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Les Nuits fauves au zoo de Munich

Le LGBTisme appliqué aux animaux

Le zoo de Munich (Allemagne) tente de montrer que l’homosexualité est fréquente et n’est pas une déviance ou une spécificité humaine. L’établissement propose ainsi, alors que la Gay Pride a lieu ce week-end dans la ville bavaroise, des visites guidées sur cette thématique.

 

« Les girafes sont bisexuelles. Dans certains groupes, 90 % des actes observés sont de nature homosexuelle », déclare Günter Strauss, biologiste et guide d’une visite consacrée à l’homosexualité qui s’arrête devant un enclos de girafes. Perchés sur des rochers quelques enclos plus loin, deux manchots mâles de Humboldt vivent en couple. Cette année, à défaut d’œuf, ils se sont emparés d’une pierre pour la couver. « Les manchots entretiennent des relations homosexuelles qui peuvent durer toute une vie, ce qui est très rare dans le monde animal », explique Günter Strauss.

[…]

Pour le zoo de Munich, lever le tabou sur les rapports homosexuels chez les animaux est une manière de promouvoir la tolérance chez les humains. « Nous voyons malheureusement qu’en Allemagne de plus en plus de personnes issues de la droite réactionnaire s’attaquent aux libertés des LGBTIQ », martèle le porte-parole du parc animalier Dennis Späth, en référence à l’abréviation de « Lesbien Gay Bisexuel Trans Intersexe Queer ». Le parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne, qui est entré au parlement allemand en 2017 et bavarois en 2018, s’est ainsi posé en parti de la famille dite traditionnelle et dénonce « la folie du genre », en référence aux études qui distinguent sexe et genre.

[…]

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110 Commentaires

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  • #2239446
    Le 15 juillet 2019 à 01:04 par question_pour_des_champions
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    quand la religion décrète l’homosexualité contre-nature, alors que c’est un comportement qu’on trouve dans la nature, et pas seulement dans les zoos, c’est à mettre au même niveau que le monde créé en 6 jours, le serpent qui parle ou la vierge qui enfante ?

     

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    • #2240177
      Le Juillet 2019 à 01:06 par tetar 1er
      Les Nuits fauves au zoo de Munich

      "Lorsqu’on peut imaginer avec minutie le visage d’un homme ou d’une femme, on se met inévitablement à ressentir de la pitié… à cause d’une qualité qui s’attache à l’image de Dieu… si l’on examine les petites rides au coin des yeux, la forme de la bouche, la naissance des cheveux, il est impossible de haïr. La haine n’est qu’une défaite de l’imagination".
      Graham GREENE, La Puissance et la Gloire

      Alors là je ferme les yeux et j’essaie de penser très fort à votre petite ride aux commissures ou à votre tendre petit lobe d’oreille. Juste pour ne pas avoir l’impression d’avoir affaire à une... larve..

       
    • #2240636
      Le Juillet 2019 à 18:27 par question_pour_des_champions
      Les Nuits fauves au zoo de Munich

      en fait, je posais la question par politesse. Je connaissais déjà la réponse.

       
  • #2239452
    Le 15 juillet 2019 à 01:25 par François
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Dans les annees 60-70 des éthologues parvenaient à "accoupler" deux mâles, rien qu’en pulvérisant des molécules olphaltiques de femelles en chaleur, sur des jeunes mâles puis lâcher les mâles en rut sur eux.

     

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  • #2239462
    Le 15 juillet 2019 à 01:48 par fajs
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Que l’on jette tous nos procureurs et leur femmes dans ce zoo !
    Et nous verrons, s’ils ce débrouillent mieux que St Blandine .
    Amen

     

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  • #2239469
    Le 15 juillet 2019 à 02:06 par Jobi Joba
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Ils ont fait pareil au zoo de Toronto en 2o11 avec des pauvres pingouins, c’est écoeurant.

     

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  • #2239473
    Le 15 juillet 2019 à 02:26 par héoui
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Satanisme en action.

