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Affaire du "détail" : déclaration de Jean-Marie Le Pen du 18 septembre 1987

Note de la Rédaction

Rappel : le 13 septembre 1987, au Grand Jury RTL-Le Monde, à propos du révisionnisme et des chambres à gaz, Jean-Marie Le Pen avait déclaré : « Je n’ai pas étudié spécialement la question, mais je crois que c’est un point de détail de l’histoire de la Deuxième Guerre mondiale », déclenchant aussitôt l’hallali politico-médiatique à son encontre.

Le 18 septembre, il revenait sur cette affaire dans une allocution destinée au peuple français et prononcée à l’Assemblée nationale.

C’est très solennellement, très gravement, très franchement, que je viens aujourd’hui m’adresser non pas à la meute politique et médiatique lancée depuis longtemps à mes trousses, et qui, enfin, croit maintenant pouvoir me déchirer, ce n’est pas à elle, mais à la France et à son peuple français.

De ce peuple, en effet, seul le jugement m’importe parce que c’est pour lui que je lutte, parce que ce n’est pas pour moi, mais pour lui seul et son avenir que je mène mon combat.

Aussi bien, ne vous y trompez pas : le déchaînement prodigieux, le tohu-bohu insensé auquel, Françaises et Français, vous assistez avec, je suppose, une certaine stupéfaction parce que, dans votre immense majorité, vous n’en comprenez pas les vraies raisons. Les hurlements et anathèmes dont je suis l’objet, la malédiction dernière et mortelle dont on veut me frapper, en me marquant au fer du racisme et de l’antisémitisme, tout cela vise un but extrêmement précis qui consiste à m’empêcher d’exprimer l’angoisse de millions de Français devant l’état de la France, de les inviter au sursaut et d’être le porteur de leurs espérances et, en outre, d’empêcher l’union nécessaire qu’elle soit complète ou partielle, entre toutes les forces qui peuvent et doivent faire barrage au socialisme.

Alors, comme pour atteindre ce but et frapper le Front national et moi-même, il existe une arme absolue : c’est, vous le savez, l’accusation de racisme et d’antisémitisme. On l’a dégainée en prenant prétexte de propos radiophoniques que j’ai tenus et en me transformant en grand Satan de la politique française.

J’accuse le lobby pro-immigré, véritable syndicat anti-Le Pen, d’avoir organisé et conduit contre moi ce procès en sorcellerie. Le caractère orchestré de cette offensive destinée à dénigrer le candidat national à la présidence de la République et donc à favoriser l’élection du candidat socialiste, est rendu évident par le fait qu’elle n’eut lieu que trente-six heures après l’émission et qu’elle s’est déroulée selon un scénario connu avec le vocabulaire surréaliste commun à ses figurants habituels ; professionnels des droits de l’homme, ligueurs de l’antiracisme, pétitionnaires de gauche, ministricules en mal de renommée auxquels sont venus se mêler quelques personnages de haute volée que, pourtant, leur fonction ou leur état devrait incliner à la modération, la pudeur, la charité et même l’abstention pure et simple.

Dans ce concert de mensonges énormes, de jugements téméraires et d’injonctions vengeresses, le ton a été donné par le candidat communiste à la Fête de l’Humanité : « Démasquons Le Pen, cet homme est dangereux. »

Au signal, l’appareil de la gauche s’est mis en branle, entraînant dans son sillage un certain nombre de gogos de la majorité. Ce n’est pas la première fois que de telles campagnes ont été orchestrées contre moi et le Front national. Parmi d’autres, ce fut le cas lors de l’attentat criminel de la rue Copernic où l’« extrême droite » fut désignée par la classe politico-médiatique à la vindicte publique. Un an plus tard, on annonçait, discrètement, que les tueurs étaient palestiniens : des innocents avaient été lynchés, vitriolés, battus, insultés. Le jugement téméraire avait débouché sur l’injustice.

Cette fois, il a suffi d’un mot interprété abusivement pour que la calomnie éclate en vacarme infernal et donne le signal de la proscription.

Scandaleux, révoltant, ignoble, inacceptable, détestable, monstrueux, malfaisant, abject, venimeux, terrifiant : tels sont les qualificatifs qui m’ont été décernés par des journalistes ou des politiciens qui prêchent la modération... aux autres...

