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Les "vieux clichés sexistes" confirmés par une étude scientifique

Publiée en décembre dernier dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences of the United Sates of America, une étude intitulée « Les différences de sexe dans le connectome structurel du cerveau humain [1] » a confirmé la différence entre les cerveaux masculins et féminins : les femmes ont plus d’aptitudes aux relations sociales et à la mémoire tandis que les hommes sont plus enclins à la perception et à la coordination.

C’est une des plus grandes études menées pour observer la façon dont les cerveaux des hommes et des femmes sont neurologiquement « câblés ». Dirigée par la chercheuse de l’université de Pennsylvanie Ragini Verma, l’équipe de scientifiques a utilisé une technique appelée « imagerie du tenseur de diffusion » pour étudier les connexions neuronales dans le cerveau de 428 hommes et 521 femmes âgés de huit à vingt-deux ans. Si l’on compare les connexions neuronales de l’intérieur du cerveau à un réseau routier, les scientifiques ont, en quelque sorte, établi une « carte du trafic ».

Or cette carte diffère fortement chez l’homme et chez la femme. « J’ai été surprise que cela corresponde à un grand nombre de stéréotypes », a déclaré Ragini Verma. En effet, selon l’étude, les cerveaux masculins sont d’avantage connectés pour la perception et la coordination des actions et les cerveaux féminins favorisent les compétences sociales et la mémoire. En résumé, cela explique que les femmes sont davantage capables de faire plusieurs choses à la fois, tandis que les hommes sont en moyenne plus aptes à apprendre et à exécuter une seule tâche.

« Il est tout à fait frappant de constater combien le cerveau des femmes et des hommes sont vraiment complémentaires », a déclaré Ruben Gur, co-auteur de l’étude, dans un communiqué. « Les cartes Connectome détaillées du cerveau vont non seulement nous aider à mieux comprendre les différences entre ce que les hommes et les femmes pensent, mais aussi nous donner plus d’indices dans les racines des troubles neurologiques, qui sont souvent liés au sexe. »

Les cerveaux masculins et féminins montrent peu de différences dans la connectivité jusqu’à l’âge de 13 ans. C’est à l’adolescence, entre 14 et 17 ans, que la différenciation se produit. Les analyses mettent en évidence une plus grande connectivité entre les côtés gauche et droit du cerveau chez les femmes, tandis que les connexions chez les hommes se font d’avantage entre l’avant et l’arrière de chaque hémisphère. Ainsi les hommes montrent-ils une plus grande connectivité neuronale entre le devant du cerveau, siège de la coordination de l’action, et l’arrière, où se trouve le cervelet, source de l’intuition. Réalisé sur des individus en bonne santé, les cartes donnent aux scientifiques une image plus complète de ce qu’est la normalité pour chaque sexe à des âges différents. Avec ces graphiques, les scientifiques espèrent en apprendre davantage pour savoir si les anomalies de la connectivité du cerveau sont en rapport avec des troubles mentaux tels que la schizophrénie ou encore la dépression.

 

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Carte neuronale du cerveau d’un homme typique

 

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Carte neuronale du cerveau d’une femme typique
(Source : Académie nationale des sciences de Pensylvannie)

Notes

[1] « Sex Differences in the structural connectome of the human Brain » : http://www.pnas.org/content/early/2013/11/27/1316909110.abstract

Voir aussi, sur E&R :

Comprendre la complémentarité homme-femme avec Kontre Kulture :

 






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75 Commentaires

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  • #861220

    C’est pas la première étude faites sur le sujet. Mais vu qu’à notre époque, si c’est pas la science qui le dit, beaucoup on du mal à y croire. ça va peut être en aider certain à ce réveiller, quoi que.

