Egalité et Réconciliation
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La droite française, majoritaire mais éclatée, est-elle vouée à perdre ?

Pour répondre à cette question, nous laisserons la parole à Patrick Buisson, expert en politique et grand connaisseur des droites, et à Matthieu Croissandeau, qui s’est fait virer de L’Obs pour atterrir chez BFM TV. Le premier en appelle à l’union des droites, le second commente un grand questionnaire du Cevipof sur les droites...

 

 

 

 

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40 Commentaires

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  • #2892386

    marine et zemmour ne sont pas de droite, ils sont républicains.

     

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  • #2892402
    Le 25 janvier 2022 à 13:34 par Palestinelivesmatter
    La droite française, majoritaire mais éclatée, est-elle vouée à perdre (...)

    La droite est une usine à perdre car la classe bourgeoise est sur le sociétal et la classe populaire sur le social.Le social l’emportera toujours sur le sociétal alors forcément au deuxième tour la gauche ramasse la mise...sans forcer.
    L’échec du nationalisme Français est lui aussi pour les memes raisons :
    Les cadres nationalistes sont recrutés souvent chez les traditionnalistes(une ruche) mais la base militante est ouvrière.Le petit peuple n’accroche pas un programme loin de ses exigences immédiates et ne fait que passer, la déception étant rapide. Le résultat est une multitude de paroisse avec de jolie plume(on écrit beaucoup) mais sans base militante car inaudible.
    Le national catholicisme des cadres est incompatible avec une base jeune qui écoute du Boris le Lay sur Démocratie Participative.
    La droite bourgeoise vit en vase clos. Ses Frigos sont plein.Jamais elle ne fera son autocritique.

     

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    • Le public de Boris Le Lay est marginal, sa moyenne d’âge doit être autour de 40 ans si on en croit son forum, et il ne respire pas franchement la santé mentale.

      En fait il ressemble beaucoup à celui de l’alt-right américaine, et Dieu sait l’échec que ça a été. Rien de sérieux n’a jamais été construit en réunissant des autistes bizarres qui pètent les plombs comme des adolescentes bipolaires dès qu’un truc ne leurs plaît pas.

      C’est pourquoi tout les gens sérieux chez les conservateurs et les nationalistes blancs américains sont détournés de ces gens là il y’a un moment déjà. Il n’y a pas de raison pour faire le contraire en France, sauf à se complaire dans l’échec.

      Quant à la soit disant incompatibilité entre la bourgeoisie et les classes populaires de droite, je pense que vous ne savez pas de quoi vous parlez, la rancœur n’aide pas à être lucide.

       
    • @john titor

      "le public de Boris le lay ne respire pas la santé mentale".

      Ah bon ? Pourquoi ça ? Des preuves ? Des faits ?
      Il me semble pourtant que Boris le lay est une personne très intéressante et intelligente. Je ne crois pas qu’il soit écouté par des "cerveaux malades" pour paraphraser machin.
      À ce moment là les détracteurs de E. R disent la même chose que vous.
      N’importe quoi.

       
    • @Jo-1515

      Trop compliqué de lire mon comm ? Sinon vous pouvez aller discuter avec son public, en esperant qu’ils ne soient pas trop occupé à se traiter mutuellement de juif et de bougnoule, à débattre qui est le plus blanc d’entre eux ou à se branler sur Odin. Si pour vous c’est normal, je peux comprendre votre incompréhension.

      Ca fait un baille que le lay ne dit plus grand chose d’interessant, son combat politique est devenu de l’aboiement à rallonge. Quand on finit par tomber dans l’autodestruction nihiliste il est logique que l’on ne soit plus écouté que par des autistes.

       
  • #2892420

    A quoi bon, tous sont de la banque et les élections sont truquées depuis toujours.

     

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  • #2892437

    les Français ont été gaullo-communistes jusqu’en 1969 et tout se passait bien pour eux : plein-emploi, ascenseur social, bons salaires immobilier pas cher et très peu d’ immigration. Ils ont viré le Vieux en 69 (avec l’aide de Qui vous savez..) Vieux qui ne leur voulait aucun mal, bien au contraire...et ils ont donné les clés du camion à un fondé de pouvoir de la banque R...Et depuis quelle dégringolade !! Ce pays n’a aucun avenir, les jeunes l’ont bien compris, et c’est pas les excités de Génération Z, petits bourgeois du 92 et 78 qui changeront quoi que ce soit..La France a besoin d’un patriote à la barre, d’un gaullo-socialiste qui remette le pays à l’endroit, sinon c’est mort, il n’y a plus qu’à faire ses valises.