Qu’ai-je donc dit à RTL qui puisse justifier cette véritable chasse à l’homme ? Olivier Mazerolle m’avait posé la question : « Considérez-vous qu’il y a eu un génocide juif dans les chambres à gaz ? » J’ai répondu : « II y a eu beaucoup de morts, des centaines de milliers, peut-être des millions de morts juifs et aussi non-juifs. »

Cette réponse était claire et, pour des gens de bonne foi, ne laissait planer aucun doute sur ce que je pense du martyre du peuple juif d’Europe par les nazis et sur la condamnation que je porte sur ce crime. Négligeant cela, mes ennemis, et avec quelle fureur, m’ont fait grief d’avoir dit que les chambres à gaz étaient un « détail dans l’histoire de la Seconde Guerre mondiale », feignant de croire que ce mot était employé dans une acception péjorative.

Il s’agit là d’un procédé habituel du terrorisme intellectuel qui a cours chez nous. Dans mon esprit, et d’ailleurs dans les dictionnaires, « détail » signifie « partie d’un tout ». Or, la Seconde Guerre mondiale dura six ans, elle mit aux prises des centaines de millions d’hommes et fit plus de 50 millions de morts dont 35 millions d’Européens, laissant depuis la moitié de l’Europe sous la botte soviétique.

Chacun de ces éléments, si meurtrier, si atroce, qu’il ait été, fut un élément de cette immense tragédie humaine.

Les camps de concentration où moururent par millions juifs, tziganes, chrétiens et patriotes de toute l’Europe et les méthodes employées pour mettre à mort les détenus : pendaisons, fusillades, piqûres, chambres à gaz, traitements inhumains, privations, constituèrent un chapitre, une partie, un détail de l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, comme en témoignent d’ailleurs tous les ouvrages généraux qui y furent consacrés.

Ai-je dit autre chose et honnêtement, oui honnêtement, cela justifie-t-il le procès de sorcier que l’on me fait dans la presse écrite, parlée, télévisée ? Et qui aura la loyauté et le courage de reconnaître s’être ou avoir été trompé ou avoir trompé les autres ?

Notre siècle a été celui des pires totalitarismes et des plus affreux génocides raciaux, sociaux ou religieux.

Deux idéologies totalitaires et antireligieuses : le communisme et le national-socialisme, d’ailleurs alliés au début de la Seconde Guerre mondiale, ont créé l’abominable système des camps de concentration.

L’un d’eux a disparu depuis quarante-deux ans, l’autre, le communisme, continue depuis soixante-dix ans à faire régner sur le monde la misère, l’oppression, la terreur et la mort.

Sait-on qu’en Russie soviétique, comme l’avoua Khrouchtchev au XXe congrès, de Lénine à Staline, 50 millions d’Ukrainiens, de Russes, de Baltes moururent victimes de la barbarie communiste ? Que Xien Tsao Ping reconnut que sous Mao, plus de 60 millions de Chinois furent liquidés ?

Pense-t-on encore, tout près de nous, aux Vietnamiens catholiques ou bouddhistes assassinés par le Vietminh, noyés dans leur « boat peuple » ; aux trois millions de Cambodgiens tués par le communiste Pol-Pot et aux deux millions d’Erythréens massacrés par le communiste Mengistu ? A l’heure où je parle, on massacre en Afghanistan et les goulags continuent de lancer au ciel leur cri muet et désespéré. Certes, les crimes des uns n’effacent pas ceux des autres, mais les crimes nazis appartiennent au passé alors que les crimes communistes appartiennent au présent et, hélas ! à l’avenir.

J’ai perdu mon père « mort pour la France » pendant la guerre, je sais donc le prix du sang et des larmes, je compatis à la douleur de tous ceux qui ont vu disparaître des êtres chers dans la tourmente. Je voudrais dire aux juifs français, mes compatriotes qu’on a tenté d’effrayer par cette campagne mensongère, que je ne les confonds pas avec ceux qui prétendent parler en leur nom. La France a le même amour pour tous ses fils, quelles que soient leur race ou leur religion.

Françaises, Français, Nul plus que moi n’est respectueux de notre passé, mais le passé ne doit pas occulter l’avenir.

L’élection présidentielle ne portera pas sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, mais sur les voies et moyens d’une politique nationale et européenne, seule capable de nous arracher à la décadence et d’amorcer le redressement français et par lui la renaissance de la France et de l’Europe. Sûr de la confiance de millions de Français, chaque jour plus nombreux, j’affirme ma détermination à poursuivre l’action engagée pour rendre à notre peuple la parole et la maîtrise de son destin. A tous ceux qui, comme il y a deux ans, m’avaient enterré prématurément, je donne rendez-vous dimanche au Bourget et en mai 1988 à l’élection présidentielle.

