Egalité et Réconciliation
https://www.egaliteetreconciliation.fr/
 

Temps de travail au Moyen Âge : halte à la diabolisation

 






Alerter

63 Commentaires

AVERTISSEMENT !

Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :

- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe

Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.

Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.

Suivre les commentaires sur cet article

Afficher les commentaires précédents
  • #727074
    Le 15 février 2014 à 00:52 par goy pride
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Facho ! Réac !
    Au Moyen-Âge les masses populaires étaient plus heureuses et libres qu’elles ne le sont aujourd’hui. N’importe quel paysan jouissait d’une liberté supérieure et étaient mentalement plus équilibré que n’importe quel citadin employé de bureau d’aujourd’hui. La raison est simple : la noblesse n’avait pas les moyens technologiques pour imposer la tyrannie. Une serpe, une fourche, un fléau...cela vaut un glaive surtout quand on est 9 contre 1 ! Et si nécessaire n’importe quel forgeron de village pouvait dans son atelier fabriquer des armes de guerre. D’ailleurs l’atrocité des châtiments imposés aux criminels témoigne de la faiblesse du pouvoir de cette époque. Seul le totalitarisme des états nations modernes avec leur état hypertrophié et omniprésent, leur système de fichage systématique des individus (carte d’identité, immatriculation sociale...) et de surveillance, leurs forces de police présentes partout... peuvent se permettre le luxe d’abolir la peine de mort et d’infliger des peines légères. Dans les états modernes la majorité des gens sont conditionnés, soumis, mentalement et physiquement affaiblis et sous étroite surveillance. La délinquance est sous contrôle et même encouragée pour des raisons d’ingénierie sociale, de calcul politique ou de gros sous (l’argent de la drogue finançant des partis politiques, les "black ops"...) Les mafias sont tolérés parce que liées au pouvoir oligarchique, fournissent notamment les femmes et enfants servant de chaire fraîche à l’élite...la démocratie peut se permettre l’inversion des valeurs et la légèreté des peines pour les crimes les plus abominables puisqu’il s’agit d’un totalitarisme qui par essence contrôle tout et dont les architectes et marionnettistes se sont assurés de se mettre à l’abri du chaos...mais pour combien de temps encore ?!

     

    Répondre à ce message

    • #728207

      Frissonnant ce discours !

       
    • #730633
      Le Février 2014 à 05:20 par Tonton Christobal
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      Très,très bonne analyse,hélas...
      Soit nous acceptons comme des moutons sacrificiels l’esclavage "moderne" qu’ils nous est promis,soit on essaye de chasser toute cette pourriture ignoble et nauséabonde qui nous gouverne,d’abord par les urnes (avec un peu de chance et si tout se passe bien)et ensuite,si on ne peut pas y arriver de manière légale et pacifique,en foutant le feu à tous leurs symboles d’oppressions et de manipulation des masses si il le faut.
      De toute manières on ne sera pas plus de 5 à 10% vu que 90% de nos concitoyens sont soit des abrutis finis,soit des poltrons,sans parler des 10% de larbins et autres gardes-chiourmes de cette oligarchie malfaisante sur lesquels le système s’appuie.Mais même à 5% seulement de gens courageux et déterminés ça peut passer...

       
    • #731767
      Le Février 2014 à 06:15 par Leïla
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      @Goy pride, rien à ajouter à ce que tu dis ! c’est exactement ce que j’en pense, merci Camarade !

       
    • #737726
      Le Février 2014 à 23:05 par Aurelien
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      Moui enfin le "moyen âge" c’est assez long quand même, ça n’a pas non plus été la fête tout le temps pour tout le monde : l’espérance de vie moyenne était de... 14 ans. Le plus misérable des pays africain fait mieux que ça. Mais en même temps, c’est vrai que sous les étoiles, il savent danser et chanter, être heureux en communauté.

       
  • #727268
    Le 15 février 2014 à 09:11 par dgé
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    En vérité si on fait la moyenne des gens, on ne travaille pas plus qu’au moyen age, vu qu’un grand nombre sont privé de boulot.

    Moi par exemple ça fait un bail que je n’ai pas eu l’occasion de travailler, plus de quelques heures, voir quelques jours par çi par là.

    Enfin je parle de travail salarié bien sur car sinon j’ai pas mal de choses à faire pour compenser le manque d’argent.

     

    Répondre à ce message

  • #727354
    Le 15 février 2014 à 10:58 par Mik Ezdanitoff
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    C’est évident,on était heureux,au moyen-âge comme sous la renaissance.Et on pouvait protester,les représailles étaient minimes.
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Grande...
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre... :rien que pour cette révolte,100 000 paysans massacrés par la noblesse,que certains trouvent toujours le moyen d’encenser.

