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Stéphane Édouard – Les premiers "trans" reviennent (déjà) en arrière

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35 Commentaires

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  • #2792527
    Le 22 août 2021 à 19:54 par ANGE GILET JAUNE
    Stéphane Édouard – Les premiers "trans" reviennent (déjà) en arrière

    Un peintre qui exagère le vert d’un paysage ou le rouge à lèvre d’une jeune fille est un artiste qui ment. Donc son oeuvre n’est pas réussie disait Rodin.

    Qu’est-ce que le sculpteur s’efforce de nous faire comprendre ?

    Non pas que les impressionnistes sont des menteurs ou que les irrégularités que produit la nature sont une erreur. Mais que toute imperfection qui ment en est une ! Or seul l’homme peut faire mentir la nature...

    Les abcd de l’égalitarisme et la théorie du genre participent à cette imposture.

     

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  • #2792528

    Du Neandertal au néant total...

     

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  • #2792533

    Un peintre qui exagère le vert d’un paysage ou le rouge à lèvres d’une jeune fille est un artiste qui ment. Donc son oeuvre n’est pas réussie disait Rodin.

    Qu’est-ce que le sculpteur s’efforce de nous faire comprendre ?

    Non pas que les impressionnistes sont des menteurs, ou que les irrégularités que produit la nature sont une erreur. Mais que toute imperfection qui ment en est une. Or seul l’homme peut faire mentir la nature...

    Les abcd de l’égalitarisme et la théorie du genre participent à cette imposture !

     

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    • #2792985

      les impressionistes ne mentent pas, ils ne font qu’appliquer intuitivement les lois de la chromatologie (théorisée plus tard par Seurat et les pointillistes) les impressioniste décomposent et juxtaposent les couleurs au lieu de les mélanger et l’effet à bonne distance redevient tout à fait naturel, en tous les cas plus que la peinture académique (Poussin, le Lorrain) ou même l’école de Barbizon.
      la remarque de Rodin est plus fine : il traque la malhonnêteté (l’artifice) chez l’artiste.
      pensez aux nabis qui arrivent ensuite (Gauguin par exemple), les premiers à utiliser des aplats de couleur franche non réaliste, mais ils ne mentent pas car ils ne cherchent en rien à imiter la nature mais utiliser la couleur comme un langage symbolique.
      par contre les fauves (vlaminck, Derain, Braque, Matisse) c’est autre chose, là on est dans la destruction. (pour une reconstruction artificielle volontaire du réel incluant la vision de l’individu (le peintre) : je le ressens comme ça, c’est MA vision du réel, je mens mais JE le revendique. eux sont donc très très proches du mensonge (à noter d’ailleurs que le fauvisme n’a été qu’un passage assez court pour les grands peintres qui l’ont cotoyé (Matisse, Braque, Marquet), les autre s’y sont perdu (Vlaminck, Van Dongen) ou sont passé à l’expressionisme ou un autre cul de sac( Rouault, Dufy, Miro)

       
  • #2792534
    Le 22 août 2021 à 19:59 par Roland de Roncevaux
    Stéphane Édouard – Les premiers "trans" reviennent (déjà) en arrière

    il a toujours existé une extrême minorité de trans-sexuels et autres minorités (homos, bi, etc.). Sachons ne pas les confondre avec le LGBTQI+ sorosien...

    Concernant les trans, il faut protéger les mineurs, afin de les empêcher de faire une opération à la va-vite... il faudrait même pour les adultes mettre en place un long chemin, afin que la personne soit sûre de son coup, car c’est irréversible. Distinguer le coup de tête, et le choix profond. Mais ultimement, il existe une infinité de minorités dans la nature. Et je pense que le discours patriote-conservateur doit être capable d’accueillir le réel dans toute sa diversité.

    La bonne ligne me semble celle de Poutine... pas de discrimination, pas de publicité... ainsi chacun a sa place.Il me semble qu’on peut distinguer la centralité du couple hétérosexuel reproducteur d’une part, et toutes les périphéries sexuelles d’autre part. Expliquer qu’il existe une égale dignité absolue dans chaque destin humain (dans la limite du libre consentement adulte), mais que la société privilégie le vecteur central de sa perduration et structuration.

