Egalité et Réconciliation
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En bref

Vendredi 30 octobre de l’an de grâce 2020

Bon ben voilà, on y est, le monde d’après, la grosse risette (version française du great reset), la remise à zéro des compteurs pour sauver la Banque et ramener l’humanité à un milliard de têtes, ça y est, le passage a été extrêmement rapide, un peu désastreux, pas eu le temps de faire nos affaires, mais que voulez-vous, on ne fait pas de risette sans casser des vieux.

 

Des vieux mondes, s’entend, ceux où l’on pouvait aller tranquille boire un coup en terrasse sans risquer le couteau de l’Afghan, jouer au foot avec les potes sans regarder si le défenseur tchétchène va nous décapiter, organiser un dîner à sept sans que des voisins téléphonent aux flics ou au CRIF, sept pour conjurer le chiffre maudit des adeptes du dieu Six...

 

 

Comme toujours dans notre histoire, on va s’habituer (sauf en cas de révolte populaire généralisée, mais il va falloir changer de trempe et de méthode). Il y aura chômage de masse, revenu universel, vaccin obligatoire, pandémie éliminatoire et forcément superpolice avec supersurveillance pour l’oligarchie qui, elle, pourra vivre à l’ancienne, c’est-à-dire à la cool : villa grandiose, parc et jardin, pistoche et spa, sécurité renforcée, traiteur divin, hélico et drone (la route sera infestée de zombies et de racailles), études privées, esclaves sexuels...

On dirait la description d’une baraque de boss de cartel ; c’est donc ça l’oligarchie papa ? Eh bien oui, fiston, la vie des grands serial killers mondialistes ressemble comme deux gouttes d’eau sale à celle des magnats de la drogue. Les uns vendent de la propagande-Système aux esclaves, les autres de l’envol mental aux désespérés, mais on ne vole pas haut bien longtemps, on n’échappe pas au destin de la grosse risette !

« L’attaquant au couteau qui a tué trois personnes à Nice est un Tunisien de 21 ans, arrivé en Europe par Lampedusa fin septembre et en France début octobre, a appris l’Agence France-Presse de sources proches du dossier. Cet homme, selon une "source locale proche du dossier", se nomme Brahim A. Non-demandeur d’asile en France, il était arrivé par Lampedusa fin septembre où il avait été mis en quarantaine par les autorités italiennes avant d’être visé par une obligation de quitter le territoire italien et laissé libre, a-t-on ajouté. » (Le Point)

Le quotidien des Français a changé vitesse grand V, alors qu’on était il y a encore une poignée d’années le pays le plus vivable du monde : 70 millions de touristes venaient chaque saison renifler le bonheur de vivre chez nous... Et puis ils ont été remplacés par des zombies du quart-monde, nettement moins solvables et aimables. Il faut dire qu’avec le robinet du migroduc ouvert à fond (il a été dévissé pendant une panne de courant, impossible de le refermer), la mainmise de la Banque sur l’État, la fin programmée des services publics, la militarisation de la rue, le couvre-feu quasi permanent, les jours pairs reconfinement, les jours impairs attentat, le Français a envie de s’enfoncer la tête dans le sable, et c’est ce que les médias lui vendent : allez, prends ton sable, tout va bien dans le meilleur des mondes...

 

 

Sauf pour le village gaulois, qui n’aime pas qu’on vienne semer la zizanie chez lui. Chacun aura remarqué que tout remerde depuis que Tullius Detritus a repointé le bout de sa tremblote. On l’avait pourtant bouté en Espagne, mais les Espagnols l’ont foutu dehors à leur tour, le traître errant...

 

 

Tullius Detritus, c’est le mec qui arrive dès que ça sent le merdier, qui sent le merdier au point qu’on finit par le confondre avec le merdier. Pourtant, Detritus aime la France, enfin, c’est ce qu’il dit. En vérité il déteste la France mais il adore la République, et c’est pas exactement pareil. La République, c’est ce qui veut défigurer, soumettre, occire la France. Les royalistes avaient raison, la République est une putain, la putain de la Banque. On sait pas qui a dit ça, si c’est un roi ou un monarchiste, c’est dit assez crûment, mais ça résume bien l’évolution.