Jean-Marie Le Pen à l’Assemblée nationale, le 18 septembre 1987

 

Source : Quotidien de Paris du 19-20 septembre 1987, n°2435

 

Voir aussi, sur E&R :

Sur la Seconde Guerre mondiale, chez Kontre Kulture :

 






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15 Commentaires

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  • "Je voudrais dire aux juifs français, mes compatriotes qu’on a tenté d’effrayer par cette campagne mensongère, que je ne les confonds pas avec ceux qui prétendent parler en leur nom. "

    Tout est dit.

     

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  • La propagande est une arme redoutable. Depuis 3 ans, je découvre que je me suis totalement fait enfumé concernant Monsieur Le PEN. Hélas, je crains de ne pas être le seul. Hélas encore, la relève n’est pas au niveau (je veux dire au FN … pas plus qu’ailleurs d’ailleurs !). Gardons espoir, les peuples de la Terre finiront par comprendre qu’ils sont manipulés par leurs "dirigeants" depuis la nuit des temps ...

    La nouvelle politique citoyenne reste à inventer ...

     

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    • Ho non, Tu n’es pas le seul , j’étais surement à peu près dans le même état d’esprit que Toi . Quand on pense que JML a écrit ça en 1987, il avait de très longues coudées d’avance . Le point de détail positif est que de plus en plus de gens semblent en prendre conscience et de toutes confessions, j’espère . Tant Mieux .

       
  • #1156421
    Le 4 avril 2015 à 02:13 par Colère Bleu Blanc Noire
    Affaire du "détail" : déclaration de Jean-Marie Le Pen du 18 septembre (...)

    Tout est dit et tout est encore valable !
    Jean-Marie Le Pen, un patriote, un homme de parole.
    Que les menteurs professionnels, que sont nos politiques vendus, disparaissent définitivement de la scène. Le seul véritable défaut que lui reprochent ceux qui croient faire les présidents, c’est qu’il ne s’est jamais laissé acheter, et que celui qui le corrompera, n’est pas encore né.

     

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  • Pour vous dire a quel point l’enfumerie concernant M Le Pen touche tout le monde, y compris les enfants, lorsque j’étais au collège, il y a de cela une dizaine d’année, j’avais une copine dont la grand-mère était une portugaise qui avait fuit son pays et qui depuis avait été naturalisée francaise. Et bien croyez le ou non, cette copine était persuadé que sa grand-mère aurait été chassée du pays si jamais Le Pen venait à être élue.. Considérant que sa grand-mère était une étrangère puisqu’elle n’était pas d’origine francaise...
    J’ai eu beau lui expliquer que quand on parle d’étrangers, on parle de ceux qui n’ont pas la nationalité francaise du tout, et donc les immigrés sans papiers ou en séjour, et que sa grand-mère n’était absolument pas concernée puisqu’elle avait la carte d’identité nationale, mais rien a faire... Pour elle sa grand mère était de base immigrée, et se serait fait chassée et renvoyée au Portugal ... Bien sur, sans parler du fait que c’était également un être immonde, raciste, sexiste, et malsain. Pourquoi pensait elle ca ? Elle même ne savait me répondre, elle le savait, c’était tout ce qui importait !
    Et tristement, elle n’était pas la seule à "savoir" cela...
    Nous avions 13 ans a l’époque, pour vous dire comme la propagande touche tout le monde.. !

     

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    • Malheureusement ce que vous décrivez est encore bien présent à l’esprit des gens aujourd’hui. Il est impossible de discuter à propos du FN sans s’attirer les foudres de celles et ceux qui vous écoutent, le pire dans tout ça c’est quand vous leur demandez pourquoi haissez vous ce parti, les seules réponses sont : car si jamais le FN arrivait au pouvoir tous les français qui ont une ascendance étrangère serait expulsés de France. Meme si vous arriviez à leur faire comprendre que ce n’est pas vrai, on vous ressort la même excuse le FN va nous exclure de l’Europe, nous allons faire un retour en arrière de 100 ans...
      Personnellement j’ai laissé tomber ce genre de débat lorsque je suis avec des proches, c’est un sujet tellement brûlant qu’il faut bien prendre des pincettes avant d’en discuter.

       
    • J’ai connu le même exemple mais en Faculté il y a de cela 3 ou 4 ans. La fille française mais d’origine italienne craignait de devoir retourner en Italie avec toute sa famille en cas de victoire du FN....Là ce n’est plus le collègue mais du niveau bac +3

       
    • #1156622

      Ahah ! Moi de mon coté, c’est vers mes parents que le dialogue de sourd à eu lieu xD

      J’ai reçu ma carte par erreur a leurs domicile, j’ai cru que j’allais être renié... Mais une fois de plus, c’était le même schéma : Le FN est un partit Raciste, xénophobe, toute la haine en France est leurs faute etc etc
      J’ai même eu droit à l’argument sur les chambre à gaz, basé, comme d’habitude, sur 1/4 de phrases sortie du contexte.
      Il aura fallu des mois + mon désencartement du parti pour réussir à renouer le dialogue... Aujourd’hui je leurs ment sur mes intentions de vote... J’imagine que c’est le prix à payer pour ne plus jamais revoir ce dégout dans leurs yeux...

