le meilleur était pour la fin ,’’un ébranlement intime qui va nous ressouder’’ , là il parlait bien de nous la mettre dans l’intime de la théorie du genre.

Répondre à ce message

Ce que je ne comprends pas avec ces retranscriptions durant l’allocution de l’autre pantin, c’est l’intérêt de faire croire à un discours spontané alors qu’on sait tous qu’il lit un prompteur... Ils n’en sont tout de même pas au point de nous prendre pour des cons à se niveau la ?

Répondre à ce message

Le FOUTUR c’est quand son présent va foirer ! C’est ce qu’on lui souhaite...

Répondre à ce message

Les malades en détresse respiratoire sont bien "entubés" non ?

Comme tous les français d’ailleurs car l’atmosphère devient de plus en plus irrespirable !

Répondre à ce message

Etant donné qu’il li un prompteur, ils auraient pu mettre le texte automatiquement en bas de l’écran mais, ainsi ça simule la spontanéité et la sincérité de Macron. Ils mentent toujours.

Répondre à ce message

1000 esclaves par élu, car .....c’est notre PROJET !

Répondre à ce message

Curieusement, il y a deux jours au Canada, Trudeau a commis le même genre de bourde en anglais....

Répondre à ce message

perso je crois beaucoup aux petits signes de la Providence
Oui on est foutu pour les 10 prochaines futures années

Répondre à ce message

Je vous partage le commentaire de philippe Guillement sur ce lapsus . Il faut connaitre un peu ce dernier pour comprendre( voir sa page FB ou son site)..bonne réflexion.
Notre futur tel que le voit Macron est foutu ! C’est ce que j’ai moi aussi retenu de l’intervention TV de Macron hier soir.

Et un futur foutu, c’est bel et bien un "foutur" qui préfigure un sacré foutoir pour les plans de notre cher président, c’est à dire ceux de l’Europe des lobbies et des multinationales qui nous gouvernent.

C’est une très bonne nouvelle qui confirme la théorie du gentil virus. :) et dorénavant, je propose de nommer "l’ancien futur" par "le foutur".

Les lapsus, et plus généralement les actes manqués, sont bien connus comme révélant souvent une pensée refoulée qui remonte à la surface. Mais la double causalité l’explique encore mieux :

Dans l’élaboration d’un discours il y a une intention à l’œuvre dans le futur, qui crée à l’avance ce que l’on va dire avant que le cerveau n’en réalise la lecture dans le présent si la causalité n’impose pas d’autres mots. Car si l’attention est insuffisamment contrôlée par le mental, la cause laisse place à la cause inverse qui réalise alors la lecture de ce que le futur avait prévu.

J’ai moi-même récemment fait un lapsus (vidéo ci-dessous) en parlant de mots clos au lieu de mots clés.

J’avais en effet peur de prononcer des mots interdits par l’enclos du parc de la pensée. Il est en effet difficile de savoir où mettre le bon curseur dans un discours où l’on doit veiller à ce qu’il ne soit ni trop politiquement correct, ni trop complotiste. La théorie de l’inexistence des complots qui a en effet été implantée dans nos cervelles pour nous transformer en auto-censeurs ou censeurs des complotistes agit en effet comme un implant psychique encore plus contagieux que notre gentil virus et contre lequel il faut absolument mettre un masque.

Répondre à ce message

J’ai bien ri en lisant vos commentaires.
Ce n’est qu’une faute de frappe, ça arrive, pas la peine d’en faire tout un foin.

Répondre à ce message