La révolution de 1789 a foutu le souk en France, et ce qu’on vit aujourd’hui est la conséquence directe de cette fausse prise de pouvoir populaire. Si l’Histoire est logique, et l’Histoire l’est, ce sont les républicains qui devraient se faire décapiter, par un retournement d’Alliance inscrit dans les astres. Certes, la Justice prend son temps, mais le Divin a tout son temps. C’est pas comme le Diable, qui doit capitaliser sur le moment, l’existant, corrompre les âmes, acheter les faibles, manipuler les ânes, et faire voter Macron, le roi républicain (!), le Petit Dictateur.

 

 

Cependant, nous ne sommes pas assez cons pour tout mettre sur le dos du Petit Dictateur. Si un attentat a eu lieu le lendemain de son discours de reconfinage, c’est bien pour le mettre dans l’embarras. Les Français étant devenus assez complotistes (penser à demander les dernières stats à Rudy), le combo reconfinage-attentat va leur paraître louche et ils vont se dire, « le gars de l’Élysée il nous colle un attentat pour qu’on rentre chez nous et qu’on arrête de gueuler, et en plus il veut faire accuser les musulmans ! ».

On résume, si vous voulez, le propos complotiste de premier degré, le degré zéro étant : « Salauds d’islamistes, ils ont encore tué des Français innocents ! Mais quand va-t-on enfin les buter un par un à l’israélienne ? »

 

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Vous avez dit lourdingue ?
 

Il y a heureusement un deuxième degré, ou une troisième voie, c’est de se méfier et des impressions à chaud, et des impressions à froid. Par exemple : qui a intérêt à faire croire que Macron contrôle à la fois le covidisme et le terrorisme ? Là, on entre dans une autre dimension, ou une autre profondeur. Certes, on perd en route les imbéciles, puis les identitaires et les sionistes, mais on commence à voir the big picture. On n’a pas dit que c’était la vérité, on n’a pas nié l’attentat, ni la mort, ni l’auteur, ni le crime, ni l’atrocité, mais on dézoome, et on découvre le contexte, les intérêts mêlés, les jeux de forces...

L’attentat, au-delà de ses victimes, permet de tuer l’intelligence, la raison, la réflexion. Mélenchon a eu raison quand il a dit, lors d’un autre débat, que l’antisémitisme était un rayon laser paralysant qui permettait de bloquer la pensée. De la même façon, l’attentat met l’homme, nécessairement empathique, en état pavlovien (peur ou haine, prostration ou vengeance), calculable, donc manipulable. L’objectif des attentats qui secouent la France depuis cinq ans n’est pas seulement de tuer des innocents, mais de tuer une façon de penser, une façon bien française, faite de droit (romain, pas anglo-saxon), d’humanisme (le vrai, pas celui des progressistes), d’écoute, de finesse, de débat contradictoire, d’ouverture d’esprit. On veut nous bousiller le cerveau national à coups d’électrochocs, mais il en faudra plus.

 

 

La vengeance servira le pouvoir profond, il attend tout excité la vengeance des Français, qui ne doivent pas tomber dans le piège. Mais alors, on doit se laisser égorger comme des moutons ?
Qui a dit ça ? Demandez-vous d’abord qui élève les loups, qui les affame, qui les prépare, qui les lâche sur le troupeau apeuré au moment et à l’endroit du plus fort impact. Pensez amont, pas seulement aval, car sinon, vous serez toujours les objets d’une ingénierie, vous ne surnagerez jamais. C’est la tête qui compte, plus que le bras. Car dans l’hydre, les bras repoussent.