     

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  • #2239479
    Le 15 juillet 2019 à 02:45 par Sedetiam
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Deux choses simples :

    - Primo, les animaux ne paradent pas au nom de leurs fiertés homosexuelles mais uniquement afin de pouvoir se reproduire en toute hétérosexualité quel que soit, au départ, le genre adopté pour parfaire.
    - Secundo et se trouvant être la règle immuable et unique dans cette continuité, ne survit, dans la nature, que ce qui est (plus) fort ET se reproduit. Les animaux ayant beau inventer des systèmes de « sociétés » au même titre que cet animal politique qu’est l’homme, ils n’en échappent pas moins à la règle : pire encore, n’ont-ils pas, en conscience et par eux-mêmes, accès à la GPA et autres astuces des Géo Trouvetou.

     

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  • #2239565
    Le 15 juillet 2019 à 09:44 par TOUCO
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Chez les mantes religieuses et chez certaines araignées, la femelle dévore son partenaire après l’accouplement. Cette pratique existant dans la nature, faut-il la tolérer ou même la prôner chez l’Homme ?

     

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    • #2239590
      Le Juillet 2019 à 10:36 par théorie du gendre
      Les Nuits fauves au zoo de Munich

      Oui, ça s’appelle le féminisme !

       
    • #2240022
      Le Juillet 2019 à 20:04 par Lucilie
      Les Nuits fauves au zoo de Munich

      Anecdote mante religieuse du soir :
      Lorsque la femelle mante s’est reproduit il lui faut énormément manger pour sa progéniture à venir, ainsi suite à l’accouplement elle dévore tout ce qu’elle trouve. Or cette pratique a surtout été observée en milieu artificiel (terrarium), donc le mâle y passait faute d’autres insectes. Ce sont donc les scientifiques qui ont tué grand nombre de mâles mantes, dans la nature chacun reprend sa route.
      Sinon perso, 80 kg de viande ça va me faire un peu beaucoup, et j’ai plutôt envie de sucré après l’amour ;)

       
  • #2239746
    Le 15 juillet 2019 à 13:57 par N.Fabre
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Un ami m’a fait la réflexion suivante :"Je n’ai rien contre les PD,ça nous fera plus de femmes". Cet argument m’aide de relativiser,légèrement ,la nocivité de la propagande LGBtiste.

     

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  • #2240105
    Le 15 juillet 2019 à 22:18 par Cocorico
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Ayant fait des études de biologie et m’intéressant depuis toujours à la Nature, je voulais commenter...mais là c’est tellement con !

    À côté d’eux, Goebbels passerait pour un misérable mais sympathique vendeur de saucisson en grande surface...

     

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  • #2240397
    Le 16 juillet 2019 à 13:14 par AirFire
    Les Nuits fauves au zoo de Munich