    Dans mon cerveau malade, ça parait tellement claire. Et même pour les amoureux de l’évolution on peut l’expliquer très simplement, en remontant à l’age des cavernes. L’homme chasseur, la femme cueilleuse. Un en vadrouille pour chasser (appréciation des distances, mesure du danger, calcul de la force nécessaire et de l’effort à fournir, ect...), l’autre en communauté avec les enfants (surveillance, éducation du premier age, besoin de propreté car plus souvent présent sur les lieux ect...). Sur des millénaires, on comprend bien ce que ça peut apporter comme changement dans le cerveau.

    Une autre étude, expliquait également que les hémisphère du cerveau rapproché chez la femme, lui permettait d’avoir plus de répartie. On comprend facilement que c’est là une bonne défense face à une brute. Quand tu as pas la force de faire face, il faut bien avoir d’autre arme pour pas s’en prendre une.

    Que les choses sont bien faites, dommage que des cerveaux plus malade que le mien veulent absolument aller à l’encontre de ça.

     

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    • #862883

      Tu as tout compris, camarade, et tes exemples sont bien choisis.

      On peut ajouter que la femme a une meilleure perception des couleurs (pour repérer des fruits, mieux détecter si un membre de la tribu est malade, etc.) et l’homme une meilleure perception des mouvements (repérer des proies ou des prédateurs, se défendre contre des rivaux, etc.). La division des tâches en fonction du sexe (division fondamentale) permet l’optimisation de l’adaptation pour la survie de l’espèce.

      On peut raisonnablement supposer que ceux qui veulent absolument ce fait sont les moins adaptés qui jalousent les êtres adaptés. Autrement dit, ce sont des omegas qui jalousent des alphas.

      Toutes ces explications font partie de la théorie de l’évolution. Bizarrement, ceux qui ont fait de la propagande pour cette théorie (certainement juste au niveau de l’évolution des espèces mais probablement fausse concernant leurs origines) la nient maintenant ! C’est la preuve que certains utilisent n’importe quelle justification en fonction de leurs intérêts. Ils ont utilisé la science pour nier le fait religieux (alors que la science ne peut en réalité pas faire cela), maintenant ils utilisent leur nouvelle religion inversée pour nier la science. Ainsi, science et religion vont bien ensemble, car la bonne religion permet de maintenir la science juste.

       
    • #863074

      J’avais lu également dans un site traitant de psychologie (domaine un peu pionnier en matière de neuroscience) que les femmes et les hommes avaient une approche différente dans le rangement des vêtements dans l’armoire. Peut être une des raisons pour laquelle les femmes font de meilleures ménagères que les hommes.

      Enfin en ce qui me concerne moi, je fais partie des mecs les plus bordéliques au sein de ma famille.

       
  • #861383

    Retard à l’allumage alors parce que c’est une information connue de tous depuis belle lurette...Mais comme la recherche est "dirigée par la chercheuse de l’université de Pennsylvanie Ragini Verma" alors ça aura un peu plus de crédibilité sans doute ?...

    En tout cas, vu le temps qu’il aura fallu a une femme pour trouver cette information (qui n’arrive pas à y croire, ce qui en dit long sur la personnalité de cette personne) on peux dire que les "préjugés" (moins intelligente) sur les femmes ont de quoi tenir longtemps...

     

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  • #861444
    Le 17 juin 2014 à 12:42 par Mithridate VI roi du pont
    Les "vieux clichés sexistes" confirmés par une étude scientifique

    Maintenant,j’attends qu’on ose publier en France une telle étude,mais sur les races cette fois...car aux USA ce n’est pas un tabou...

     

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  • #861741
    Le 17 juin 2014 à 18:09 par MagnaVeritas
    Les "vieux clichés sexistes" confirmés par une étude scientifique

