Ce que lâchent les Français en colère sur les réseaux sociaux ne sont que des mots...

...pour l’instant...

Il suffira d’un rien pour que la colère populaire légitime se déchaîne en une violence également légitime contre les responsables coupables de cette situation de "crise grave" selon leur formule.

...le pays est bloqué, et il va se débloquer naturellement, tout seul, par le bas...

Comme le répètent les chaînes d’info : "la peur doit changer de camp".

Ceux qui ont lâchement accepté d’être confinés, contrôlés, rackettés par la police pour une "attestation de sortie" non conforme ou une absence de port du masque, auront l’occasion de retrouver leur dignité perdue.

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C’est dans les petits détails qu’on voit l’avenir, par exemple F Asselineau qui auparavant terminait toujours ses conférence par :
Vive l’UPR, vive la République, vive la France ...
Conclus maintenant (depuis quelques moi pour être honnête) par :
Vive l’UPR, vive la France ...
(Exite la "Raipoublique" !!!)

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Article excellent. Selon l’ultra sioniste Valls, dont l’allégeance à Israël confine à la traîtrise, “le judaïsme est l’âme de notre pays !” En réalité, c’est le poison qui sape les fondements de la France depuis 1789 ; ou du moins, depuis que les juifs , forts de la citoyenneté française octroyée par Napoléon, œuvrent dans l’ombre contre la Nation, privilégiant les intérêts de la banque contre ceux de l’ensemble du peuple de France. Ces génocidaires nomades , murés dans leur haine des palestiniens enracinés, devraient tous ,une fois pour toutes , faire leur Alya, au lieu de rappliquer en pleurnichant à peine les missiles Iraniens commençaient-ils à percer leur dôme de fer de pacotille ! Ce sont les arabes qui ont construit leur pays à ces psychopathes versés dans l’exploitation de l’homme dès leur enfance.

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« néolibéralisme sarko-attalien, terrorisme sous faux drapeau dirigé contre le bas, inflation galopante et stagnation des salaires, censure et culpabilisation médiatiques, destruction vicieuse des services publics, fausse pandémie mais vraie répression sanitaire... »

Et, dernièrement, abattages en masse des volailles et des vaches au prétexte qu’un seul spécimen « aurait » contracté une maladie (pas de contre-expertise ni moyen d’avoir les résultats), en fait : volonté à peine dissimulée de détruire tout l’élevage français pour obliger l’importation de viandes étrangères (Ukraine...)... et que ce soit nous qui tombions malades !

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C’est désolant de voir , d’entendre tous ces idiots qui se plantent sans cesse . l’immigration , le climat , la russophobie , la préférence des " élus " etc ..... Un vrai tableau de chasse de toute les horreurs . La constante c’est vrai est que c’est toujours de l’anti-France .

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La république est tellement pourrie que l’on ne peut que dire " vivement le grand monarque ! "

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Les ministres millionnaires : effectivement, il y en a, mais pas tous.
D’autre part, il est clairement dit qu’il s’agit d’héritage ou d’activités antérieures.
Le vrai problème ce sont ceux qui deviennent millionnaires lors de ou juste après leur mandat, il y a probablement un lien anormal dans ce cas.

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Aujourd’hui je rigole délicieusement, franchement, nous savons tous ici la mécanique de la dette notamment celle des Subprimes qui nous a plongé dans cette situation toutefois il faut reconnaître deux moments historiques à François Bayrou :
1) les commentaires de ses Podcast, un grand moment drôle qui a montré l’esprit frondeur de certains français encore très vivants ;
2) puis, foutu pour foutu, lâché dans les sondages également par les boomies castors (sûrement les modestes et donc empathiques politisés), Bayrou les pointe du doigt et leur confort.
C’est jouissif, car après avoir été dans le camp du bien, des bienpensants qui ont veauté pour cette alternance bidon, les voilà désormais mis à l’index.
Dans leur lâcheté et leur faiblesse morale, il n’est pas sûr que certains ne craquent pas définitivement leur couche culotte.
Ils ont tout veauté malgré les saloperies pendant 40 ans : l’innoculation des gamins, l’arrêt de leurs études, en fermant les yeux, en se bouchant les oreilles sur l’horreur... la maltraintance de leurs enfants salariés... donc c’est bien fait pour eux, ils l’ont bien cherché : avachis, hypocrites, de mauvaise foi et ne pensant qu’à leur gueule, c’est vraiment bien fait pour eux : actuellement je les regarde dans leur désarroi :
"ben oui, François Bayrou a raison, vous êtes les responsables de cette situation catastrophique, d’ailleurs c’est dit à la télé, donc vrai.".
Bayrou veut les plumer, eux qui pensaient passer entre les gouttes tout en continuant de jouir : c’est cette lâcheté qui a fait que l’oligarchie mondialiste nous a réservé cette stratégie du choc, parce que "ça passe !" comme avouait Édouard Philippe du Bilderger et oui, grâce à eux, tout est passé.
Certains hommes politiques sont toujours intéressants à leur toute dernière fin de carrière : Bayrou m’a plu, je dois l’écrire ici et imaginez, notamment avec l’affaire Bétharram, ce qu’il a consenti à faire, à trahir ... pour arriver à ce poste pendant 6 mois, c’est impressionnant.
Ce n’est pas du diviser pour régner car ce système est cuit, avec la réconfiguration mondiale, il est en train de muter.

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Même le Pape pousse "sa guelante" c’est dire :

Le pape Léon XIV dénonce la laïcité française : les chrétiens doivent affirmer leur foi face à celle-ci.
" Il n’y a pas d’un côté le décideur public, de l’autre le fidèle. C’est la même personne qui agit sous le regard divin, en assumant ses devoirs avec une éthique chrétienne, a-t-il martelé."
Le Pape n’a pas épargné les défis : dans des sociétés où le Christ est relégué aux marges, ridiculisé ou ignoré, défendre des valeurs évangéliques sans leur fondement spirituel, c’est comme construire un château de sable. Il a appelé à un renouvellement profond des institutions, des lois et des normes sociales, en s’appuyant sur la doctrine sociale de l’Église – compatible, dit-il, avec la nature humaine et reconnaissable même par les non-croyants.

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La 5eme république n’est pas une république. C’est juste une institution où tous les pouvoirs sont concentrés dans les mains d’un seul gus propulsé au pouvoir grâce aux médias.
Au moins au temps de la monarchie le pouvoir était partagé entre la noblesse et le clergé.

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