     

    Répondre à ce message

    • #728265
      Le Février 2014 à 01:03 par Antoine
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      Personne n’a dit que telle ou telle époque était parfaite. Mais on ne peut pas se servir de la rudesse de la vie au Moyen-Age ou des massacres qui ont eu lieu ici ou là (la sempiternelle Saint-Barthélémy qu’on ressort dès qu’un catholique ouvre sa bouche) pour faire croire que nous vivons une époque merveilleuse et en tout point supérieure à cet infâme Moyen-Age si sombre et si violent.
      Puisque tu aimes comparer les nombres de morts, regarde un peu combien on a eu de morts dans des massacres ne serait-ce qu’au XXème siècle, et compare ça au temps de la "noblesse" :
      - 100 millions de morts du communisme dans des camps, dans des déportations de populations, dans des famines organisées, dans des procès truqués, dans des assassinats de masse d’intellectuels, de paysans, de dissidents
      - 50 millions pour la 2de guerre mondiale.
      L’un n’excuse pas l’autre, mais si on est honnête, on doit comparer. Au Moyen-Age, l’époque était sans doute plus rude, on ne mangeait pas à sa faim (le petit âge glaciaire, ce n’est pas la faute de la noblesse...), on mourrait en couche ou de maladie à 25 ou 30 ans, mais on massacrait moins son prochain que maintenant. Rappelons que la nouvelle noblesse démocratique et républicaine américaine a causé la mort de 500000 Irakiens. 5 fois plus que la révolte que tu cites ! Et ceux-là, dans 650 ans, tu peux être sûr qu’ils auront été oubliés. Non à cause du temps passé, mais parce que les autres crimes commis juste avant et juste après auront éclipsé ces 500000 morts comme étant une "broutille" dans l’océan de cadavres drainé par notre époque moderne.

       
    • #729674
      Le Février 2014 à 08:31 par Mik Ezdanitoff
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      Antoine,un mauser,un M-16 ou une kalachnikov tue plus qu’un fléau d’armes,une hallebarde ou une épée.Plus de morts de ce fait donc.Comparons ce qui est comparable.Les seigneurs allemands pendant la Deutscher bauernkrieg n’avaient pas d’armes de destruction massive...à chaque époque ses moyens de destruction.

       
      • #730432
        Le Février 2014 à 21:34 par tark
        Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

        Ouais... Sauf que les 800 000 personnes tuées lors du génocide rwandais l’ont été à coup de machette, et qu’à coté de ça ton histoire de paysans allemands c’est presque un fait divers. Donc ton explication ne tient pas.

        Il y avait moins de morts au cours du moyen-âge car les guerres opposaient seulement quelques petits groupes de soldats entre eux (mercenaires souvent, ou issu d’un ordre restreint de type chevalerie, noblesse) tandis que le gros du peuple ne participait pas et n’était qu’une victime collatérale (pillages, privations). En outre, les guerres étaient faites de petites escarmouches et de sièges, bien plus que de grosses batailles rangées. D’ailleurs les buts de ces nombreuses petites guéguerres étaient souvent très limités et sans réelle idéologie (possession d’un fief, querelle de succession ponctuelle, raison commerciale), elles ne duraient jamais très longtemps (y compris la guerre de cent ans, qui n’est qu’une succession de petites guéguerres) et n’avaient pas le caractère total des guerres modernes.
        Inversement, à partir de la Révolution française et de Napoléon, la conscription plongeait l’ensemble de la nation dans la guerre, de plus en plus empreinte d’idéologie, dans le cadre de batailles de plus en plus grosses (Azincourt était une bataille minuscule comparée à Austerlitz, qui elle même était une bataille minuscule comparée à Verdun) ayant pour objectif la destruction complète des armées ennemies, et par la suite dans le cadre des guerres totales et mondiales du XXème siècle, la population civile est elle-même devenu une cible stratégique (Guernica, Dresde, Hiroshima).

        Finalement la fin des 3 ordres et la "démocratisation" de la société a rendu tout le monde égal face à la violence meurtrière de la guerre, bien plus que le progrès technologique.

         
    • #730639
      Le Février 2014 à 06:03 par Mik Ezdanitoff
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      "histoire de paysans allemands",le génocide rwandais s’est fait entre ethnies,pas entre classes.Et l’afrique n’a rien à voir avec l’europe.
      Je hais l’époque actuelle aussi et ne suis pas en train de chercher à la rendre meilleure par rapport au passé.Je dis juste:arrêtons cette nostalgie d’époques que nous n’avons pas connues.Beaucoup trop de fantasmes ici,d’idéalisations mystiques et religieuses.
      C’est exactement comme lorsque nous critiquons les élites ;elles ont toujours été corrompues,déjà à l’époque de clovis.La différence est que ce n’était pas à l’échelle planétaire actuelle,donc forcément moins dévastateur.