    Ainsi, on sortira du piège qui nous est tendu par l’Empire (déstructuration ou homophobie). Et en même temps, on fera oeuvre de construction d’un contre-modèle intégrateur.

    Contrairement à ce que l’on pense parfois, les minorités sexuelles ne demandent pas la déstructuration de la société, et ne nient pas l’altérité fondatrice du couple hétérosexuel reproducteur. Mais dans le même temps, ils demandent une "protection civile" tout à fait compréhensible et bien légitime (c’est d’ailleurs l’esprit de la dépénalisation depuis 1791 en France). Si on parvient à articuler les deux, alors on pourra faire péter le verrou sur cette question.

     

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  • #2792710

    Il faudra demander a Kabala Harris quand il sera President des USA.
    Bonjour a ceux qui savent.

     

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  • Qui, mais Qui structure et finance les associations et les réseaux (notamment en ligne) qui cooptent et poussent ces jeunes personnes dans ce délire du « vrai moi porterait une jupe » ? Au sein de ces groupes on pourra au hasard des rencontres récupérer quelques doses de testostérone de dessous le manteau « comme ça pour essayer » et se voir conseiller les psys et chirurgiens acquis à la cause et qui ne posent pas trop de questions avant d’établir les ordonnances (les mêmes qui seront interrogés dans les médias et parleront de « vrai phénomène trans »). Au final le système est content, voilà un consommateur autocentré et fasciné par sa cause (même si parfois il peut se laisser-aller à porter un T-shirt « Justice pour Adama »), qui va dépenser beaucoup en hormones, chirurgies diverses, psy et thérapies (par exemple « apprendre à poser sa voix qui déraille dans le registre de son nouveau genre qui est une construction sociale »).

     

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  • #2792834

    Stéphane Edouard est gentil et souvent intéressant mais la cyclothymie est une épidémie aussi importante que l’obésité dans l’occident libéral et il n’existe pas de « libre arbitre de ne pas me laisser aller à ma pente de déprime ou à ma pente d’euphorie »... franchement, il n’est pas sérieux. Et le fait que la fille devienne un garçon puis redevienne une fille « en moins d’un an » est un symptôme d’aggravation de la cyclothymie dont la logique propre est l’augmentation de la fréquence d’oscillation entre contraires : euphorie/déprime, victoire/défaite, dominant/dominé, assouvissement/frustration, etc. jusqu’à la fusion et la superposition des contraires : euphorie et déprime en même temps, garçon et fille en même temps, etc.

    Que l’aller-retour entre des contraires aussi extrêmes que homme/femme prenne moins d’un an est le signe qu’approche la résolution, que la fin est proche... Ce n’est pas le retour qui est le plus significatif ici, c’est la vitesse de l’aller-retour, comme symptôme d’aggravation.

    Donc Stéphane Edouard sur des questions sociétales un peu people, c’est très divertissant, mais quand il ne fait pas le travail sur des questions plus graves, aussi graves que la maniaco-dépression, l’obésité et l’anorexie, et commence à donner des conseils à deux balles, là non... ça bloque. Il ne faut pas plaisanter avec la souffrance des gens et leur parler de « libre-arbitre » sur un ton léger quand ils sont pris dans des mécanismes aussi destructeurs.

    Cela n’a aucun sens de parler de « libre-arbitre » à une noire américaine obèse quand 56,9 % des femmes noires sont obèses aux Etats-Unis. Cyclothymie, désordres alimentaires, anorexie, dépression, obésité sont des phénomènes où se manifestent des dimensions sociales de la nature humaine, dépassant de très loin l’individualité et son « libre-arbitre », et dont la caractéristique commune serait même l’écrasement du « libre-arbitre ». Faire appel au « libre-arbitre » de ces gens est aussi intelligent que faire appel au « libre-arbitre » des victimes de l’épidémie de danse de Strasbourg de 1518 quand les gens dansaient par centaines sans pouvoir s’arrêter et par dizaines jusqu’à l’épuisement et la mort. On meurt d’obésité, d’anorexie, de dépression, d’épuisement, mais personne ne veut mourir, on est pris malgré soi dans ces engrenages, ce n’est pas un choix. C’est même assez dégueulasse de moraliser avec mépris cette souffrance comme si elle ne dépendait que du « libre-arbitre » des victimes.