     

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  • Pecresse et Marine de droite ? Alors certains ne parlent pas la même langue. Bourbon a bien résumé ce qu’est la droite : défense de la religion, de la patrie et de la famille. Avec ça, je ne vois pas de candidat de droite. Ni beaucoup d’électeurs de droite, lecteurs ou auditeurs de la grosse presse,

     

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  • déjà : Droite # gauche

    Or la gauche c’est l’Horreur ! : colonisation ( Jules ferry , Léon Blum ,dixit races supérieures ...) , la 1ère guerre mondiale , la 2eme , la collaboration , les guerres Irak ... et aujourd’hui le covid.

    les socialistes , les idéologues .... C un cauchemar quand ils sont au pouvoir !

     

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  • Les anglo-saxons parlent de progressistes et de conservateurs. Les progressistes vont avancer l’agenda réformiste voir révolutionnaire et les conservateurs consolident les changements le temps que ça prenne. D’ailleurs aucune des réformes initiées par la gauche depuis son retour aux affaires en 81 n’ont été remises en cause par la droite et l’argument massue avancée était toujours le mêmes : on ne revient sur des acquis sociaux. Depuis la révolution Française, la droite est la voiture-balai de la gauche et les droitards les éternels cocus d’un système faussement bipartisan.

     

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    • La réaction n’est pas mieux que le conservatisme. Revenir en arrière pour quoi ? Comme si tout ce qui était avant était forcément mieux. C’était surtout mieux pour les catégories sociales, qui de la société d’avant, seraient les élites économiques et culturelles.

      Le problème de la gauche ce n’est pas le progrès, le problème de la gauche c’est le progrès au service d’une pensée sans norme : qui rejette toute hiérarchie morale ou esthétique. Et encore, il faut prendre garde à bien distinguer le progressisme réellement de gauche, et a minima révolutionnaire, du progressisme libéral-libertaire qui se sert du progrès des mœurs comme d’un moyen de renforcer la société mondiale capitaliste.

       
  • #2892735

    En France, il y a deux partis de gauche dont l’un s’appelle la droite.....

     

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    • Tu ne penses pas qu’avec près de 10 millions de pauvres au compteur et le reste en voie de paupérisation, le bradage des services publics dans des privatisations antisociales et antinationales, l’explosion des inégalités, la perpétuation des grandes fortunes par l’héritage... ce ne serait pas plutôt le contraire ?!

       
    • #2893047

      L’actuelle "droite républicaine" est l’héritière des républicains modérés du début de la IIIème République.
      Les Thiers, Ferry, Grévy, Casimir Perrier et autres Félix Faure sont donc les ancètres de l’UMP ou de LR. Or, sous la IIIème République, "être de gauche" signifiait "être républicain".....il est ainsi étonnant de classer "à gauche" le triste Adolphe Thiers, égorgeur des communards....

      Cette ambiguité a perduré et en 1920, les "Républicains de gauche" étaient en fait un groupe parlementaire de députés appartenant à la droite modérée....Sous la IVème République, la principale coalition électorale de centre droit se nommait RGR, ce qui signifiait : Rassemblement des gauches républicaines"....

      Sous la Vème République, jusqu’au milieu des années 80, un groupe du Sénat intitulé "Gauche Démocratique" regroupait en réalité de nombreux giscardiens et centristes...

