(Cliquez sur « Sous-titres » pour activer les sous-titres en français)
(Cliquez sur « Sous-titres » pour activer les sous-titres en français)
RDP | Novembre 2018 |98 | OpinionsSociété |
Il semble qu’en Scandinavie, le foyer même du féminisme ultra, les langues commencent à se délier sur le concept fallacieux d’égalité des sexes.
RDP | Octobre 2018 |75 | MédiasSociété |
Retour en 1998 avec cet extrait de l’émission Du fer dans les épinards diffusée sur France 2 et présentée par Christophe Dechavanne. Alain Soral, plus de 20 ans d’insoumission ! Rendez-vous sur la page de don d’E&R :
kontrekulture.com | Juillet 2009 | Alain Soral |2 |
« La femme est l’avenir de l’homme. » Cette sentence devenue célèbre résume à elle seule le credo de l’époque, son idéologie. Que le poète qui l’a prononcée ait vécu en stalinien et fini pédé devrait pourtant inciter à la prudence, voire à la réflexion. À moins que le but de ce slogan, devenu « demain sera féminin » dans un catalogue de vente par correspondance, soit justement de couper court à toute réflexion (...)
kontrekulture.com | Janvier 2015 | Lucie Choffey |1 | Société |
Lucie Choffey est née en 1984 près de Bourges, dans le Cher. Après des études d’ingénieur et le début de ce qui aurait pu devenir une belle carrière, elle décide de tout arrêter pour suivre, malgré les pressions et les regards désapprobateurs de son entourage, son désir propre de femme et de mère : rester à la maison et s’occuper de son fils. Elle essaye alors de comprendre pourquoi, pendant tant d’années, (...)
kontrekulture.com | Mars 2017 | Félix Niesche | Société |
Don Juan, comme il se doit, coule en bonne compagnie des jours éternels en enfer. Pour l’éternité ? Pas vraiment. Car Sathan et le Démiurge, après d’âpres tractations, décident de le renvoyer séjourner sur terre. Heureux de retrouver sa vie mouvementée et sa chère Elvire, voilà qu’il arrive… en enfer ! Car la libération de ce qui fut le beau sexe l’a rendu laid et sans attrait, et Elvire, bien que toujours (...)
Cet article a été vu 34382 fois Popularité : 1 Commentaires : 49 |
Article précédent La directrice d’une ONG explique comment piéger ces "abrutis" d’agents aux frontières |
Article suivant L’Élysée se dit prêt à accréditer RT France et Sputnik |
AVERTISSEMENT !
Eu égard au climat délétère actuel, nous ne validerons plus aucun commentaire ne respectant pas de manière stricte la charte E&R :
- Aucun message à caractère raciste ou contrevenant à la loi
- Aucun appel à la violence ou à la haine, ni d'insultes
- Commentaire rédigé en bon français et sans fautes d'orthographe
Quoi qu'il advienne, les modérateurs n'auront en aucune manière à justifier leurs décisions.
Tous les commentaires appartiennent à leurs auteurs respectifs et ne sauraient engager la responsabilité de l'association Egalité & Réconciliation ou ses représentants.
Suivre les commentaires sur cet article
J’ajoute qu’elle se la joue "capitaine évidence"...
Moi aussi, je peux le faire : en temps de guerre, le taux de mortalité augmente sensiblement.
Moi par contre,je ne suis pas payé pour le dire...
Elle fait exactement le même job que Zemmour.
Toute conclusion synthétique performante est, j’imagine de l’ordre de l’évidence, une boucle qui se retrouve, un genre de parasite identifié qu’on chasse de notre organisme.
Une violence extatique, un refus de se refuser le bonheur, un bonheur à toute heure comme à toute allure. Desfois qu’il y ait une bonne heure pour se retrouver, à toute allure.
L’avant dernière, c’était pour la forme et pour que je puisse continuer à avoir la forme, une forme, l’Olympique.
Homme seul élevant ma fille, je ramène les gosses de l’Ecole (covoiturage scolaire). Discussion avec un garçon (8 ans) :
Alors au final tu trouves que les filles sont nulles ?
Grave !
Tout n’est pas perdu...
À quel degré faut il prendre votre propos ?
ce genre de propos chez les petits garçons a toujours été !
