Emmanuel Macron et Édouard Philippe doivent s’expliquer sur les citations d’Agnès Buzyn révélées aujourd’hui par Le Monde :
Le 20 décembre 2019, Agnès Buzyn affirme avoir averti le directeur général de la Santé J.Salomon sur la situation en Chine.
Agnès Buzyn, alors ministre , averti son directeur
JSalomon, le 20 décembre, et qu’est-ce qu’il
s’empresse de mettre en place le 13 janvier ?
L’interdiction à la vente libre de l’hydroxychloroquine
https://www.legifrance.gouv.fr/eli/...
Qu’est-ce qu’il a dire à ça le franc-mac de
Compétition ?
Le 11 janvier 2020, Agnès Buzyn aurait alerté le président de la République sur la gravité des pneumopathies liées au coronavirus.
Le 30 janvier 2020, Agnès Buzyn aurait averti le Premier ministre sur le fait que les élections municipales « ne pourraient sans doute pas se tenir » face au risque d’épidémie.
Par ailleurs, l’ancienne ministre de la Santé confesse avoir quitté son poste le 17 février en pleurant “parce qu’elle savait que la vague du tsunami était devant nous”. Elle conclut ses propos en reconnaissant que l’épidémie causera “des milliers de morts”.
Si ces déclarations sont véridiques, elles mettent clairement en cause la responsabilité d’Emmanuel Macron et d’Édouard Philippe dans l’absence de réaction dont découlent la crise sanitaire et ses victimes. En effet, ce n’est que deux mois après avoir été informé par Agnès Buzyn que le président de la République aurait enfin agi, le 12 mars, en prenant les premières mesures concrètes face à l’épidémie.
Si ces informations se confirmaient, l’inaction d’Emmanuel Macron et d’Édouard Philippe les rendrait coupables non-assistance à peuple en danger. »
Voilà, ce que je retiens, une pandémie organisée
et des acteurs comme Merluche pour rassurer .
Je ne l’ai pas entendu demander
une enquête sur le clan Buzyn-Lévy.
La France soumise ne parle pas de toutes les
lois et décrets votés en catimini à l’Assemblée.
Tout ça n’est que du théâtre.