       
    • @ Ramon Mercader

      Vous confondez les époques à savoir ce que signifiait être de droite au XIX siècle et au suivant : c’est justement parce que les lignes idéologiques ont bougé que - comme vous dîtes - la gauche républicaine du XIX est effectivement "l’ancêtre" sous certains aspects de la droite actuelle. Au XIX siècle, est de droite le monarchiste, est de gauche le républicain, ce qui signifie que la ligne de démarcation est la question institutionnelle. Après le ralliement de la "droite", c’est à dire des catholiques essentiellement monarchistes à la République et de l’émergence de l’Union soviétique, le clivage s’est déplacé sur la question économique et sociale puisqu’il n’y avait plus de contestations des institutions de la République (enfin plus au Parlement). Au XX siècle est de droite celui qui accepte les institutions du capitalisme et son modèle anthropologique : primat de l’individualisme, de la propriété privée sous toutes ses formes y compris et surtout lucrative, la Banque, l’argent, la thésaurisation, la rente sur la captation de la valeur ajoutée produite par les autres, du fait que chacun est responsable de sa vie et de ce qui lui arrive, au respect de l’autorité et de l’ordre établi aussi bien social que moral avec une sorte de rétivité systématique et viscérale à toute forme de changement. L’homme de gauche lui conteste généralement l’ensemble de ces institutions sociales ou valeurs morales et croit au primat du collectif sur l’individu, au changement par le progrès, à l’amélioration des conditions d’existence des plus nécessiteux par la restriction des appétits jouisseurs de quelques-uns, à la lutte (de classe pour les marxistes, politique et économique pour les autres), à l’entraide, au fait que les individus sont écrasés par un ordre social et moral voulus par une poignée dans leur seul intérêt propre... Et dans notre siècle, il semble bien que le clivage perdure tout en changeant une nouvelle fois de définition : ce sera les mondialistes de toutes tendances contre les patriotes de toutes tendances.

       
  • #2892822

    Le plus grand mystère des élections en France : Comment une majorité de sans-dent peut-elle installer au pouvoir un ex-banquier d’affaire qui va mettre en œuvre une politique au détriment de cette majorité de sans-dent ??? Comment peut-on voter contre ses intérêts de classe ??? C’est pour moi le plus grand des mystères !

     

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    • La réponse est triple :
      - Les sans-dent ne sont pas (encore) majoritaires, le Système est structuré sur la base d’une clientèle électorale constituée de bourgeois de centre-ville et d’émigrés de quartiers, les deux vivant directement ou indirectement au crochet de l’Etat et de ses largesses fiscales et redistributrices
      - Les sans-dents ne votent plus car tout est fait pour les décourager d’aller voter à commencer par l’offre politique sous contrôle du Système et bien évidemment le niveau du débat politique ou seuls des sujets secondaires sont débatus. Ils ont réussi à rétablir une forme de suffrage censitaire par le contrôle des candidats et des narratifs
      - Les dans-dents sont inaptes au combat politique, incapables de s’organiser et très facilement manipulables comme l’a démontré l’épisode des gilets jaunes largement orchestré en sous-main par le système politico-médiatique. Les "gilets jaunes" ont servi à faire peur aux bourgeois et aux émigrés dans un premier temps et à les ramener dans le camp macroniste dans un second temps lorsque Macron a traité les sans-dents à la grenade offensive
      Les sans-dent n’existent pas politiquement sauf à considérer les punching-ball et les épouvantails comme des catégories politiques.

       
  • #2893055

    J’ai relu plusieurs fois "Comprendre l’Empire", paru en 2012, eh oui 10 ans déjà.

    Le message d’Alain Soral était prémonitoire/visionnaire, et pourtant simple :
    C’est fini, il n’y a plus de Gauche et de Droite.
    Les deux sont finies ! La Gauche a trahi le peuple, la Droite a trahi la Nation.

    Le nouveau clivage : Les Globalistes contre les Nations.

    - les Globalistes = Gauche des valeurs, Droite du Pognon.
    - Nous chez ER : Gauche du Travail, Droite des valeurs.

    Alors chers amis ER-o-nautes, nous sommes tous nationaux-sociaux ou socio-nationaux ; gardez vos forces pour combattre ceux d’en-face !

     

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    • #2893452
      Le Janvier 2022 à 00:31 par Palestinelivesmatter
      La droite française, majoritaire mais éclatée, est-elle vouée à perdre (...)

      La seule erreur de A Soral dans "comprendre l’Empire" c’est le facteur racial.
      Mon Frère vit au Brésil et je sais par avance notre futur.
      La créolisation inévitable que je constate partout en France(métissage très important) entrainera un système de caste immonde ou ce sera mort aux pauvres comme première conséquence.
      Comme deuxieme conséquence sera l’impossibilité d’ascenseur social hors fonction publique d’état et le sport pour les plus modestes.
      Le nationalisme dans ces sociétés multiraciales et multiculturelles est bidon et peut etre particulierement violent en cas de crise économique, pour un rien, une frustration, un match de foot, un échec diplomatique, une élection bidon, la corruption,violence policière... entrainent des déchainements de violence périodique.La société est sous tension permanente.
      Globalement les pays à forte diversité ne peuvent etre gérés qu’avec des mains de fer.
      Alain Soral propose une solution honorable à la fin du livre mais à titre personnel j’estime que c’est déjà cuit.

       
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