Ceux qui veulent tuer la liberté d’expression et ceux qui profitent des attentats ont le même but. Le troupeau doit non pas apprendre à vivre avec le virus ou les attentats, c’est-à-dire dans la peur, comme nous le demandent nos dirigeants pervers, mais à s’organiser pour renvoyer la peur dans ses 22, du côté des commanditaires. Là, après une prise de conscience collective, il aura fait un grand pas vers sa libération, et vivra une vraie révolution, qui pour une fois ne sera pas un piège oligarchique.

 

Bonus islamo-gauchiste

 

 

 

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52 Commentaires

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  • #2580424
    Le 30 octobre 2020 à 10:10 par Amny
    En bref

    Et bien avec tout ca...South Park est assuré de pouvoir remplir encore 40 saisons sans trop se fouler pour trouver des scénarios.

     

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  • #2580426
    Le 30 octobre 2020 à 10:12 par la tête à Manu
    En bref

    Ne désespérons pas. Il m’est impossible d’écouter Emmanuel Macron ; je préfère lire les compte-rendus, assez déprimants déjà. Je note cependant qu’il a l’air presque terrorisé. Ce n’est pas la douleur de voir les Français réduits à l’état de bétail.
    Pour le moment, les mafieux narguent la population active et vivant de son travail. Il faut les voir face à Raoult, après l’interdiction du plaquenil - imité/vendu désormais par les Marocains, et d’autres commerçants, mais interdit en France. Il faut lire aussi cet article du Figaro dans lequel les Parisiens sont présentés comme propriétaires de magnifiques résidences secondaires, au sein desquelles les confinement ressemble à de vacances. La réalité ? Des actifs vivant dans trente mètres carrés, qui vivent presque au jour le jour. Et qui, dans les rues se heurtent à des mendiants en grand besoin, des fous parfois, des criminels peut-être ; la plupart du temps des gens déprimés, méfiants, isolés dans leur portable : miroir aux alouettes, miroir de Narcisse, mais aussi fenêtre sur un monde ou existent un espoir, une conversation, un contact humain quoique non physique.
    Donc la tête de Manu qui n’en peut mais, révèle sans doute bien des choses.

     

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  • #2580434
    Le 30 octobre 2020 à 10:22 par dixi
    En bref

    Lorsque je vois ces images des années 1950, c’est toute mon enfance qui défile .Je donnerais aujourd’hui 10 ans de ma vie pour y revenir .Celui qui n’a pas connu cette époque ne peut comprendre ce qu’était la liberté, le respect, les vacances en famille, les pique niques au retour de la plage dans un bois .Plus tard , lorsqu’on sortait avec les copains en voiture, sans les radars, sans la ceinture en cabriolet .Putain la liberté ! cette joie de vivre .Bien sûr il y avait toujours des soucis, rien n’était parfait .Mais lorsqu’on voit ce que nous vivons actuellement, je pèse mes mots, c’est l’enfer .Je ne me sens plus dans mon pays, les gens ont peur de tout et se regardent en chien de faïence, presque agressif et quelquefois agressif .Il y a la modernité, c’est bien, c’est pratique mais en définitive nous étions incomparablement plus heureux .J’ai connu Nice à cette époque j’y allais passer mes vacances, Saint-Laurent du var , Monaco, Cap D’ail .Il n’y avait pas l’autoroute, mais qu’est-ce que c’était agréable et beau .Jamais on n’aurait pensé se faire décapiter 60 ans plus tard , dans un pays qui est devenu ...plus rien .Si ! ,un coupe-gorge .

     

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    • #2581796
      Le Octobre 2020 à 17:44 par jullia
      En bref

      ça me colle un sacré bourdon, je suis comme vous.
      L’été, sur la côte, pendant deux mois et demi, c’était les familles en vacances, calme, drôle, une atmosphère saine.
      De tout l’été on ne croisait pas une voiture de flic. On était en sécurité.
      Enfants nous pouvions faire nos allés et venus sans risque de se faire agresser.
      Aller faire des courses en toute quiétude. Pouvait-on seulement imaginer, ce qui se passe aujourd’hui, m^me dans notre imaginaire !!
      Maintenant nous avons des mecs à capuche à tous les coins de rues, nous avons l’impression d’être en Afrique, où au Maghreb et l’impression de déranger.