     

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    • De plus, l’épidémie de transgenres aux Etats-Unis est liée à celle de « school-shooting », c’est-à-dire à l’humiliation des individus dans un contexte de rivalité sociale complètement débridée, sans aucune régulation, sans le moindre reste de formes sociales (traditions familiales, coutumes religieuses et culturelles, différenciation de sexe, d’âge, de métier, etc.) qui protégeaient les individus désormais livrés à une une égalisation, une indifférenciation qui est l’autre nom de la violence. Le libéralisme efface toute violence physique de la vie quotidienne mais plonge les individus dans un état d’humiliation et de souffrance illimitées.

      Tout est permis mais rien n’est possible... Les individus humiliés par la frustration (l’humiliation est plus douloureuse que la frustration elle-même, c’est le secret du libéralisme) se consument dans la souffrance et aboutissent au suicide, au meurtre de masse, à l’automutilation, au changement de sexe, aux issues les plus extrêmes du moment qu’elles sont au moins une issue. Le broyage de l’égo est tel que parler encore de « libre-arbitre » et de « libre arbitre de ne pas me laisser aller à ma pente de déprime ou à ma pente d’euphorie » est juste de la pure connerie.

      Ce qui se passe aux Etats-Unis préfigure ce qui se passera bientôt en France si nous continuons à consentir à l’effacement des conventions formelles (c’est-à-dire aux protections que des siècles de socialisation ont données aux individus). Ces formes nous donnent une place dans le monde. Si nous les perdons, nous sommes livrés à la compétition permanente, à la rivalité sans limite, c’est-à-dire à la défaite permanente. Les cyclothymiques, les boulimiques et les anorexiques, les lycéens suicidaires qui massacrent parfois d’autres lycéens sont des individus humiliés et noyés dans des abîmes de souffrance. De souffrance réelle et impossible à mesurer : sur une échelle de 1 à 10, ils sont à 40, à 50, à 100...

      Là, il n’y a plus de « libre-arbitre » qui vaille. C’est quoi le « libre-arbitre » d’un enfant qui est humilié tous les jours de son enfance et de son adolescence, qui n’a jamais eu un jour de paix et n’a strictement aucune issue ? L’arrogance de Stéphane Edouard qui oublie tout ce qu’il a reçu et a aussi fait ce qu’il est aujourd’hui.

       
    • #2792979

      Cette vidéo aurait été une bonne occasion de rappeler qu’il existe des cas rares d’intersexuation nommés « hermaphrodisme vrai » environ de 500 cas selon Wikipedia. Or ces personnes ne désirent pas particulièrement se faire assigner un sexe.
      Une autre partie relève du « pseudo-hermaphrodisme » et il n’est pas clair que cela puisse être provoqué par des stimuli extérieurs.
      Le reste relève de la disphorie du genre, c’est peut-être le plus gros lot de personnes candidates à la mutilation. Ces personnes n’ont aucun problème hormonal qui justifierait le recours à des chirurgies si lourdes.

       
    • #2792993

      je suis tout à fait d’accord avec toi, cependant, il me semble que ton épidémie de danse de Strasbourg de 1518 était due au mal des ardents (ergot de seigle, la forme naturelle du LSD, présent parfois dans le pain à l’époque). Tes danseurs étaient simplement totalement défoncés, à en perdre la raison, (et la vie)

       
    • Et enfin, le conseil qui suppose le « libre arbitre de ne pas me laisser aller à ma pente de déprime ou à ma pente d’euphorie » est le pire qu’on puisse donner à un maniaco-dépressif, parce que cette oscillation est aussi le symptôme d’une relation à un autre. C’est dans la relation à un autre que l’euphorie est euphorie de la victoire sur lui et la dépression est dépression de la défaite face à lui : son oscillation est immédiatement sociale, par définition, avant même d’être épidémique.