       
  • #727427
    Le 15 février 2014 à 11:54 par DolFuSa
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    C’est la plus grande période historique de l’Europe, la vraie et bien évidemment la plus méconnue et la plus malmenée par les tous les crétins qui croient encore dans les Lumières.
    La période médiévale, (le moyen âge c’est de la novlangue) c’est : la chevalerie, l’amour courtois, la sagesse Antique mélangée à la Foi Chrétienne, la subsidiarité.....en somme, les racines profonde de l’Europe.
    C’est la lutte incessante entre les deux premiers pouvoirs qui a permis à la racaille de la troisième fonction de prendre le dessus : la bourgeoisie, habitants des bourg de passer de la thésaurisation en passant par l’Humanisme naissant pour donner naissance au Capitalisme.
    La fin du dit Moyen Age c’est la Réforme. C’est l’entêtement de la Papauté à vouloir tout diriger. La papauté a donner naissance indirectement à la Réforme qui engendrer et légitimer le protestantisme. C’est le début de la fin du Christianisme et au passage a signé l’arrêt de mort de l’Europe.

     

    Répondre à ce message

    • #728456
      Le Février 2014 à 09:53 par blobfish
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      La fin du Moyen Age c’est la Renaissance qui nous est venue d’Italie - Décidément nous devons beaucoup à l’Italie. Art et raffinement entre autres. La Renaissance a eu d’autant plus d’impact en France que Catherine de Medicis, Florentine, était au pouvoir.

       
    • #729089
      Le Février 2014 à 19:39 par un Ami de Léon Bloy
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      Réponse à blobfish.

      Pour ne pas trop voiler les choses derrière une image simpliste et guillerette : aux Italiens nous ne devons par franchement l’Art et encore moins le Raffinement.
      Vous me pardonnerez cette outrageuse assertion.
      En matière d’Art nous ne leur devons pas, par exemple, l’Art gothique (qui vient de France, eh oui…).
      Quant à la Renaissance, retour vers les civilisations antiques est, en fait, synonyme d’une époque qui perd sa continuité dans beaucoup de strates qui constituent une société : en droit, à travers les questions de l’esthétique,… Et ce mouvement de panique (initié par l’éloignement sociétal à Dieu) se fait vers les Grecs : tout l’Art antique des Romains vient des Grecs et des Etrusques (colonie grecque sur la péninsule italienne).
      L’Art classique, celui né de la Renaissance, est un Art fermé. Tandis que l’Art gothique est un Art ouvert. La pensée esthétique qui leurs sont liées n’ont donc rien à voir ! Et l’on ne peut affirmer qu’un tel saut est une « avancée ». Pour ma part, je crois que l’évolution de l’Art montre que les Arts classiques basculent irrémédiablement vers les Arts baroques (ceux de la lumière et du dynamisme). Peut être par nature humaine…
      Et le Raffinement, au fait, qu’est-ce donc ? En tout cas en matière de cuisine (domaine que j’essaie d’explorer un peu) la péninsule italienne ne nous a rien apporté. Ici, les historiens de la gastronomie tiennent pour preuve que la gastronomie française (et ce de tout temps) repose sur une incessante expérimentation à partir de traditions bien limitées et maîtrisées. En cela elle se révèle unique dans l’ensemble des gastronomies des autres civilisations. N’oublions pas que dans son domaine la gastronomie française est la plus grande ! En fait notre culture culinaire, fait la synthèse de celles qui s’y immiscent tout en lui extrayant la quintessence de ce qui pourrait la nourrir et la fleurir. On ne peut donc parler d’apports en tant que tels : tout un travail intelligent et élaboré s’organise dans notre gastronomie. Dailleurs, sur le seul chapitre de l’apport culinaire « italien », même aujourd’hui, l’Italie n’est pas maîtresse d’une diversité gastronomique des plus remarquables ! Sur cette remarque, avec sagess, je vous prie, ne levez pas un ridicule bouclier des variétés de pizze ou de panini…

       
  • #727445
    Le 15 février 2014 à 12:08 par caillou volant
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Ce sympathique monsieur est le fils spirituel de Marion Sigaut.
    C’est peut être pour ça qu’il est sain et sympa.

     

    Répondre à ce message

  • #727627
    Le 15 février 2014 à 15:23 par Lyseann
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Il apparaît qu’en 2007 les Français auront consacré 196 jours sur 365, à financer le secteur public. Les Français travaillent donc plus d’un jour sur deux pour l’Etat.