      On entendait pas parler d’antisémitisme, je crois que je ne savais même pas ce que c’était.
      C’était encore la FRANCE quoi, pas celle du CRIF, et du NOM. Même si cela était déjà dans leur projet, les dégâts n’était pas encore là.

       
    • #2581819
      Le Octobre 2020 à 18:04 par jullia
      En bref

      ça me colle un sacré bourdon, je suis comme vous.
      L’été, sur la côte, pendant deux mois et demi, c’était les familles en vacances, calme, drôle, une atmosphère saine.
      De tout l’été on ne croisait pas une voiture de flic. On était en sécurité.
      Enfants nous pouvions faire nos allés et venus sans risque de se faire agresser.
      Aller faire des courses en toute quiétude. Pouvait-on seulement imaginer, ce qui se passe aujourd’hui, même dans notre imaginaire !!
      Maintenant nous avons des mecs à capuche à tous les coins de rues, nous avons l’impression d’être en Afrique, où au Maghreb et l’impression de déranger.

      On entendait pas parler d’antisémitisme, je crois que je ne savais même pas ce que c’était.
      C’était encore la FRANCE quoi, pas celle du CRIF.

       
    • #2581836
      Le Octobre 2020 à 18:18 par jullia
      En bref

      @ toutes mes excuses pour cette faute de conjugaison "étaient"

       
  • #2580450
    Le 30 octobre 2020 à 10:48 par Grosbill
    En bref

    A faire lire à ceux qui croient encore que les « Georgia Stones » sont un canular. Remarque : un milliard « d’humains » c’est encore trop, l’objectif gravé sur ce monument est exactement : 500 millions au maximum ; et ce ne seront plus des humains mais des zombies complètement abrutis (sauf les happy few au sommet, évidemment).

     

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  • #2580510
    Le 30 octobre 2020 à 11:53 par Le passant
    En bref

    Vous imaginez la Coco, elle en aura fait du dégat...
    Après avoir ouvert la porte aux kouachi...
    La présentation de son dessin par l’instit...
    Et maintenant, ça...
    C’est vraiment la théorie du chaos et son battement d’ailes...

     

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  • #2580522
    Le 30 octobre 2020 à 12:07 par ric
    En bref

    Macron qui parle avec les couillons derrière lui... c’est un sketch...

     

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  • #2580549
    Le 30 octobre 2020 à 12:43 par Rappel des faits, et des conséquences
    En bref

    Sympa cette vidéo des années 1950 ....

    Bah merci les aînés d’avoir chié dans la colle à double doses, bravo ... Plus mauvais et gogoles que ces générations, c’est pas possible.

    Bah merci, nous on connaitras jamais ça, j’espère que vous avez bien joui sans limite, mais j’espère aussi que ces gens-là seront les premières victimes de ce qu’l se passe, que ce soit victimes du terrorisme, du covid, de l’effondrement économique ou autre.

    Que les vieux payent pour leurs erreurs, et qu’ils payent encore dans l’au-delà, ils ont trahis leurs enfants, et ça c’est bien pire que trahir sa nation. Et c’est nous qui allons devoir nous entretuer pour le bonheur passé de ces cassos ... C’est pour ça que je ne pleure même pas une larme quand lou-vieil passe l’arme à gauche, bien fait ...

     

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    • #2580685
      Le Octobre 2020 à 14:55 par Syzygy
      En bref

      Penser que tout était facile, faut pas exagérer !
      Le pouvoir d’achat n’était pas celui d’aujourd’hui. Pas de téléphone même fixe, pas d’autoroute, pas de frigo, pas de machine à laver, pas de micro-ondes, pas de TV couleur, pas 300 chaînes par satellite mais 1 en NB. Tout le monde n’avait pas une ou deux bagnoles... Pas de cantine à l’école où nous allions à pied ! Pas de crédit à la consommation, pas de carte bancaire. Pas de fast-food !
      Pas de jeux vidéo, pas de porno, pas d’internet, pas de GPS mais des cartes et des boussoles... etc...
      Les djeuns d’aujourd’hui, vous n’auriez vraiment pas aimé le manque de confort !