      Le maniaco-dépressif n’est pas seul, il est en relation à un absent qui détermine avec lui le cycle des défaites et des victoires. Et quand c’est par millions que les gens deviennent maniaco-dépressifs, qu’ils sont par millions à se battre contre des moulins à vent... leur dire qu’en faisant des efforts de « libre-arbitre » ça ira mieux, leur dire qu’en se raidissant encore un peu plus, alors qu’il sont déjà arc-boutés au bord de la rupture, dans une lutte à mort, ça ira mieux... c’est débile.

      Dans toutes les épidémies de troubles du comportement les plus graves, ceux qui peuvent conduire à la mort, la première chose à faire c’est plutôt d’expliquer à la personne qui souffre que tout ne dépend pas d’elle, qu’elle n’est pas seule responsable mais qu’elle est aussi prise dans un phénomène social qui la dépasse (et qu’elle a besoin d’être aidée, pas renvoyée à sa responsabilité). C’est le premier geste de compassion : la libérer de la fausse culpabilité qu’elle serait seule responsable de sa souffrance. Cela ne signifie pas qu’on ne compte pas aussi sur ses ressources, mais qu’on ne la laisse pas se charger d’une mission impossible à remplir.

      Car quand la fille dit « je suis cyclothymique », elle dit déjà que tout n’est que de sa faute à elle, elle prend déjà sur elle dans la phase ascendante, avec une colossale dépense d’énergie et d’investissement personnel, et elle le paie cher dans la phase descendante, en assumant personnellement la défaite, et la meilleure réponse n’est pas « non, tu n’es pas cyclothymique » mais peut-être « non, vous êtes cyclothymiques ». « Il faut qu’il y en ait un autre assis à l’autre bout de ta balançoire (même s’il ne sait pas qu’il joue avec toi)... Et vous êtes des millions à osciller ainsi... Et tu ne sais pas sur combien d’autres balançoires tu es aussi assise à jouer sans le savoir... »

      Ceci n’est qu’une réponse théorique, que jamais je ne me permettrais de donner à une autre personne, n’étant moi aussi qu’un ingénieur et pas un thérapeute...

       
    • Cher Paramesh,

      l’ergot de seigle, c’est bien rassurant, mais ça n’explique pas les phénomènes de contagion comme ces blancs qui s’efforçaient de ressembler à Mickael Jackson qui s’efforçait lui-même de ressembler à un blanc : un blanc imite un noir qui imite un blanc... ni cet anglais qui veut devenir un coréen, cette fille qui veut devenir un garçon, cette africaine qui veut devenir une blonde, ce vieux qui veut devenir un adolescent, etc. L’ergot de seigle, ça évite de regarder dans cette boite de Pandore absolument infernale, du mimétisme, de l’humiliation, de la possession, qui font rage sur toute la planète, et de plus en plus à mesure que la décomposition occidentale contamine le reste du monde.

      Ce n’est pas l’ergot de seigle qui explique les scènes montrées dans le film Les maîtres fous (1956) de Jean Rouch (vous le trouverez facilement sur le net), c’est l’humiliation. Et cette condition humaine effondrée, filmée au fond de la brousse, est aujourd’hui celle de l’occident... C’est rigoureusement la même expérience, à une échelle planétaire... être humilié d’être soi-même et avoir besoin de devenir un autre pour ne plus souffrir. Là on est au coeur de l’hystérie des fans, des transgenres, de l’anorexie, des school shootings et cela n’a rien à voir avec l’ergot de seigle. Ergot de seigle qui est la petite version de l’aléa climatique pour occulter l’autodestruction des civilisations (des masses de documentaires diffusent la thèse stupide que le climat expliquerait l’autodestruction des sociétés). Car c’est trop gros à avaler, comme information, qu’à l’échelle d’une civilisation, nous avons atteint l’état documenté par Les maîtres fous . Chez eux, c’est plus spectaculaire, ils ont la bave aux lèvres parce qu’ils patientent un an pour devenir la figure convoitée : un an cantonnier pour un jour gouverneur. Chez nous, on n’attend pas un an, c’est au quotidien, c’est dilué au long des semaines et des mois, mais c’est la même croyance que devenir un autre apaisera nos souffrances, le même consentement à l’aliénation, à la possession.

