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Fake News Awards : quenelle mondiale de Trump à la presse mainstream

Un président qui a de l’humour, et des résultats. Ce sont ses deux armes contre la presse mainstream de la côte Est – relayée complaisamment et aveuglément par le reste de la presse occidentale – et le divertissement de la côte Ouest, qui tapent sur le 45e président des États-Unis sans repos depuis sa nomination (et même avant, quand il a commencé à représenter un danger pour l’establishment).

 

Trump a été élu sans la presse, contre la presse même. Au tarot, il y a la garde, la garde sans, et la garde contre. Trump a raflé la mise en laissant son chien à l’adversaire, et en le battant à plate couture. Il a fait son contrat : les usines commencent à se rapatrier aux USA, la Bourse est au plus haut (Wall Street lui crache moins à la gueule), l’emploi ouvrier remonte (l’Américain de base gagne plus) et la cherry sur le cake, la firme Apple vient d’annoncer qu’elle allait payer ses 38 milliards de dollars d’impôts sur ses profits faits à l’étranger... à la maison ! Trump se félicite de cette honnêteté soudaine des boss de l’entreprise la plus riche du monde. Mais il a dû bien les travailler au corps auparavant, comme on connaît le bonhomme.

« La réforme offre aux entreprises américaines la possibilité de pouvoir rapatrier les bénéfices réalisés à l’étranger à des taux variant entre 8% et 15,5%. Cette fenêtre, limitée dans le temps, s’applique en réalité même si les bénéfices ne sont pas rapatriés.

Le groupe, première capitalisation boursière mondiale, a aussi affirmé qu’il contribuerait "directement à l’économie américaine" à hauteur de plus de 350 milliards de dollars dans les cinq années qui viennent, au travers notamment de 20 000 créations d’emploi ou d’investissements auprès de ses fournisseurs et sous-traitants aux États-Unis. » (Source : quebec.huffingtonpost.ca)

La presse et le peuple, ça fait deux

Mais revenons à la quenelle trumpienne : le président a donc organisé un Fake News Awards sur le modèle des Razzie Awards, la parodie des Oscars du cinéma. Des Américains avec de l’humour y récompensent les films les plus cons, les acteurs les plus tartes, les réalisateurs les plus soumis. Le même principe a été appliqué à la presse dominante qui n’a cessé d’attaquer le président, et pas toujours au-dessus de la ceinture.

Si les attaques n’avaient été que politiques – ce qui est légitime – et sourcées, il n’y aurait rien eu à redire. Mais la presse US est tombée si bas dans son combat contre le Monstre, le Fou, le Menteur, le Violeur, le Hitler, qu’elle s’est elle-même dangereusement rabaissée. Tout ça parce que ce 4e pouvoir avait choisi son candidat, sa candidate : Hillary Clinton. Qui fera une campagne tellement mauvaise qu’elle perdra le titre qui lui était promis, préparé, réservé. Elle ne sera pas la première reine de l’Amérique. La presse ne pardonnera jamais à Trump son hold-up et son pied-de-nez, pour ne pas dire son doigt d’honneur à l’ensemble médiatico-politique.

 

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Au lieu de travailler au succès de l’Amérique, Donald regarde des dessins animés débiles en boucle à la télé (et des films porno)

 

En attaquant Trump du matin au soir, la presse mainstream – soit le New York Times et ses canetons – a attaqué le peuple américain qui avait voté Trump. Erreur fondamentale, qui explique entre autres l’accélération de la défiance vis-à-vis de cette même presse et la montée de l’information par les réseaux sociaux. La campagne actuelle des GAFA contre la liberté d’expression sur l’Internet fait partie du plan de vengeance du pouvoir profond à l’encontre d’un peuple américain qui a mal voté. Twitter, le canal historique de Donald, a fait trop de mal à Hillary, doit être expurgé de ses éléments diaboliques. L’opération de nettoyage est en cours mais, au final, ça ne changera rien : une majorité d’Américains ne croit plus à la bonté du Système, et la chose est identique en France. Sauf qu’ici, on a peur de voter pour un candidat populiste qui réunirait la droite et la gauche, un hybride Marine-Mélenchon. Mélenchine ? Marenchon ? Soyons patients, ce candidat viendra.

Bref, Trump a donc révélé les vainqueurs des FNA (les FN Awards) malgré un petit sabotage (ou un problème de surdose du serveur) du site qui annonçait les résultats. C’est d’ailleurs sur ce bug que le Huffington Post français préfère communiquer, cela va de soi. Quand on a tout misé sur Hillary et qu’on se retrouve avec Donald, on peut l’avoir mauvaise.

CNN a obtenu 4 FNA, le NYT 2, le reste des récompenses se partageant entre ABC News, Time, le Washington Post et Newsweek. La bonne grosse daube mainstream donneuse de leçons ! Mais la vedette de la cérémonie reste l’inégalable « économiste » Paul Krugman qui a publié dans le NYT un article qui expliquait que « l’économie américaine ne se remettra jamais de l’élection de Trump ». Le plus étonnant, dans cette contre-attaque aussi drôle que juste, c’est qu’au moment où l’heure de la cérémonie approchait (le 17 janvier 2018), le sénateur républicain Jeff Flake a comparé Trump à Staline pour... ses attaques contre la presse ! Un joli cas d’inversion accusatoire dont on connaît les inventeurs...

Jeff rappelle que Trump a qualifié la presse d’« ennemi du peuple » en 2017 et que ce sont les mots « tristement célèbres » de Staline « pour décrire ses ennemis ».

 

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Trump, le président anti-Blancs, fait le signe des Black Panthers !

 

En conclusion de cette soirée, pour revenir dans le sérieux, le site des FNA a publié les 10 réalisations clés de la présidence Trump, qui vient de souffler un an d’administration. En voici les principales :

Pendant que les médias consacraient 90 % de leur temps à une couverture négative ou à des fake news, le président a obtenu les résultats suivants :

- L’économie a créé 2 millions d’emplois et généré 8 milliards de dollars de richesses depuis la nouvelle présidence
- Les Afro-Américains et les Hispaniques se félicitent du plus bas taux de chômage mesuré dans l’histoire
- Le président a réalisé la plus grande baisse d’impôts pour les Américains qui travaillent dur depuis le président Reagan
- L’État islamique est en perdition, écrasé en Irak et en Syrie.

Bon, sur la dernière, y a quand même une petite fake news que la presse mainstream ne relèvera pas, pour cause de patriotisme surévalué : ce sont les Russes qui ont fait le boulot. Merci à Poutine... le fils de Staline !

Trump contre l’État profond et ses réseaux,
lire chez Kontre Kulture :

 

Comment Trump a retourné les fake news contre l’envoyeur, sur E&R :

 






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