    Partie 1

    @☦ Kein Mitleid Für Die Mehrheit ☦
    Eh bien... si !
    Il ne suffit pas de dire « non » pour réfuter une étude scientifique ! c’est pas un argument. De même, il ne suffit pas de critiquer pour que la critique soit pertinente. Ce genre de dégueuli me fait penser aux critiques envers la fameuse étude de Séralini. Sans même l’avoir lue, j’ai tout de suite vu que c’était une étude à tout le moins normale, voire bonne, et que les « critiques » n’étaient qu’une campagne diffamatoire ; je ne m’étais pas trompé. C’est ça, la force d’un professionnel, petit amateur !
    Evidemment, je ne me suis pas farci toute la diatribe d’odile fillod, pour les raisons qui suivent :
    Après avoir pris au hasard quelques points de son argumentation, je me suis vite rendu compte qu’elle était partisane, complètement à charge. Pas de chance pour vous les petites cocottes, vous vous aventurez sur ER sans savoir que je suis, ici comme ailleurs, un gardien de la vérité. Et cette vérité est la suivante :
    - 1. L’échantillonnage est valide, largement au-dessus de la quantité nécessaire pour appliquer des tests statistiques puissants. Sache, qu’on peut faire de la statistique à partir d’un échantillon de n = 5 en mode non-paramétrique, et n = 30 en paramétrique. Les critiques portant sur la différence de taille des échantillons est invalide car ce critère fantaisiste de l’équivalence des tailles n’est pas pertinent et jamais utilisé en science, les tests sont prévus pour résister à ce type de variabilités.
    - 2. Les critiques concernant les prétendus sous-groupes (appartenance ethnique) sont racialistes voire racistes. De toute façon, vu la grande taille des échantillons, une telle critique n’est pas recevable.
    - 3. En fait, toutes ces critiques sont fondées sur une interprétation malveillante des statistiques. La totalité des critiques concernant les prétendues anomalies possibles des cerveaux étudiés, la « variabilité indépendante du sexe », etc. tout ça est une négation du principe même de la statistique.
    - 4. Sur l’absence de preuve des différences fonctionnelles : cette étude est à mettre en relation avec les différences empiriques observées dans des études comme au quotidien. De plus, la relation entre forme et fonction est un principe fondamental de biologie venant de millions d’observations empiriques. Les différences de formes entre hommes et femmes correspondent forcément à des différences de fonctions. L’hypothèse par défaut n’a donc pas à être l’égalité des groupes homme-femme.

     

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  • #861751
    Le 17 juin 2014 à 18:17 par MagnaVeritas
    Les "vieux clichés sexistes" confirmés par une étude scientifique

    Partie 2
    Résumé de la partie 1 : négation des fondamentaux de stats et de biologie.
    Suite :
    - 5. La négation des effets des hormones est déjà réfutée avant même d’être formulée puisque les bovins free-martin sont un cas d’école de biologie portant sur l’influence des hormones sur l’expression génétique. Les bovins free-martin sont des femelles masculinisées et intersexuées, cela à cause d’une anomalie placentaire chez des faux jumeaux.
    - 6. La critique sur les observations post hoc n’est pas recevable à moins de remettre en question la totalité du paradigme épistémologique des sciences expérimentales et descriptives. L’interprétation vient après l’observation. C’est trivial !
    - 7. Quantitatif n’est pas qualitatif. Elle fait dans la logorrhée verbeuse afin que personne ne lise. Elle utilisera le même sophisme que toi : il faut fournir un effort intellectuel, sous-entendu : si vous ne le faites pas, vous êtes idiots, donc j’ai raison.
    - 8. Pseudo-analyse des raisons du succès grand public de cette étude : la réponse à une demande sociale. Traduction : les hommes ont besoin de repères car ils ont peur des femmes.
    - 9. Elle prétend que les abstracts sont des textes publicitaires, ce qui est faux ! les abstracts sont des courts résumés.
    - 10. Des tonnes d’études abondent dans le même sens (différence et complémentarité des sexes), dans de nombreux domaines différents. La fillod n’a pas fini d’écrire des diatribes.
    - 11. Puisque les personnages dans son genre et dans le tien aiment bien les arguments d’autorité, vous allez être servies :
    a. fillod n’est qu’une sociologue ayant bossé des années pour un groupe immobilier (valoris) et pour une banque (bnp paribas).
    b. c’est une militante, pas une savante. Citation : «  des réactionnaires de tout poil engagés dans la lutte contre la "théorie du genre" assurent la diffusion en France d’un documentaire norvégien ». Tiré de http://allodoxia.blog.lemonde.fr/
    c. comme iacub (« présupposés naturalistes »), elle parle de naturalisation du genre, niant de fait la réalité biologique. Depuis ici.
    d. cette faussaire a déjà été réfutée
    - 12. Conclusion : Elle fait partie de l’armée de sophistes levée par les idéologues de la confusion des genres.

