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Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

Bien que je ne sois pas démocrate (a-t-on le droit en démocratie ?!) et encore moins un adepte du suffrage universel, il faut quand même faire une remarque : quand celui-ci est en place, la moindre des choses, c’est de le respecter… Que nenni ! Quand le peuple vote mal (Trump, Le Pen, récemment en Roumanie), on triche ou on annule carrément les élections ! Raison de plus pour ne pas être démocrate !

 

L’argument contre la « démocratie » se résume en quelques mots : le supérieur ne peut émaner de l’inférieur, parce que le « plus » ne peut pas sortir du « moins », cela est d’une rigueur mathématique absolue, contre laquelle rien ne peut prévaloir.

René Guénon, La Crise du monde moderne, 1927

Vous l’avez compris, le suffrage universel est une escroquerie, et cela bien avant l’invention du vote électronique et de la triche de masse. En effet, il peut être à double tranchant pour l’oligarchie (c’est toujours elle qui gouverne, en démocratie ou non) : utile et agréable quand l’opinion est assez manipulée ou quand une menace « fasciste » plane, comme pour la génération de nos parents ; en revanche, très désagréable quand le peuple se réveille ou quand il a trop souffert des bienfaits de la démocratie.
Aujourd’hui, nous sommes dans une impasse. Tous les partis son collabos et les foules sont manipulées.

Voici l’image de la dictature 2025 : l’Union européenne, ces dictateurs technocrates non élus (contrairement à Adolf Hitler !), cette UE qui nous emmène à la guerre, à la décadence, à la pauvreté, au métissage généralisé… Ils s’engraissent sur votre dos, à la vue de tous !

 

 

Mais évidemment, il ne faut point trop te radicaliser : c’est toi qui seras chassé, traqué, enfumé, embastillé. Tu peux chevaucher le tigre, militer sans déborder, ou carrément t’en foutre. Nos chers (con)citoyens ont plutôt opté pour cette troisième option. Certes, ils savent ou ont des doutes. Ce serait dur de ne pas en avoir, tant ça déborde de tous les côtés. Mais attention de ne pas virer complotiste. Néanmoins, comme me le rappelait dernièrement mon cher paternel, nous, nous sommes en démocratie, pas chez Poutine ou chez Assad ! Chez nous – la civilisation, les droits de l’homme, la démocratie, tout ça, tout ça – on peut crier son mécontentement, manifester, s’exprimer librement et de plus... il y a une réelle force d’opposition politique et médiatique ! Si, si… Que voulez-vous, 45 ans de télévision, ça détruit la capacité de raisonner d’un homme !

L’homme aurait mangé il y a des millénaires le fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal et ainsi aurait développé son libre arbitre. Puis est venue l’Église, qui lui dicta quoi penser et quoi faire sous peine d’hérésie, d’excommunication et d’enfer éternel. Ça filait droit. L’homme a ensuite retrouvé un peu son vrai libre abrite et a eu la bonne idée d’inventer la télévision. Diablerie ! Les vipères dirigent l’antenne, John Nada vite !

Et croyez-moi, déjà à l’époque, certains en avaient ras-le-bol !

Nous sommes ici, depuis toujours, des fascistes français. […] Nous voulons dire aujourd’hui que tout d’abord, nous ne sommes pas républicains. Quel que soit le gros numéro de la République qu’on nous propose. Non, nous ne voulons plus du parlementarisme. Nous ne voulons plus du contrôle absolu de l’élu par l’électeur. Du marchandage des voix. Des coalitions d’intérêts contre l’intérêt national. De l’irresponsabilité unie à la toute-puissance. Des comités. Des loges maçonniques. De la mystique de l’individu. Du bavardage. Du désordre. Du pillage de l’État. La République, c’est cela. C’est en vain que la République a encore de zélés défenseurs. C’est en vain qu’on invoque le Peuple souverain. Qu’on agite les épouvantails variés du militarisme, du cléricalisme et de la servitude. Nous ne sommes, nous, ni militaires, ni cléricaux, ni esclavagistes. Mais nous ne voulons pas revenir à la dictature du pouilleux, du franc-maçon, du Juif et de l’instituteur révolutionnaire, toutes choses que défendent encore avec ardeur tant de vénérés membres de la Ligue contre l’antisémitisme passés tout soudain à une conception « européenne » du monde.

