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Anish Kapoor (le Vagin de la Reine), lauréat du "Nobel du monde juif"

BHL salue son initiative : un million de dollars aux réfugiés

On ne connaissait pas le « Nobel du monde juif », on a cru à une invention de BHL sous amphète, mais apparemment ça existe vraiment. BHL explique ça mieux que nous et il est très sérieux.

Si on était taquins on écrirait que c’était pas la peine de préciser « du monde juif ».

Il faudra penser un jour à créer un NoBHL ou un prix littéraire BHL, l’homme qui aura laissé plus de traces de sang que de traces littéraires.

La postérité retiendra de lui son rôle positif dans la préparation de l’opinion aux massacres de l’Empire.

C’est déjà pas mal, tout le monde ne peut pas en dire autant.

On va être très honnêtes, on n’a pas lu l’article. Il est question de lobby sioniste US, de grosses sommes d’argent, de causes humanitaires (dont la Syrie foutue en l’air par la coalition israélo-américaine) et à la fin on a vu clignoter un « ces questions sont vertigineuses ».

Un peu d’écume béhachélienne pour vendre la sauce mondialiste qui emmerde 99% des humains uniquement pour en satisfaire 1%. C’est ce que Bernard appelle sans doute l’humanisme...

On dit que le foot est un sport qui se joue à 11 et à la fin c’est toujours l’Allemagne qui gagne. De la même façon, un texte de BHL à la fin c’est toujours « Vive Israël et aux chiottes le nazisme ».

Qu’il nous prévienne si il change de disque.

- La Rédaction d’E&R -

 


 

Peu connu en France mais qualifié par la presse américaine de « prix Nobel du monde juif », le Genesis Prize couronne, chaque année, une personnalité ayant oeuvré pour le rayonnement des « valeurs juives » et leur contribution au « bien de l’humanité ».

 

Fondé par des philanthropes américains et russes, proclamé chaque année à Jérusalem et attribué au terme d’un processus de sélection complexe où interviennent des autorités morales américaines (jusqu’à sa mort, Elie Wiesel), israéliennes (l’ancien héros de la dissidence soviétique, devenu président de l’Agence juive, Natan Sharansky) ou européennes (le grand rabbin britannique lord Jonathan Sacks), il a couronné, jusqu’à présent, des personnalités aussi différentes que l’ancien maire de New York Michael Bloomberg, l’acteur Michael Douglas, le violoniste Itzhak Perlman ou, l’an dernier, le plasticien Anish Kapoor.

Mais sa principale originalité est : 1. qu’il est doté de la considérable somme de 1 million de dollars ; 2. que le lauréat ne touche pas à ce million et a obligation de le reverser à des organisations humanitaires actives dans la « grande cause » qu’il a désignée par avance et dont l’originalité, ou l’urgence, aura pesé dans la décision du jury ; 3. que cette double générosité (celle de la Fondation Genesis à l’origine du prix, puis celle du récipiendaire) a pour effet de déclencher une sorte de mimétisme philanthropique, de levier d’évergétisme et de bienveillance, dont le résultat est que la somme finalement allouée à la cause élue par le lauréat sera multipliée par deux, dix, parfois bien davantage.

Cette histoire est passionnante à deux titres.

D’abord, bien entendu, à cause de ce mécanisme de surenchère philanthropique dont je ne suis pas sûr qu’il y ait, en Europe, d’équivalent.

Mais aussi, et surtout, parce que le lauréat de l’année dernière, Anish Kapoor, vient d’annoncer que c’est à la cause des réfugiés, exilés et autres personnes déplacées qu’il a décidé de dédier son prix – et que la presse américaine est pleine, ces jours-ci, d’articles détaillant la façon dont il a choisi d’allouer cette manne.

Soutien aux réfugiés fuyant le Soudan du Sud en guerre, vers l’Ouganda…

[...]

Financement, à travers l’organisation étudiante Hillel International, d’une campagne de sensibilisation des campus à la tragédie syrienne et à ses millions de damnés fuyant le double piège de l’islamisme et des forces gouvernementales de Damas…

Dans les camps de réfugiés syriens du Liban, de Jordanie ou de Turquie, l’équivalent de 20 millions de dollars d’équipement médical convoyé par la Multifaith Alliance for Syrian Refugees…

Ou encore le renforcement de la plateforme digitale Refugee. info qui a pour mission d’informer sur leurs droits – et, hélas aussi, sur l’enfer administratif qui les attend – les migrants débarquant à Lampedusa ou en Grèce…

C’est beaucoup.

[...]

Eh bien, j’aime l’idée que cette initiative soit attachée au nom d’Israël.

J’aime que soit ainsi rappelé – et, dans les déclarations d’Anish Kapoor ou de Mikhaïl Fridman, le cofondateur du prix, avec quelle force ! – qu’être juif c’est, aussi, se souvenir que l’on a été étranger, non seulement il y a trois mille cinq cents ans en Égypte, mais hier, il y a tout juste trois quarts de siècles, dans l’Europe sous la botte du nazisme.

Lire l’article entier sur laregledujeu.org

BHL ou la dégradation du sionisme,
lire sur Kontre Kulture

 

Kapoor, artiste mondialiste, voir sur E&R :

 






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