     

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    • #862138
      Le Juin 2014 à 23:52 par Monsieur Rolland
      Les "vieux clichés sexistes" confirmés par une étude scientifique

      Pour ceux qui s’y connaissent un peu, regardez le dernier commentaire (alinéa 1) du 21 mai sur son article concernant le même sujet : elle ne comprend même pas la loi de poisson en statistiques et elle a la prétention d’expliquer des écarts en ce domaine... à moins qu’elle ne sache pas parler français ? (http://allodoxia.blog.lemonde.fr/2014/02/22/connectome-stereotypes-genre/#more-1488)
      Il est d’ailleurs très significatif qu’elle essaie de se justifier par ses justifications. Sans parler de l’explication psychologisante pour contrer les arguments avancés par l’auteur. La manipulation de base d’une personne à la limite de la paranoïa aiguë, incapable de se remettre en question. Et après, ce genre de personne veut donner des leçons de méthodologie... quelle prétention !

       
    • #862860

      Bien vu, Monsieur Rolland. Je ne m’étais pas farci tous les commentaires, car déjà lire en diagonale les inepties de cette militante m’avait pris vingt bonnes minutes.
      Cette conne ne sait même pas ce qu’est un seuil de risque. Et en plus, je ne pense pas que les différences de taille des échantillons influencent le seuil de risque puisque les tests sont fondés sur l’analyse de la répartition autour de la moyenne (il faudrait que je demande à un collègue pour être 100% sûr car ça fait longtemps que je n’effectue plus de test, mais je suis sûr à 99%). Du moment que n≥30, il n’y a aucun problème (en plus, là on est très largement au-dessus de 30, ce qui permet précisément d’avoir un échantillonnage pas complètement random) car la connaissance du paramètre (c’est-à-dire la connaissance du type de distribution des données) permet de gagner en puissance. Et même si ça influence ce seuil, il se passe exactement ce que dit le commentateur sur le site de la folle... et elle ose le traiter de troll ! un bon gros transfert psychologique, une inversion accusatoire, comme d’habitude chez les pervers cliniques.

      Comme toujours, ce genre d’idéologues paresseux sont des grosses quiches en statistiques. Il est facile de faire mentir les statistiques auprès du grand public, mais auprès de ceux qui connaissent, c’est plus difficile. C’est exactement comme pour les sophismes : ils peuvent apparaître logique aux yeux d’un débutant.
      Et comme par hasard, on n’apprend ni le discours logique ni les statistiques inférentielles à l’école. Faudrait surtout pas que la populace sache se défendre intellectuellement, ça pourrait définitivement discréditer l’oligarchie.

       
  • #862272

    C’est pourquoi il faut travailler les cerveaux profondément pour compenser les aspects hormonaux et ce depuis le plus jeune âge grâce à la théorie du genre.

     

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  • #863846

    et contrairement aŭ mythes traditionnels (le mythe de la féminité, créé par ... les hommes bien sûr ! là les féministes ont raison, le mythe de la féminité a été créé par des hommes qui cristallisaient leurs besoins les plus profonds sur les objets de leur désir) et aŭ modèles sociaŭ, les hommes sont plus sensibles et plus sentimentaŭ que les femmes, sauf qu’ils ne savent pas le montrer (ce qui fait aussi qu’ils en souffrent davantage).