      Bref, je dit pas ça pour faire mon "Caliméro", mais je trouve que cette haine à l’encontre du FN va quand même extrêmement loin. Au vu des relations que nous avions avec mes parents (Nous étions trés proches, nous respections enorméments, nous écoutions...) j’étais assez désemparé de me voir traité de fasciste (ou de fascisant quand j’avais du bol...) avec une telle hargne...

      L’utilisation de la haine réelle pour contrer la haine imaginée n’as aucun sens. Dans une guerre d’idéologie, on n’as pas le droit d’utiliser les armes du camp d’en face

       
  • C’est un grand Homme politique. Avec lui on comprends aussi que le Français est une langue riche et malheureusement notre enseignement n’est pas à la hauteur ! Si le peuple n’est pas assez instruit , c’est aux hommes publics journalistes, politiques et artistes de le faire comprendre et non d’utiliser les mots hors contexte.

     

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  • Je note que la liberté d’expression, que le FN prétend défendre et préserver, ainsi que sa lutte contre le communautarisme, sont dans ce cas précis totalement oubliées, voire reniées.
    Le FN se plie, se soumet, et s’érige contre la liberté de parole, comme n’importe quel autre parti.

     

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  • Le problème inhérent la justice, c’est que sa mission est en général de vouloir faire la lumière sur un fait sans présupposé. Or il ne s’agit d’abord pas d’un fait, d’un acte, mais d’une expression, et d’autre part, il y a bien des faits ou plutôt d’une chose (la chambre à gaz comme arme d’un crime) et ce fait est posé exactement comme un dogme et cette chose est comme un énorme totem. Le fait est transformé en dogme (de "dogmata" : décret).et la chose en totem., ce qui suppose une intervention étatique, de l’autorité publique. Nous sommes donc sortis du droit moderne. Le prince intervient dans un débat en principe libre pour donner raison à une partie sur une autre. Donc il n’est plus possible d’éclairer la justice qui tient un fait pour acquis. Elle a un "préjugé", un présupposé et le juge n’est donc plus un juge puisque partial et ayant déjà un jugement sur l’affaire. Il est un agent administratif du pouvoir, rien de plus.

    Or les juges ne veulent pas remettre en cause ce présupposé ou ne connaissent pas la question ou la croient réglée. Une erreur judiciaire naît très souvent de la circularité des vérifications : affaire d’Outreau : les juges pensaient que telle chose avait été vérifiée par des experts qui pensaient que le juge l’avait lui-même vérifiée et l’erreur entrait dans le dossier comme un virus sur disque dur et était démultipliée, et devenait de plus en plus difficile à contester. Tout cela se réduit à une gigantesque confusion des pouvoirs.

    Cela dit, on paye des décennies de lâcheté et de paresse intellectuelles. Il suffit de fréquenter la bourgeoisie française pour mesurer le désastre. Beaucoup de travail et de courage pour redresser la situation.

     

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  • Lepen en 87 (déjà !) c’était E&R avant l’heure... CQFD !

     

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  • D’une certaine façon, c’est en utilisant des non-évènements comme ce genre de phrase de JMLP que le pouvoir médiatico-politique a tracé la route, que dis-je l’autoroute, pour qu’un certain pouvoir puisse s’y engouffrer.

    Le FN fut l’épouvantail de la gauche pour créer tout l’attirail muselant de l’anti-racisme (la fameuse menace fasciste qui a été instrumentalisée selon l’aveu de Lionel Jospin), et les phrases de JMLP ont servies (et servent encore) a assoir la domination sioniste qui aujourd’hui n’est plus à démontrer.

    Tout ça est machiavélique et je m’étonne (si peu) que le FN d’aujourd’hui se couchent face à ses maitres tandis qu’ils conchient le patriarche. Alors que le patriarche lui-même, de bonne foi, n’a absolument pas l’intention de retirer un seul mot de ce qu’il a pu dire.

    Honte sur Marine Le Pen et sa clique de franc maçon. Le pire c’est que la petite Marion n’est pas formée à l’école de son grand-père mais passe le plus clair de son temps en formation continue en binôme avec Gilbert Collard.

    La FN de demain ça promet !

     

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  • C’est toujours l’histoire de l’arbre qui cache la forêt

     

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