« À bas la République ! », Je suis partout, 9 juin 1941

Qu’un régime qui, en vingt-cinq années, a dû, par deux fois, chercher un dernier moyen de survie dans de gigantesques bains de sang, en faisant régner, du même coup, les plus inhumaines tyrannies militaires et industrielles : que ce régime soit mort, qu’il ait eu pour fossoyeurs les dictateurs Roosevelt, Churchill, les négriers juifs ou judaïsant de Wall Street et de la City, qui oserait aujourd’hui le contester ? La démocratie n’est plus qu’un slogan publicitaire à l’usage de peuples ramollis, mûrs pour toutes les formes de servitude, et où tous les swings, prouvant sans le savoir la solidité des lois historiques, sont les derniers rejetons d’un monde finissant, comme les Incroyables furent ceux de l’Ancien Régime. La Liberté et l’Égalité sont défuntes, sans mériter un seul pleur, puisqu’ils ne furent jamais que des fantômes. Quel sera l’ordre autoritaire de demain ?

Lucien Rebatet, « L’espérance est fasciste », Je suis partout, 10 septembre 1943

Mais, camarade, ne pense surtout pas comme eux car on sait où tout cela mène : aux chambres à gaz. Je l’ai entendu à la télé. Rappelle-toi bien que la démocratie, la tolérance, la République, la conscience universelle, les droits de l’homme, ne te caresseront que si tu joues le jeu et que tu penses bien. Ne sors pas de l’humanité, ne pense pas mal, sinon la démocratie t’exterminera. (Je ne vais pas mettre d’exemples, la liste est bien trop longue... de Dresde à Kadhafi.)

Bonus : la démocratie en une image !

 

 

Arthur Sapaudia

 

Les Chroniques d’Arthur, sur E&R

 






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31 Commentaires

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  • #3524037
    Le 26 avril à 06:57 par Francois Desvignes
    Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

    Vous faites une confusion typiquement républicaine : c’’est l’Eglise qui a inventé le Libre arbitre.

    Ensuite, ce n’est pas René Guénon qui a inventé l’eau chaude, c’est le Christ.

    Lorsquil a confirmé à Ponce Pilate que puisque tout pouvoir venait d’en haut et qu’en haut il n’y a que Dieu " Ni toi ni César n’auraient aucun pouvoir que mon Père Qui est dans les cieux ne L’ait voulu ou permis".

    Si maintenant, vous voulez savoir si le gouverbement idéal existe ?

    Oui, c’est Saint Thomas d’aquin qui l’a défini comme suit :

    Sous l’obéissance à Dieu, le gouvernement idéal est celui où :

    - Le Roi juge et arbitre (Pouvoir judiciaire)
    - L’aristocratie gère et conseille (Pouvoir executif)
    - Le peuple vote les lois ’ Pouvoir législatif

    Le pouvoir doit donc, en plus d’être chrétien, être, à la fois, monarchique, aristocratique et démocratique pour être légitime.

    La République laique est donc l’archetype du pouvoir illégitime.
    Non parce que c’est une république.
    Mais parce qu’elle est laique, donc antichrétienne.
    Et donc tout sauf monarchique, aristocratique et démocratique.

     

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    • #3524239
      Le 26 avril à 15:50 par Liberal conservateur
      Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

      @ françois devigne

      "La République laique est donc l’archetype du pouvoir illégitime. Non parce que c’est une république. Mais parce qu’elle est laique, donc antichrétienne."

      Bien trouvé ! ... l’Occident devrait en effet renouer avec le thomisme (quelle que soit la forme institutionnelle), au lieu de chercher 1001 systèmes.

       
    • #3524259

      Donc tout pays non chrétien, gouverné par quelqu’un qui n’est pas arrivé au pouvoir par la force des armes et qui ne serait pas supérieur aux autres par le sang, est donc illégitime ? ça en fait des milliards d’humains qui ne savent pas ce qu’ils perdent :

      il y a trois monarchies "illégitimes" (non chrétiennes) en Afrique, 13 monarchies en Asie, qui n’ont pas non plus cette indispensable légitimité chrétienne. Pour couronner le tout (jeu de mot involontaire), on a en Europe une monarchie illégitime, puisque l’un des deux co-princes d’Andorre est Emmanuel Macron, dont certaines mauvaises langues disent qu’il n’a été ni élu au suffrage universel, ni au suffrage de droit divin.