    Une autre chose aussi la créativité et le rêve sont plus développé chez les hommes (d’ailleurs les femmes s’en rendent compte qui ont l’habitude de reprocher aŭ hommes d’être de grands enfants), mais là ausi la répression sociale et ses tabous fait que souvent c’est refoulé ou canalisé dans des hobbies.

     

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    • #864169

      Et y a une étude pour "démontrer" vos élucubrations ou on doit aveuglément vous faire confiance et vous croire sur parole ?

       
    • #865525

      Anonyme a parfaitement raison. Ce n’est pas pour rien que les poètes sont des hommes. Les autres artistes aussi. Les preuves se trouvent dans l’histoire. En plus, Soral a déjà fait de longs développements sur le sujet.

       
    • #865968

      Magnaveritas

      Sauf que là où notre ami pèche, c’est quand il affirme que la féminité c’est l’homme qui l’a inventé. Complètement fantaisiste. Sachant que la femme est ce qu’elle est à cause de l’œstrogène et de la maternité. De plus les femmes exprimant leur féminité sont généralement plus chiantes que les autres, l’homme serait il masochiste ?

      Pour ma part la féminité est naturelle, ce sont juste les codes qui sont relatifs d’une société et d’une époque à une autre.
      Maintenant la féminité c’est être une demi-pouffe, là où jadis ce fut être une bonne épouse ou mère.

      Les rares cas de non féminité sont de l’exception : dysphorie de genre ou transexuallisme psychique pour celles qui ont encore un corps de femme. Et bien que les femmes ont tendance à copier l’homme d’autrefois, il y a plus de quelques décennies et vice versa, ce serait plutôt l’environnement actuel qui "infirmerait" que la féminité n’existe pas.

      En fait plus une femmes est douce, a une voix qui donne dans les aigues et est sensible, la sélection naturelle fait que l’homme cherchera à la conquérir. Qu’il le renie ou pas, au fond de lui l’homme un minimum viril est comme cela.

      De toute façon la façon dont notre "ami" a justifié sa loghorrée est exactement aussi simpliste que ce qu’il prétend dénoncer.
      La féminité c’est l’homme qui l’a inventé LOL celle là on me l’a jamais faite tiens !

       
    • #866685

      La féminité a bel et bien été inventée par l’homme. Comme le dit Félix Niesche (de mémoire) : Dieu créa la femelle et l’homme créa la femme.

       
    • #868572

      Mais non c’est Dieu Qui Créa Eve la première femme aws à partir d’une côte d’Adam aws. Magnaveritas, reprenez-vous, vos posts sont pourtant parmi les posts qui tirent vers le haut ... A moins que, oui sacré Magnaveritas, vous êtes en train de nous faire une plaisanterie ^^

       
    • #869097

      Il s’agissait de faire une distinction entre femelle et femme. Dieu créa la femme, mais les plus hautes qualités féminines telles que la grâce existent pour plaire aux hommes. Il est rare qu’une femme possède ces qualités uniquement de nature.

       
  • #864164

    Attention cependant, l’étude a été réalisée sur des individus âgés de 8 à 22 ans, autrement dit sur lesquels une importante socialisation a déjà été effectuée. S’il y a bien une différence entre les cerveaux féminins et masculins, cela ne veut en aucun cas dire que cette différence a une cause biologique, fruit de "l’évolution", comme le disent certains : il se pourrait tout à fait que la cause soit en partie sociologique, apprise lors de l’éducation.
    Les impacts de la socialisation sur le développement physique et neurologique des individus ont déjà été démontrés.
    Il importe donc de ne pas confondre la cause et l’effet des comportements différenciés entre hommes et femmes, et de ne pas surintérpréter à outrance cette étude...

