Pour qu’E. Macron rappelle, sur le mode infantile " c’est celui qui dit qui y est ", soit : " je suis président de la république française c’est moi qui sait " !... c’est qu’il s’en sent obligé...
Parce qu’il essaie de s’émanciper en parlant d’" Etat Profond ", en tentant de se rapprocher de la Russie (acceptation du Nord Stream II), en limitant le nombre de courbettes à Israël, en donnant des petits gages "patriotiques" deçi delà, etc...).
Son Maître (de la City), lui, par ses provocations humiliantes*, lui fait comprendre que c’est lui le patron de l’entière terre de Sion, celle que son sayan, par trop narcissique, ambitieux et rebelle à son goût, foule à l’instant, en oubliant les fondamentaux...
Car, pour "BouclierRouge ", l’église Sainte-Anne de Jérusalem est, certes en droit, à la France, mais comme la France est à sa botte depuis 250 ans...
Somme toute, cette scène, si elle n’est pas un théatre Kabuki de plus, a quand même le mérite de montrer qu’EM se démène pour faire montre d’autorité : gros efforts (pour lui), mais bien trop peu significatifs pour le bénéfice du peuple.
Nul doute que le Président Macron en a profité pour tenter de requinquer son égo, " laver son déshonneur " serait une formule un peu excessive..., après l’humiliation au Dîner du CRIF, où FK l’"incita fortement" à lever son bras... heil ! :-)
Gageons qu’en pansant de la sorte quelques-unes de ses blessures égotistes, EM gagne en confiance et en courage pour se montrer bien plus audacieux ! ; à commencer par un FREXIT, à donner la parole au peuple, à reprendre la médaille attribuée au représentant de BlackRock France ! etc...
Quant à son Maître, lui il continuera toujours d’ourdir toutes les humiliations, les rapetissements et muselages possibles à l’encontre des sayans, qu’il propulse en tant que purs Golems de son Système, notamment ceux qui composent l’Exécutif "national", lesquels ne doivent pas désobéir et encore moins regimber !
Bonne nouvelle, "quand même" ! cette réaffirmation de souveraineté (personnelle ?)médiatique pourrait être considérée, avec d’autres, comme autant de petits signes d’insubordination...
Le peuple ne boudera pas ce plaisir ténu, ces "non-insignifiances", ces "signaux faibles", d’un coquelet républicain aux velléités de "quelque chose"... tout en souhaitait des actes transformés en des décisions bien plus substantives...
Ah ah ah ! BiBi en tremble ! (qui sait en ces temps de mutation multipolaire ?...).