      Il ne reste plus au fils Sarkozy qu’a se faire baptiser (par exemple par son père, Nicolas de Nagy-Bocsa, chanoine honoraire de la basilique Saint-Jean-de-Latran) et à se faire appeler Louis le XXIe, et on aura un vrai pouvoir légitime, que le monde entier nous enviera.

      Il y a deux sortes de monarchies, me semble t’il :

      - la monarchie absolue, ou le roi a tous les pouvoirs, ce qui semble un peu extrême pour des âmes simples élevées dans le mythe de la liberté et de l’égalité.

      - La monarchie constitutionelle, ou le roi n’a qu’un rôle symbolique, le véritable pouvoir étant exercé par un gouvernement élu, comme en "démocrassie".

      On ne serait donc pas si loin que ça de la solution finale au problème Français ?

      Mais QUI choisi le monarque absolu, et QUI choisi le roi dans la monarchie constitutionelle ?

      Encore une fois, on en revient au problème du QUI.

      Il va donc sans doute falloir nous contenter pour le moment d’un pouvoir illégitime, en attendant nous aussi que le Messie revienne mettre de l’ordre, c’est à dire désigner lui même le monarche de droit divin, le seul légitime.

      On n’est pas sorti de l’auberge, parce que contrairement à d’autres, on n’a pas la recette miracle pour faire venir le Messie.

       
    • #3524388
      Le 27 avril à 04:22 par anonyme
      Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

      Comme si un croyant avait du libre arbitre !

       
    • #3524390
      Le 27 avril à 04:25 par anonyme
      Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

      "Le pouvoir doit donc, en plus d’être chrétien, être, à la fois, monarchique, aristocratique et démocratique pour être légitime".
      Donc le pouvoir est "illégitime" dans 80% des pays du monde (en Inde, en Chine, en Asie et dans les pays du moyen-Orient) !

       
    • #3524593

      La laïcité est un concept chrétien. La fausse laïcité maçonnique ou antichrétienne est la punition des égarements fondamentaux du catholicisme romain.
      C’était soit Jeanne d’Arc soit le libéralisme anglais.

       
  • #3524059

    "A bas la République !"

    Nous sommes le 6 février 1934. La IIIème République née en 1870 et adoptée à une voix près est une république parlementaire. Ça a très bien fonctionné au début avec la petite bourgeoisie radicale, sinon franc-maçonne jusqu’en 1925 environ.

    Cette IIIème République a échoué ensuite a représenter la classe ouvrière. Elle s’est effondrée en 40 dans le sillage de la défaite.

    La IV République qui en est la continuité a été un succès économique et un échec politique marqué par l’instabilité chronique.

    Mais il a fallu attendre la Vème République pour que les 30 Glorieuses se transforment en progrès social basé sur la redistribution : 3ème semaine de congés payés, HLM, SMIG, puis SMIC, politique nataliste et sécurité sociale améliorée au fil des années.

    Cette République est à bout de souffle avec Macron pour l’incarner en trahissant la France. L’expression politique de cette République finissante se manifeste par le manque de majorité à l’AN. Elle est symbolisée par Bayrou, un centre où il ne se passe rien. Le "conclave" des retraites en dit long sur cette impuissance de notre République.

     

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    • #3524242

      « Bayrou, un centre où il ne se passe rien »

      Au contraire, avec Bétharram, il est au coeur des latrines du régime républicain qui a trop duré et duquel nous devrions maintenant nous intéresser à la partie loge, derrière le théâtre !

      Je suis sûr que c’est le bout de la pelote pour tout révéler et que le pays se réveille de cette imposture séculaire.

       
  • #3524083
    Le 26 avril à 08:29 par minuit !
    Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

    Il manque à cette description précise de l’ennemi intérieur, le volet pédocriminalité !
    Je pense que le grand-oeuvre républicain ne se fonde que sur des massacres, officiels et officieux, sus et non sus, visibles et occultes, de symboliques à sanguinolents.
    Les adeptes rompus à cette idéologie profonde antichrétienne doivent être blasés de tout ce sang et de tous ces cris, mais pour le Peuple tombé dans la torpeur, seul le dévoilement cru de cette réalité des sous-sols serait susceptible de l’en sortir ?