       
    • #2580917
      Le Octobre 2020 à 18:54 par rougette
      En bref

      Vous oubliez, jeune vieil homme, que cette génération que vous conchiez était issue de deux guerres. Lors de vos déplacements dans les villages de France, allez-donc jeter un oeil aux monuments "Morts pour la Patrie". Vous y verrez le sacrifice de familles entières, pères, oncles, frères, cousins. Le nom des femmes n’y figure pas. Ce sont des morts discrètes, aux champs comme à l’usine. Les plus petits ont succombé à la malnutrition, au manque d’hygiène, au manque de tout. Les plus vieux étaient déjà morts. La guerre une fois finie, les survivants se sont trouvé des raisons de vivre. Leur bonheur d’exister est palpable dans toutes les photographies de l’époque. J’en ai une pleine valise à la maison. Alors, pauvre vieux jeune con, à part vous traiter de crétin, je ne sais quoi vous dire. Je ne vous salue pas.

       
    • #2580968
      Le Octobre 2020 à 19:44 par réponse salée
      En bref

      Ouais, et alors ?

      Mes grands-parents ont connus cette période là. Maus vous savez quoi ? Ils avaient de l’espoir, et ils sont sûrs que leurs enfants ont eu une meilleure vie qu’eux. Et ils sont très heureux d’avoir vécu comme ils ont vécu.

      Mes parents ne peuvent pas dire la même chose et le regrette, et mes grands-parents ne peuvent que s’agacer de ce qu’est devenu le pays et l’avenir qui a été proposé à ma génération..

      Alors, c’est sûr que si votre seul problème c’est le pouvoir d’achat, bah bravo à vous, vous êtes de bons français rien à dire. Mais il y a des gens qui préfèrent offrir de l’espoir et une vie meilleure à leurs enfants, plutôt que de chialer pour un ou deux points de TVA ( comme si c’était ça la politique ...)

      Par contre, rougette, la malnutrition je connais, alors ton discours du rationnement tu te le gardes. C’est plus la France des années 1980 ici, il y a des gens qui bouffent de la pâté pour chien pour survivre, t’es au courant de ça ? Il y a une famille de braves près de chez moi, ils ont même pas de carrelage et leur meuble en bois sont sur cale pour pas que ça pourrisse. Des types qui ont trente piges et qui ont surtout connu le chômage ou l’intérim alors que c’est loin d’être des branleurs. Et je parle d’intérim de merde ou tu te pètes le dos, pas jean-paysan qui travaillait un mois sur deux ...
      Tout le monde a pas la chance de vivre dans des grandes villes avec des héritages bien gros et un avenir gentiment tout tracé par l’époque ou par papa.
      Alors votre pleurniche à deux balles, vous vous la gardez. Si on pouvait échanger nos époques, je le ferais volontiers. Quand à la guerre, sur ce point vous avez raison, mais ça n’enlève rien à l’époque de maintenant ni à celle des années 1950 dont la dureté est souvent fantasmée (et le grand-père était bucheron, la grand-mère couturière, et c’est les premiers à le dire, parce qu’ls habitent chez moi en fait, comme dans les vrais familles françaises ...).

      Et j’arrête là, car j’ai pas les autres conneries en tête. Vous vous êtes bien repus sur nos gueules, notamment en créant une dette abyssale et en refusant de défendre l’identité de votre pays.

      Ah, et je m’en tape que tu me salues ou pas, que tu tire ton chapeau ou pas. Vraiment, je m’en branle. On est plus en 1960 ...

       
    • #2580986
      Le Octobre 2020 à 19:54 par réponse salée 2
      En bref

      "Les djeuns d’aujourd’hui, vous n’auriez vraiment pas aimé le manque de confort !"