Souvenez-vous de l’excellent dessin du petit Calvin : "les filles c’est comme les limaces - ah oui, pourquoi ? - on ne voit pas trop à quoi ça peut servir"
L’ avantage ici, c’ est de voir une femme exprimer ces opinions. Autrement on peut visualiser les vidéos de MGTOW (Men Going Their Own Way) ou celles de l’ observateur sur Youtube... Cela décape !
Sauf deux exceptions (fortunées) liées au rapport juridique (anglo-saxon) qui peut s’établir entre un homme et une femme, quand bien même ils ne sont pas mariés, sauf deux autres éthérés philosophes pratiquant l’ascèse, les MGTOW sont des gonzes qui subissent ou ont subi : donc sûrement pas des alpha, si l’on peut résumer ainsi.
Je leur conseille de se mettre au shibari (en tant que nawashi), s’entraînant d’abord sur eux-mêmes ou des élements de décor, pour parfaire le geste, puis éventuellement - puisqu’ils en sont , probablement et de fait, consommateurs - d’aller chercher quelques partenaires offrant quelque philosophie déambulatoire contre du sonnant et trébuchant, pour, ensuite, ayant tirer la quintessence de l’expérience, atteindre le but ultime d’en faire un « art » gratuit qui offre une relation attachante. Je leur garantis, qu’à s’y atteler avec persévérance et détermination, cela renforcera d’autres liens qui leur avaient échappé pour les faire renaître à un « homme nouveau », l’approche des femmes redevenant dans leurs cordes, si je puis dire.
D’une manière ou l’autre il faut casquer pour apprendre : se « plaindre » sous couvert de philosophie ne change pas la donne tant nul n’est Diogène qui ne vit dans un pithos ; alors une chose, l’autre, autant apprendre à construire des liens, au sens paroxystique, du terme tout en se (re)construisant intérieurement en conservant la maîtrise...
Voilà, entre autres choses possibles, une suspension valant rebond.
Bonheur des femmes en baisse égal destruction et suicide des hommes en hausse. Ces femmes "malheureuses" trouveront toujours un connard ou une connasse pour les consoller. Plus aucune pitié pour les femmes "malheureuses" et plus aucune amitié avec les connards et conasses qui leur servent la soupe. Du bon sens et de la rigueur morale car virile, même devant leurs injonctions monétaires sans fin : elles arrêteront de prendre les gens valeureux, hommes et femmes, pour des objets de consommation comme elles le sont devenues encouragées par cette société ultra décadente et multiraciale qu’elles divinisent.
Hommes femmes et surtout "enfants" les objets de consommation des femmes au "bonheur en baisse".
juste primordial ce qu’elle dit. L’essentiel pour être un tantinet intègre en soi-même, en dehors de systèmes concentrés dans une pensée unique qui vend "son âme au diable". Pour ne pas devenir folle, pour ne pas devenir fou, l’identité et le respect de sa personne que l’on soit une femme ou un homme sont des NÉCESSITéS des socles, des racines afin de ne pas se perdre dans ce monde décadent.
Perso, j.aime bien le féminisme. De jolies femmes disponibles pour passer de bons moments . One shot deal of course. En plus , dans le night club que je fréquente il y a toujours de nouveaux lachés de sal...., de nouvelles arrivantes,. Comme disait notre ami bigeard. On vit une époque formidable . La vie est courte, il faut en profiter à fond. Un mariage, ça coûte cher, et un divorce encore plus. Pour cent euros Max, tu passes une super soirée avec partie de jambes en l’air en fin de soirée,, et en plus, elles payent leurs boissons, on partage la note du resto, et le lendemain elles payent leur taxi pour rentre chez elles. Elle est pas belle la vie ?
juste pour rire et comprend qui peut :
"Depuis l’arrivée du féminisme, le bonheur des femmes est en baisse" vs Depuis l’arrivée du féminisme, le bonheur des femmes n’est plus en baise
.....cela dit je n’irais pas plus loin....
J’adore les gens qui savent ce qui est bon pour les FEMMES dans leurs ensembles...
ou les HOMMES... ou qui nous sortent l’habituel :
" les FRANCAIS pensent que.."
" les FRANCAIS savent que... "
.
Vous pouvez etre certains que c’est toujours de la merde à 80%.
Par contre ce qui est certain c’est que cette regrettable habitude de vouloir dicter aux autres ce qui est le mieux pour leurs vies à eux risquent pas de disparaître.