     

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  • #3524098

    Impossible d’avoir un plan d’ensemble cohérent de la situation, et pas d’idées ou de conclusions claires. La Grotte de Platon illustre parfaitement le théâtre d’ombres qui s’agite à portée d’entendement. Un méli-mélo inextricable qui fait bruit de fond. Un bric à brac de cancannages, avec de surprenants personnages qui surgissent la plupart du temps on ne sait d’où ; qui prétendent en saisir le sens et même y pouvoir mettre bon ordre. Pour laisser l’impression que l’on ne fait pas que subir, on est invité périodiquement à choisir l’un d’entre eux pour être représenté dans cet orchestre gigantesque, dont tous les instruments sont désaccordés, en se basant sur ce qui en parvient. La vase des mots recouvre le rocher des actes ; là-dessus circulent les crabes. Il y a bien sûr des points de détails éclairés par des certitudes mais, en gros, la seule conclusion est qu’inextricable, la situation est insoluble. Les massacres de masse eux-mêmes ne font que rebattre les cartes. Ingérable collectivement d’où que ce soit, reste l’existence individuelle pour exprimer le peu que cela laisse de liberté. C’est évidemment en effectuant des soustractions à ce capital, que les uns et les autres prétendent faire régner l’ordre. Le leur. Bon dimanche.

     

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  • #3524165
    Le 26 avril à 11:33 par Toutatis
    Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

    La démocratie et la république sont définies par les 17 articles de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.

    Ces 17 articles auraient du, car ils y suffisent, être la constitution de notre nation.

    En regardant sérieusement, nous n’avons donc été en république que de 1789 à 1792/93.

    Pas un seul de ces articles n’est mis en oeuvre aujourd’hui. Nous ne sommes donc pas en république, pas plus qu’en régime démocratique. Tous les affres liberticides et anti humains que nous vivons ne sont, par conséquent, imputables ni à la république ni à la démocratie.

    Ces deux systèmes, comme les autres d’ailleurs, n’ont de valeur que par la valeur des hommes qui les mettent en oeuvre. D’où mon affirmation qu’un bon roi est toujours préférable à un mauvais président et qu’un bon président est toujours préférable à un mauvais roi.

    Monter les systèmes les uns contre les autres est similaire à monter les classes sociales les unes contre les autres : gadgets pour maintenir en soumission.

    Toutatis

     

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    • #3524320

      Je partage parfaitement votre vision. Le problème de la France, n’est pas tant son système politique que la valeur des hommes qui sont à sa tête. La démocratie, ou la république, ou la monarchie, ou l’empire, quelque soit le système politique, n’ont de valeur que celle des hommes qui la dirige. Quel que soit le système politique, les intentions originelles de ceux qui l’ont crée, ou sa valeur intrinsèque, il devient néfaste au plus grand nombre dès lors que ses rouages sont confisqués par des hommes mauvais, qui placent leur intérêt particulier avant l’intérêt général.
      Pour être viable, une société doit être organisée pour que le plus grand nombre de personnes puisse bénéficier de ses bienfaits. Dès lors que les institutions de cette société sont dévoyées et deviennent un instrument de domination et de pillage au profit d’une minorité, ses jours sont comptés.
      Seul la création de plus value pour le plus grand nombre est pérenne ; le pillage ne peut être qu’entropique et destructeur.

      La république française a été capable, avec à sa tête un homme pour qui la grandeur de la France se confondait avec la sienne propre, de produire ce qui nous semble aujourd’hui un âge d’or, les "trente glorieuses", qui contrastent aujourd’hui avec les "quarante infâmes" de la république sous la domination des parasites mortifères qui la détruise.

      La monarchie constitutionelle à l’anglaise, dès lors qu’elle est contrôlée par ses même parasites, ne saurait produire une société viable sur le long terme, pas plus que la dictature du "prolétariat" sous le contrôle des mêmes parasites, n’a pu produire une société plus viable en U.R.S.S.
      Une théocratie de même, ne sera pas viable, même si elle se réclame d’inspiration divine, dès lors que ses rouages sont aux mains de parasites immoraux.

