Agnès Buzyn, pour ceux qui n’étaient pas nés en 2020, est ce fameux ministre de la Santé qui a démissionné pour des raisons obscures juste avant l’offensive covidiste lancée par l’oligarchie mondialiste, et parfaitement relayée par les oligarchies nationales.
À l’époque, au début de la très dystopique année 2020, l’ex-bru de Simone Veil a juste eu le temps de mettre sur la liste des produits dangereux l’hydroxychloroquine du Pr Raoult, une petite décision qui aura d’énormes, on a bien dit énormes, effets. Le battement d’ailes du papillon qui se transforme en tsunami sanitaire, c’est elle.
Certes, elle n’a pas inventé le virus, même si son mari était présent à l’inauguration du laboratoire P4 d’où la Bête s’est officiellement échappée, et même si depuis peu on parle du laboratoire où a eu lieu la vraie fabrication du virus, en Caroline du Nord, par les Américains donc, qui accuseront évidemment ces Chinois amateurs de Wuhan.
Tout ceci est connu, comme le caractère dangereux des injections, qui auront juste permis, non pas de protéger les populations, mais de leur faire les poches. La blague coûtera une centaine de milliards d’euros à 450 millions d’Européens (on ne parlera pas ici du désastre économique de l’opération) dirigés par l’ordure corrompue Leyen et son mari, qui fera partie du braquage, côté entreprise (Big Pharma).
Aujourd’hui, Buzyn, qui a quand même fui ses responsabilités en Suisse au bon moment, à la Marie-Antoinette (qui, elle, n’était coupable de rien, la pauvre), se répand en accusations contre les « antisémites » qui lui voudraient du mal. Mise au point : personne n’a attenté à sa vie, alors que les grands labos pharmaceutiques ont attenté à la vie de centaines de milliers de personnes, et l’hécatombe n’est pas terminée.
Agnès est bien vivante, elle a sa carte dans les médias, elle souffre juste de poursuites verbales sur les RS, qui effectivement ne pardonnent pas à la hiérarchie covidiste le mal qu’elle a fait aux Français, ces naïfs Français. Le problème, c’est que les non-juifs ne peuvent pas invoquer l’antisémitisme, pour se défendre. Mais l’arme est à double tranchant : se servir à mauvais escient du laser antisémite peut malheureusement développer l’antisémitisme, du moins la colère contre ceux qui crient au loup pour de mauvaises raisons.
Surréaliste.
Agnès Buzyn (qui n'est toujours pas en prison) accuse @officielsoral
, @MbalaDieudo les gilets jaunes, les russes, les journaux, les maghrébins et @raoult_didier d'être à l'origine de sa descente aux enfers...Post-scriptum : @agnesbuzyn espionnait très… pic.twitter.com/kIDTiIdO73
— Vincent Bolloré Goldschmidt (@v_goldschmidt) September 25, 2025
C’est le bourreau qui se victimise, n’ayons pas peur des mots. Les victimes, elles, deviennent mécaniquement des bourreaux, des assassins en puissance. Bref, Buzyn est aussi lâche qu’hypocrite, et c’est Goldnadel qui, tranquillement, sûr de lui et dominateur, livre la clé.
Saldmann : « Là, vous vous victimisez. »
Goldnadel : « Ça marche toujours, la victimisation. » pic.twitter.com/3rix0bcvvq— The NEWS (@news_and_truth) September 24, 2025