    Rappelons qu’au Moyen-Age, un homme était considéré comme serf lorsqu’il devait plus de 40 JOURS D’IMPÔTS à son Seigneur.

     

    Répondre à ce message

    • #736988
      Le Février 2014 à 05:34 par Tonton Christobal
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      En trois phrases tout est dit:les paysans de l’époque avaient plus de couilles que n’en auront jamais les dégénérés "modernes" de nos villes et nos banlieues !!!

       
  • #727661
    Le 15 février 2014 à 15:58 par Cesa
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Vidéo pas très fufute...
    Le mec oublie de dire que le travail salarié n’était pas très courant voire exceptionnel à l’époque.

    Ceux qui travaillait au sens d’exercer un labeur était au choix :
    artisan ou paysan essentiellement, et donc vivait de leur propre force de travail donc pas d’engagement contractuel sur un quelconque droit et temps de travail.

    La notion de salaire s’appliquait d’ailleurs essentiellement aux soldats qui eux ont plus une activité de service (d’où l’origine de terme salaire -versement de sel au départ puis d’argent en échange d’un service- qui date de l’époque romaine).

    La travail était la survie face à la réalité de l’existence et la capacité à être protégé physiquement par un seigneur (éventuellement bienveillant) en lui fournissant une partie du résultat de son travail...

    Le travail moderne lui est plus proche de l’esclavage consenti et de la soumission par intérêt via le consumérisme et par extension le règne de l’argent roi.

    Bref encore une vidéo digne de notre temps déconnecté du sens du réel et du passé.
    Vive le prisme idiot de notre époque...qui émet des réponses à côté de la plaque à des questions stupides dans du blabla informe pour ne pas parler des fondamentaux qui régissent notre système.

    Si on devait faire une comparaison plus pertinente (et encore pertinence bien relative car comparaison n’est pas raison) ça serait un peu se demander si un travailleur indépendant aurait de la pertinence à s’interroger sur un temps de travail fixe à 35h...Il travaille le temps que cela doit prendre pour survivre par son travail.

    Autre temps autres mœurs comme qui dirait.

     

    Répondre à ce message

    • #728982
      Le Février 2014 à 18:37 par undersc
      Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

      tu écrit :
      La travail était la survie face à la réalité de l’existence et la capacité à être protégé physiquement par un seigneur (éventuellement bienveillant) en lui fournissant une partie du résultat de son travail...

      et juste avant

      et donc vivait de leur propre force de travail donc pas d’engagement contractuel sur un quelconque droit et temps de travail.

      a bon .. . tu crois pas que le seigneur nourrissait pas sa population ... tu est sur des terres au moyens age mais sans engagement .. mais alors c’est quoi la notion de serf ..

      et finalement tu transpose le cloisonnement de notre époque dans ton prisme ... sans troc sans entraide sans communauté ..

       
  • #727684
    Le 15 février 2014 à 16:20 par Cavalier Bleu
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Il ne faut pas oublier que l’essor du Moyen-âge vient de la chétienneté. D’ailleurs ce Monsieur en parle ; effectivement les fêtes étaient chômées. On les célébrait collectivement. D’ailleurs le modèle était collectif le village autour du chef, le Seigneur qui défendait sa population. Après toutes les outrances qui sont racontées, je ne pense pas cela était la norme. Les seigneurs aussi étaient chrétiens descendants des chevaliers ; ils avaient un code d’honneur. ’Défendre la veuve et l’orphelin". La vie étaient paysanne, "peuple des moissons" comme dit le cantique, elle s’étalait doucement au rythme des saisons, de ces fêtes et du calendrier chrétien., des mariages, des naissances, des décès. Je crois en effet que ce devait être très beau, la vie rurale, les animaux, les paysages, les gens simples, nourris de l’Evangile.

     

    Répondre à ce message

  • #727783
    Le 15 février 2014 à 18:08 par Clémence
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Cette courte vidéo me fait penser à celle de Mr Mondialisation sur youtube "le travail, pourquoi ?" (en 2 parties), vidéo intéressante qui, selon moi, mériterait aussi de figurer sur votre site :)

    En voici les liens : -http://www.youtube.com/watch?v=e6Nb...
    -http://www.youtube.com/watch?v=rDaU...
    Je vous laisse en juger.

    Bien cordialement,
    Clémence.

     

    Répondre à ce message

  • #727902
    Le 15 février 2014 à 19:46 par NouvelleFrance
    Temps de travail au Moyen-Âge : halte à la diabolisation

    Le soi-disant progrès c’est surtout la régression face à l’ordre naturel de la société traditionelle....

     

    Répondre à ce message

Afficher les commentaires précédents