Nouveau rebondissement dans l’affaire Karachi. Après l’interpellation lundi de Thierry Gaubert, l’ex-conseiller de Nicolas Sarkozy, c’est au tour de Nicolas Bazire, directeur de cabinet d’Edouard Balladur de 1993 à 1995,
Les documents Takieddine, dont Mediapart a commencé la publication le 10 juillet, dévoilent la vérité de la présidence de Nicolas Sarkozy. Et cette vérité est sale. Ayant pour fil conducteur l’argent noir des ventes
Cet homme est une bombe à retardement pour le clan Sarkozy. Connu pour être le principal suspect dans le volet financier de l’affaire Karachi, Ziad Takieddine est bien plus que cela.
Mediapart est en mesure d’affirmer
L’attentat de Karachi en 2002 a-t-il un lien avec la campagne d’Edouard Balladur de 1995 ? Et cette campagne a-t-elle été financée par des ventes d’armes ? Evoqués depuis près de trois ans, ces soupçons ont été renforcés ce
Alors que les affaires graves se multiplient (biens mal acquis, escroquerie à la bourse du carbone, Karachi...), l’Association Française des Magistrats Instructeurs (AFMI) dénonce la réduction drastique des moyens du
Le Monde et Mediapart révèlent que l’un des documents récemment déclassifié étaye la théorie soutenue par le juge Marc Trévidic, qui a d’emblée écarté la piste terroriste dans son instruction.
Une information qui vient relancer
L’affaire Karachi, qui embarrasse les balladuriens, éclabousse désormais Jacques Chirac et Dominique de Villepin contre lesquels des familles de victimes de l’attentat de mai 2002 au Pakistan s’apprêtent à déposer
L’ancien ministre de la Défense Charles Millon a confirmé aujourd’hui devant le juge Renaud Van Ruymbeke l’existence de rétrocommissions versées jusqu’en 1995 en marge d’un contrat de vente au Pakistan de sous-marins
Un juge s’obstine. L’affaire dit du Karachigate a pris une nouvelle tournure cette semaine. le juge Renaud van Ruymbeke a décidé d’enquêter sur des « faits de corruption active et passive » dans le cadre du financement de
Le juge Renaud Van Ruymbeke va enquêter sur d’éventuelles rétro-commissions en marge d’une vente de sous-marins français au Pakistan.
Renaud van Ruymbeke va contre l’avis du procureur, qui jugeait les faits prescrits. Le
Un attentat meurtrier attribué de manière catégorique à Al Qaeda, une obstruction manifeste du pouvoir politique lors de l’enquête, une affaire de corruption mêlée au complexe militaro-industriel.Voici les protagonistes