.
Ma belle tu fait ce que tu veux de ta vie... Tu as décidé d’être une femme au foyer avec un régiment d’enfants avant ta trentaine c’est toi que ca regardes...
.
D’autres femmes veulent elles réussir leurs études (et pas juste faire du tourisme à la fac comme toi) réussir leurs vies pros et même n’ont aucune envie de faire des enfants.
.
Cette pauvre fille semble croire que la libération de la femme se soit en gros d’avoir une multitudes d’amants différents...
A mon avis ya deja un soucis là...
La libération de la femme c’est juste que les femmes ont le droit de vivre comme elles le désirent.. dans le même cadre légal et avec les mêmes possibilités que les hommes.
.
Vous mettez très justement le doigt sur les limites de l’approche sociologique. J’ai critiqué plus haut la réduction des rapports hommes-femmes à un marché et sur ce point la sociologie qui produit ce genre d’analyse devrait s’interroger sur ses présupposés idéologiques ("tout est marché" semble en être un).
Une autre limite, celle que vous évoquez, est l’élimination de la personne. Chaque personne est unique et son parcours de vie, ses ressources aussi bien que ses limitations intérieures sont autant de facteurs qui influencent ses choix. L’approche purement sociologique ignore complètement cela, et réduit nos actes à des automatismes entièrement déterminés socialement.
L’approche la plus intelligente serait de considérer, dans l’évaluation de nos choix, les facteurs collectifs comme les facteurs individuels, plutôt que de croire exclusivement aux uns ou aux autres. Soit dit en passant, c’est une chose que tente l’approche jungienne.
Lauren Southern aka Simonsen bosse pour Ezra Levant (Natio sioniste de Rebel Media)comme le traitre Tommy Robinson aka Stephen Christopher Yaxley-Lennon qui s est fait virer du BNP pour son sionisme... Idem pour Faith Goldy,Stephan Moulyneux....Tout une bande de natio sioniste.... Mais bon faut etre anglophone pour pourvoir suivre ce mouvement qui outre atlantique est en place depuis 3 ou 4 ans.....
« D’après le Vishnu Purânä (Livre VI, chap.1) : « Les gens du Kali Yuga prétendront ignorer les différences des races et le caractère sacré du mariage (qui assure la continuité d’une race), la relation de maître à élève, l’importance des rites. Durant le Kali Yuga des gens de toutes origines épouseront des filles de n’importe quelle race. Les femmes deviendront indépendantes et rechercheront les beaux mâles. Elles s’orneront de coiffures extravagantes et quitteront un mari sans ressources pour un homme riche. »
« Elles seront minces, gourmandes, attachées au plaisir. Elles produiront trop d’enfants mais seront peu respectées. Ne s’intéressant qu’à elles-mêmes, elles seront égoïstes, leurs paroles seront perfides et trompeuses.D’après le Vishnu Purânä (Livre VI, chap.1) : « Les gens du Kali Yugä prétendront ignorer les différences des races et le caractère sacré du mariage (qui assure la continuité d’une race), la relation de maître à élève, l’importance des rites. Durant le Kali Yugä des gens de toutes origines épouseront des filles de n’importe quelle race. Les femmes deviendront indépendantes et rechercheront les beaux mâles. Elles s’orneront de coiffures extravagantes et quitteront un mari sans ressources pour un homme riche.
« Elles seront minces, gourmandes, attachées au plaisir. Elles produiront trop d’enfants mais seront peu respectées. Ne s’intéressant qu’à elles-mêmes, elles seront égoïstes, leurs paroles seront perfides et trompeuses. »
« Des femmes de haute naissance se livreront aux désirs des hommes les plus vils et pratiqueront des actes obscènes. »
Nous sommes dans cette période. Elle est nécessaire pour fortifier nos âmes, sachant qu’on ne passe pas entre les gouttes.
Le bon grain de blé se laisse en apparence corrompre par l’humidité pour germer et donner, si possible des épis !
Certains ne parviennent pas à maturité et meurent. D’autres poussent sur un sol trop aride et meurent.
Quant à ceux des grains de blé bien au chaud dans le grenier, ils seront la proie d’oiseaux affamés.
Période terrible certes mais cependant propice à la Délivrance du fait des souffrances endurées.