      Beaucoup de gens ne souffrent plus parce qu’ils ont consenti - ils ont cessé de résister. Ils sont passés sur l’autre rive et ne souffrent plus, seulement, ils sont devenus un autre... Et la maniaco-dépression, c’est très sérieux, ce n’est pas une plaisanterie, c’est une lutte à mort pour rester soi-même, ce n’est pas une chose où mettre les mains en amateur à donner des conseils au hasard.

       
    • #2793393
      Le Août 2021 à 08:12 par Encyclique à une jambe
      Stéphane Édouard – Les premiers "trans" reviennent (déjà) en arrière

      @Pierre
      — Beaucoup de gens ne souffrent plus parce qu’ils ont consenti - ils ont cessé de résister. Ils sont passés sur l’autre rive et ne souffrent plus, seulement, ils sont devenus un autre...—
      Mais beaucoup de gens souffrent aussi d’être trop éveillé, trop réinformés, de trop savoir, voir, découvrir...
      Ça les oppresse, angoisse, terrifie, ça les rend parano, anxieux, agressif, craintif, méfiant de tout et de tout le monde !

       
    • À l’instar d’Édouard, vous ne produisez que de la psychologie de comptoir, de plus, on s’en fout des singularités, la transsexualité est directement liée à la cybernétique et au transhumanisme dont le mot d’ordre est "JE SUIS CE QUE JE VEUX DEVENIR", et ce, à grand coups de pubs, de fictions, de chimie, de chirurgie et d’avatar, de technologies on ne peut plus fascistes (européennes et chrétiennes, si vous préférez)... essayez-donc de vous bricoler un vagin ou un smartphone dans votre garage mdr

      Je me permets également de vous informer que la fluidification (féminisation) des rapports socio-professionnels est un prérequis à tout confinement (cov-19/Agenda21/spatial).

      Bref, #jesuischarlatan ;)

       
    • #2799899

      @ Encyclique à une jambe

      Oui, il y a un grand film russe qui traite assez profondément cette question : Ostrov (2006) de Pavel Lounguine. Où une fille (Victoria Issakova, sublime) fuit la souffrance en se laissant posséder. Elle est finalement exorcisée par un moine orthodoxe, elle se retrouve elle-même et seule face à sa blessure, à souffrance, mais aussi face à sa guérison, libre et avec un avenir, c’est très très beau...

      https://www.youtube.com/watch?v=-uB... (VOSTF)

       
  • #2793080

    Je pense que supprimer purement et simplement la télé et contrôler sévèrement leur internet mettrait les enfants à l’abri de 99% ( à la louche) des sévices cognitifs infligés par les merdias.

    Éducation avec des livres des dessins animés et des séries connus par soi même et au moins antérieurs à 2000. Se méfier grandement des groupes et chanteurs, freddy mercury gorges michael et autres bowie doivent être responsable d’un nombre faramineux de bouches et trous du culs masculins s’étant pris des coups de bites (Je dis ça en toute bienveillance et poésie, bien sûr)

     

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  • #2793463

    Si seulement ça pouvait faire ouvrir les yeux à certains... mais j’en doute, tellement cette société moderne et ludique est vicieuse !

     

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  • evidemment l’âge de la majorité à 18 ans est une aubaine puisqu’elle a été instaurée, cela fait partie du plan mondialiste.
    La première chose que l’homme puissant cherche à maîtriser ce n’est pas la technologie ou les moyens matériels de soumettre mais le cerveau de l’homme. Ils savent qu’à 18ans et moins tu peux faire les mauvais choix c’est pour ça qu’ils te permettent de les faire, parce qu’ils ont des mauvais choix à te proposer. Et quand ces personnes de 18ans ayant fait les mauvais choix deviennent parent, ils peuvent prendre les mauvaises décisions pour leurs propres enfants.

     

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