     

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    • #865445

      C’est drôle ces individus qui cherchent à couper les cheveux en quatre parce que la science ne va pas dans le même sens que leur pseudo-philosophie de comptoir.
      Je veux bien l’étude ou les études qui permettent de démontrer que la socialisation a un rôle à jouer dans la différentiation. D’ailleurs comment le mesure t on ? Car il s’agit là d’observation. C’est vous qui cherchez à justifier tout et n’importe quoi, comme un naufragé qui cherche à s’accrocher à n’importe quoi de non solide pour ne pas couler.
      Je vais vraiment soupçonner que EetR attire de plus en plus des trolls subventionnés par l’Empire pour empêcher la science d’avancer à cause de votre idéologie dégénérescente.
      Ca marche plus votre délire les gens....

       
  • #866740

    Au final la complémentarité entre les sexes, d’un point de vue cérébral, consiste à créer un réseau performant reliant au mieux les différentes zones du cerveau.
    Ces études devraient nous rendre tous humbles puisque seuls nous sommes incomplets. D’un autre côté attendre ce genre d’étude pour mesurer ses faiblesses est insensé, qui n’a pas dans sa vie expérimenté son incomplétude ?
    Perso oui, trop souvent à mon goût d’ailleurs.

     

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    • #868589

      Bien sur il faut savoir rester modeste, car une étude scientifique qu’Est-ce donc à côté de toute la création et ses explications ne serais-ce terrestre ?
      Je crois que même si c’est tentant envers le cheptel bien pensant il faut rester humble devant une telle étude et laisser donc les découvertes futures confirmer ou infirmer ces études.
      De toute façon comme je le disais dans un autre post sous un autre article, le cerveau est sans doute l’organe le plus complexe à cerner d’un point de vue scientifique. Quelque chose me dit qu’on est pas au bout de nos surprises...

       
  • #871545

    La mépris violent affiché par quelques commentateurs comme Magna Veritas n’encourage pas les femmes à revenir sur E&R sauf à jouer les adoratrices des mâles dominants pour se faire bien voir. Ce que faisaient probablement les femmes des cavernes pour avoir leur part de la chasse. Ce qui m’intrigue, c’est que je n’ai jamais connu un homme qui ait dit à sa femme : "Tu peux rester à la maison, je vais travailler pour nous", (je connais même des hommes qui l’ont refusé à leurs femmes qui rêvaient de rester à la maison et d’allaiter longtemps les enfants) alors que des hommes sur ce site ont l’air partants à fond. On ne doit pas vivre dans la même dimension.

     

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    • #872753

      Lorsque vous parlez du mépris de MagnaVeritas, je suppose que vous parlez de son dernier post car le premier n’en contient même pas l’ombre.
      Ensuite, en me permettant orgueilleusement d’interpréter ses propos de façon plus diplomatique, je pense qu’il a voulu souligner le fait que l’homme, ou le masculin si vous préférez (plus facile à nuancer), ayant une puissance musculaire supérieure et ignorant les longs mois de grossesse et de maternité, se soit naturellement dirigé vers l’organisation "martiale" de la société (défense, chasse etc...) et a développé un sens de la prise de décision rapide. Face à un gros carnivore, vaut mieux pas tergiverser.
      Ainsi, servir n’est surement pas le bon terme, je dirais pour ma part qu’il s’est créé une sorte de double pouvoir : le pouvoir social, politique, militaire... bref, publique, dédié aux hommes ; et le pouvoir intime dédié aux femmes, c’est à dire dans le foyer et dans la relation individuelle (je suppose qu’en tant que femme, vous êtes bien entendu au courant que vous avez le dessus sur 99.99% des hommes dans une relation directe, celui-ci finissant toujours par plier, sauf évidemment si celui-ci cesse d’être civilisé, là ça part en coups et c’est pertes et fracas).
      Voila, en espérant ne pas avoir enfoncer le clous et au contraire apaiser un peu, amicalement.
      P.S. : On ne doit en effet pas vivre dans la même dimension car dans mon entourage il n’y a qu’une seule femme qui a voulu rester s’occuper de ses enfants (avec la pleine bénédiction de son mari), et par contre des dizaines d’autres qui n’attendait qu’une seule chose : les 3 ans du gamin pour le mettre, ou plutôt le bazarder, à l’école et enfin retourner travailler.

       
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