    Il serait bon que Kontre Kulture réedite le livre "L’homosexualité" de Charles Socarides. Ce psychanalyste et psychiatre y explique que l’homosexualité masculine et féminine sont une souffrance fixée aux premiers âges de l’enfance. Tant qu’on abordera pas la psychologie dans ce domaine, le refoulement, les problèmes d’identification et les projections, nous ne répondrons jamais à rien. La sociologie ne peut expliquer un développement de l’enfant bloqué. L’homosexuel homme cherche à incorporer la virilité à travers l’acte masochique annal. A travers l’oralité, il cherche inconsciemment le sein de sa mère par le pénis. Torturé entre le désir de se séparer de sa mère et sa haine de ne pas y arriver, qu’il doit refouler, il compense sa peur de la femme issue de sa mère par l’excitation pour les corps des hommes. Il donne aux hommes ce qu’il aurait voulu pour lui, tout en essayant vainement de leur prendre leur virilité. La cause est une mère invasive, incestuelle voire incestueuse et autoritaire, et un père soit faible et dominé soit distant, trop dur, ou froid. L’Oedipe ne peut se faire, c’est à dire que l’homosexuel attaché à sa mère de force est obligé de s’identifier à elle, et souffre de ne pas pouvoir vivre qui il est vraiment, un garçon et un furtur homme. Il va projeter cette rage et ce désir sur l’adoration des hommes, donc du père recherché pour le sortir de l’état fusionnel des premiers ages de la vie d’avec sa mère "dictatrice", qui se nourrit de ses frustrations avec son enfant en le rapprochant d’elle. L’homosexualité féminine, elle, est dans le même bain, la haine de la mère et de la femme est en fond, tout comme la haine d’absence du père, et cette fois c’est une recherche d’incorporation de la féminité par l’attirance pour les femmes et du père par le pendant masculin ou féminin choisi. L’enfant a besoin dans son développement et pour son identification sexuelle de sa mère et de son père. Mais d’une mère qui entourera mais qui saura lâcher son enfant par le biais d’un père structurant qui saura raisonner avec lui et pas lui foutre des roustes. Encore faut il que ça se passe bien entre les deux parents ! Beaucoup d’hommes ou de femmes sont des homosexuels latents car ils ont manqué dans leur enfance d’un père aimant, fort et structurant. Janov dans le cri primal, ajoute même que le donjuanisme cache une homosexualité latente puisque le Don Juan cherche sa virilité par la conquête féminine insatiable... au même titre que l’homosexuel déclaré.

     

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    • #2240852
      Le Juillet 2019 à 00:15 par judo
      Les Nuits fauves au zoo de Munich

      un tableau bien peu flatteur des mères, donc des femmes, que vous faites là. Et tellement vrai que la vraie question ne serait pas de savoir pourquoi l’homosexualité masculine existe, mais pourquoi l’hétérosexualité masculine existe !

       
    • #2240914
      Le Juillet 2019 à 08:39 par AirFire
      Les Nuits fauves au zoo de Munich

      Alors ce n’est pas moi qui fait ce tableau peu flatteur de CERTAINES femmes et mères, mais c’est Socarides après 30 ans d’étude clinique et de soins psychothérapeutiques avec des homosexuels. Homosexuels qui, une fois écoutés et acceptés leur problématique avec leur mère ET leur père, après avoir été autorisé à revivre leur agressivité vis à vis de leurs parents maltraitants au lieu de la retourner contre eux par des actes sadomasochistes, vont reprendre leur développement bloqué autrefois et redevenir hétérosexuel. Alors pourquoi donc l’hétérosexualité existe ? Parce que c’est le processus naturel d’identification biologique. L’homosexualité est une souffrance, donc une déviance, une fixation aux premiers stades de l’enfance et c’est un dérivé des perversions narcissiques. Dit simplement l’hétérosexualité est le processus naturel des stades de développement de l’enfant qui ont été identifiés et qui se mettent en place dans une relation respectueuse et aimante des parents vis à vis de leurs enfants ainsi que des parents entre eux. Car, comme l’explique Alice Miller, par rapport à l’enfance des grands criminels de l’humanité, l’enfant enregistre tout et refoule si besoin ce qui déplait aux parents pour répondre à leurs besoins afin d’être considéré et respecté. Et il reproduira ce qu’il a subi. Par refoulement et projection, il peut devenir une adulte dangereux pour lui et pour l’autre si son cadre éducatif le fut pour lui. Pour être encore plus simple, le Soleil brille pour que la Terre enfante... Nous, humains sommes les enfants du Soleil et de la Terre en plus d’ être des enfants de Dieu. L’homme, la femme, leur union donne l’enfant, et c’est ainsi. Tout nous porte vers l’hétérosexualité. Et si le développement d’un enfant n’est pas trop perturbé, il devient automatiquement hétérosexuel une fois adulte. Aucun animal n’est homosexuel sauf si leurs conditions de vie sont bafoués, détruites ou perturbés, les animaux réagiront par des comportements anormaux, signe de dégénérescence lié au non respect de leur milieu de vie.

       
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