Egalité et Réconciliation
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Coupe du monde de la FIFA : oui à Israël, non à la Russie

Les Russes auraient dû massacrer des centaines de milliers de civils en Ukraine : ils auraient pu réintégrer le club prestigieux du football international. Au lieu de cela, les voilà réduits à jouer des matchs amicaux avec les pays du 4e chapeau : Nigéria, Sénégal et Guinée.

 

 

Pour la blonde interrogée sur la plage dans la vidéo suivante, le début du conflit IP, c’est le 7 octobre 2023. Un argument valable pour les idiots ou les escrocs, et surtout pour les journalistes mainstream, qui ne réagissent pas. Partout ailleurs sur les RS, tout le monde a compris le 2P2M. Un commentaire, parmi d’autres :

« 1948 - Ben Gourion lui-même qui donne l’ordre d’empoisonner l’eau potable de la ville d Acre avec le virus de la typhoïde... »

 

Au vu du racisme qui a contaminé et qui ravage toute la société israélienne, un match contre la France – avec ses joueurs noirs – ou contre l’Iran serait de toute beauté. Naturellement, la France finirait à 7 et l’arbitre sifflerait 5 penalties contre nous.

Dans Le Monde, on découvre les pays au ban des nations qui ont accepté de jouer contre les méchants Russes.

Depuis qu’elle a été sanctionnée, la Russie a joué quatorze matchs amicaux, les deux derniers à domicile en novembre face à Brunei et la Syrie – alors encore sous la férule de Bachar Al-Assad –, après avoir affronté en 2024 la Serbie, le Biélorussie et le Vietnam. Les deux années précédentes, ses adversaires étaient asiatiques (Irak, Iran, Qatar, Ouzbékistan, Tadjikistan, Kirghizistan), latino-américain (Cuba) ou africains. En octobre 2023, la Russie avait ainsi battu le Cameroun à Moscou, avant de défier le Kenya à Antalya (Turquie). La sélection A’ s’était quant à elle rendue en Égypte en septembre 2023 pour se mesurer aux Pharaons des moins de 23 ans.

« La liste est très parlante : il y a des anciennes républiques soviétiques très proches de Moscou, des pays comme l’Iran ou l’Irak, qui entretiennent de bonnes relations avec Vladimir Poutine. C’est aussi le cas du Cameroun et du Kenya, que la Russie a rencontré en Turquie, chez Recep Tayyip Erdogan, avec qui le président russe s’entend plutôt bien », analyse Jean-Baptiste Guégan, enseignant à Sciences Po et auteur de plusieurs livres consacrés à la géopolitique sportive.

« La liste est très parlante » : toujours un science-potard pour aller dans le sens du vent, c’est du GW Bush dans le texte. Même dans le sport, on a un axe du mal. Après, certains vont s’étonner de la montée du sentiment anti-israélien dans le monde, un sentiment majoritairement dirigé contre les dirigeants, mais quand on voit sur la plage les sourires des complices du génocide...

Il y a une citation qui va bien d’un type de l’ancien temps : « Mon Dieu, pardonne-leur, parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font ».
Lui aussi, ils l’ont assassiné. Et salement.

L’analyse de Romain Molina

 

La descente aux enfers d’Israël