      Cette constatation faite, peu importe le système politique ; une idéologie se révèle être avant tout n’être guère plus qu’un clip publicitaire essayant de vendre des pantalons à une jambe au plus grand nombre, pour le profit de quelques parasites.

      C’est la malédiction du troupeau, de toujours vouloir faire confiance à un berger qui prétend que lui seul connait la prairie ou l’herbe est plus verte, et que pour en bénéficier, il faut le suivre lui plutôt qu’un autre. Cela marche aussi bien pour un gourou de secte, un arnaqueur marchand de pantalons à une jambe, un illuminé qui prétend que dieu lui a parlé en haut d’une montagne.

       
    • #3524394
      Le 27 avril à 04:33 par anonyme
      Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

      Les "trente glorieuses " pendant que l’abbé pierre sauvait les pauvres et les miséreux qui crevaient de froid....

       
    • #3524530
      Le 27 avril à 09:55 par Aymard de Chatres
      Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

      Il y en a 35 en vérité car elle fut complétée de 18 autres articles dont le dernier concerne l’inssurrection qui vient.

       
  • #3524199
    Le 26 avril à 13:28 par anonymous19
    Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

    On peut débattre des avantages et des inconvénients de la démocratie. Et de quelle démocratie parle-t-on ?
    On trouvera également des avantages et des inconvénients à d’autres systèmes politiques.
    La réalité est que les hommes ont de tout temps aimé et recherché le pouvoir. Quel que soit le système, il y aura toujours des hommes pour l’instrumentaliser.
    Même la religion qui prône la paix et l’harmonie, fut un moyen de domination.

    Quelle pourrait-être la solution ? Non pas un système magique, mais la limitation des pouvoirs délégués par les gouvernés aux gouvernants.

     

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  • #3524326

    La citation de René Guénon ne désigne pas l’erreur de la démocratie, mais l’erreur du sufrage universel.

     

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    • #3524819

      Le débat est ouvert.

      La démocratie libérale se définit comme la loi de la majorité et la protection des minorités. C’est une mathématique « tempérée ».

      Je rejoins cependant Guenon dans la mesure où la démocratie s’est inversée désormais avec la minorité qui exerce le pouvoir. L’épisode Gilets jaune en a été la réaction la plus manifeste de cette majorité sociale écrasée par la minorité sociétale.

      Quand Guenon parle du « haut » qui exerce l’autorité sur le « bas », il désigne celui qui a le pouvoir. Mais ça ne marche que si ce dernier tient son pouvoir du « bas », c’est à dire du peuple. C’est la légitimité du pouvoir.

      Le « haut » est incarné par Macron de nos jours. Inutile de vous dire qu’il n’exerce nullement l’autorité de la majorité des Français, mais l’autoritarisme d’une minorité assiégée !

       
  • #3524341

    De dégénérescence en dégénérescence...
    Ces citations sont si actuelles qu’elles mettent cruellement en évidence l’abîme dans lequel nous sommes. Le constat du siècle dernier était déjà catastrophique et celui d’aujourd’hui est sidérant. Quant à demain...
    Finalement, qu’est-ce qui est important, si nous savons que nous sommes dans un cycle descendant, irrémédiablement entraînés et que nous n’avons pas encore touché le fond ?
    Quand nous serons dépouillés de tout, si nous le sommes, seule subsistera cette lumière qui est en nous et qui est la Foi. Elle est un astre pour quelques-uns, pour certains une lampe qui rayonne, pour d’autres un éclat, un reflet, peut-être une clarté, mais toujours au moins une lueur qui ne nous déshumanisera jamais complètement pour peu que nous ayons des yeux pour voir.

     

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  • #3524484
    Le 27 avril à 08:34 par Boljemoï de boljemoï
    Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

    Le suffrage universel ? Quand dans une assemblée les 10 crétins l’emportent sur les 9 savants, je me dis que c’est une vaste escroquerie...

    Le nombre a rarement fait le juste ou le vrai.

     

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  • #3524720
    Le 27 avril à 20:24 par Rectificateur
    Les Chroniques d’Arthur : « À bas la République ! »

    Se souvenir que la démocratie a été mise de l’avant par une civilisation esclavagiste.

    Personne n’en parle, c’est pourtant capital.

     

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