Aussitôt après les accusations contre Alain Soral dans les médias mainstream, Marcel a pris sa plume et son micro pour débunker le montage venu d’en haut. Car pas un instant ces relais du pouvoir profond n’auraient lancé, en même temps, une attaque d’une telle d’ampleur.
Il faut à tout prix détourner les yeux des Français du génocide
La guerre des Douze Jours a eu de fortes répercussions chez nous. Les militants propalestiniens un peu trop voyants ou exposés se font exploser la porte et la réputation.
Alors que les vrais terroristes israéliens font des ravages contre les civils à Gaza, tirant sur les affamés, bombardant des hôpitaux ou des campements de fortune, chez nous, la répression est encore montée d’un cran. Relater ce qu’il se passe au Proche-Orient devient presque un crime. Journalistes et lanceurs d’alerte sont dans le viseur. Attention aux suicides involontaires...
Le journalisme, un crime ?
Michel Collon raconte une agression d’une violence extraordinaire Ça s’est passé près de chez vous
La Minute Michel épisode#33 pic.twitter.com/IKMsxZNDbw
— Michel Collon (@MichelCollon) July 7, 2025
Le problème, malgré la répression et le choix dramatique par notre gouvernement du camp Netanyahou, celui des génocidaires – il est loin, le temps de l’indépendance, du Général et même de Chirac –, c’est que les gens ne se taisent plus.
« Vous voulez nous empêcher de dire les mots, mais moi je vais vous les dire ! Vous êtes coupables de génocide, vous êtes coupables de crimes contre l’humanité ! »
— Ahmed (@Pistach27) July 6, 2025
« Moi, plus on me dit ne creuse pas dans cette direction, plus je vais le faire. »
C'est limpide. Félicitations a ce jeune homme qui n'est pas né à genoux. Pas comme cette serpillière de Pascal Praud. pic.twitter.com/TZQL9bxXGH
— Linformatrice (@Linformatrice1) July 5, 2025
Ce que détestent les Français, ces grandes gueules, c’est justement de fermer leur gueule, surtout devant une injustice flagrante, quand un bourreau surarmé écrase une victime désarmée, le mal face au bien, l’image du manichéisme absolu. Là, enfin, on retrouve le pays des droits de l’homme, celui qui défend les vraies victimes.
Les victimes, aujourd’hui, ce ne sont pas les minorités pleurnichardes qui réclament tous les droits possibles et imaginables à la manière des féministes, des homosexuels ou des juifs, non, ce sont les Palestiniens qui meurent sous les bombes. Un combat n’empêche pas l’autre, mais s’il faut se lamenter, informer et dénoncer, c’est bien pour les pauvres gens de Gaza qu’il faut le faire, et tous ensemble.
— Ahmed (@Pistach27) July 6, 2025