax ?

Braun  : Je serais, je serais, euh, interrogatif. Interrogatif et inquiet d’une personne antivax alors qu’on sait que la vaccination sauve des vies...

 

« Sauve des vies » ? Il recommence ! On dit merci au porte-parole du Big Pharma, et aux trois témoins provax que Nicolas Berrod est allé chercher pour foutre la trouille à ceux qui seraient tentés de refuser une 5e ou une 6e injection, puisque désormais, le Big Pharma veut shooter toute la population contre toutes les grippes classiques. C’est l’objectif avoué, afin de maintenir les niveaux stratosphériques de profit qui ont été atteints en 2022 grâce à la corruption des décideurs politiques.

 

La fin de l’article de France Info incite à ne pas crier victoire trop vite :

Au total, l’obligation de se vacciner avait été requise auprès des 2,7 millions de personnes, qu’elles soient directement au contact avec les malades – aides-soignants, infirmiers, médecins, ambulanciers, aides à domicile, pompiers – ou encore indirectement comme les personnels administratifs des établissements de soins. Le gouvernement garde toutefois la possibilité de suspendre à nouveau les personnels concernés si la pandémie repart.

Le covid n’a été qu’un brouillon, un test grandeur nature de la tyrannie mondialiste. Le Big Pharma de Bill Gates et ses amis a besoin de pandémies, qui sont les garanties de ses superprofits et de son superpouvoir.

Comme prévu, sur E&R

 






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