      Bah, disons que je vis déjà dans ce manque de confort auquel s’ajoute la frustration d’être moins lotis que les autres. Donc double peine en fait.
      Tu seras gentil de pas catégoriser tous les jeunes avec ceux que tu connais. J’ai pas de GPS dans ma voiture, mais une carte et les panneaux, ça suffit. J’ai vécu sans internet pendant une bonne partie de mon adolescence (on s’en foutait en fait) et ça changeait rien. Pareil pour les jeux vidéos, ça a pas aboli le sport collectif à ce que je sache ? Et le porno, je te laisse avec tes délires ais tous les jeunes ne se branlent pas une fois par jour, désolé de te l’apprendre, on est pas des singes ... (enfin, pas tous, il y a des spécimens dans ma génération, même plus qu’avant, c’est possible)

      Donc le délire sur les "djeunes" mollo, on a pas gardé les vaches ensemble. Mais au moins, t’argumentes, au lieu de monter sur tes grands chevaux comme plusieurs vieux à qui je dis ça ( comme si c’était un blasphème ou que je les insultais eux directement).

      Et je fini pour rougette, sur les monuments aux morts, j’y ai mes quatre arrières grands-parents (dont l’un à juste eu le temps d’avoir deux filles) et toi ? Tu peux en dire autant ?
      Et d’ailleurs, malgré leur sacrifice, ça n’enlève rien au reste, ça ne change rien à la vie que j’ai maintenant en fait. Un sacrifice héroïque qui change rien, bah ça change rien, fallait peut-être pas le faire en fait ...

       
    • #2581369
      Le Octobre 2020 à 09:34 par Bertrand Dudéclin
      En bref

      Tu as raison, c’est cette génération qui à veauté Pompidou, puis Giscard, puis Mitterrand, puis Chirac, puis Sarkozy, puis Hollande et maintenant Macron ! Cette générations qui a accueilli des millions d’immigrés les bras ouverts ! Cette génération qui nous laisse ce merdier ! 50 ans de conneries et d’insouciance !

       
  • #2580989
    Le 30 octobre 2020 à 19:55 par Jérômeproudhon
    En bref

    Tu te déconnecte, tu crois à ton ancien dieu, et avec un petit peu de courage, et d’envie ,tu pourras changer les choses comme toutes les générations ont fait avec leur problème, et rien ne t’inderdit d’aller à la pêche ? De pique-niquer au bord des champs, de nettoyer les eaux, de conter fleurette, et par effet, mettre à fin l’homo economicus que tu n’aimes pas être.

     

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  • #2581055
    Le 30 octobre 2020 à 21:00 par Anonyme
    En bref

    Même la camionnette de police était mignonne dans les années 50 ...

     

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  • #2581553
    Le 31 octobre 2020 à 13:38 par SamTitiyé
    En bref

    Il est inutile de rêver du paradis perdu des années 50. Ce qui est fait est fait, et d’ailleurs les gamins qui gambadent sur les photos ont enfantés l’effondrement sous le regard hagard de leur parents qui n’ont su prévenir le mal qui se produisait sous leur yeux.
    Si on discute avec les gens de ces générations, on constate que l’insouciance (malgré les conditions de vie pénibles) est le sentiment qui ressort de leur discours. Après la guerre on avait envie d’oublier, préférant déléguer sa pensée alors que les changements importants se faisaient (Indochine, Algérie, c’est bien l’ambiance des années 50). Sans compter l’immigration intra-Européenne (loin de de ce que souhaitait le général). Sauf qu’à force de pousser la poussière sous le tapis, le tapis devient inconfortable.
    Tâchons de plancher sur un avenir proche plus radieux, visons une étoile, plutôt que nourrir notre mal-être qui nous paralyse. Le Christ nous dit d’annoncer la bonne nouvelle pas de pleurer sur nos maux. Ras le bol du spleen.

     

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