Vous révélez ici ce que les gnostiques ont tenté d’éveiller depuis toujours en transmettant autant que possible la Tradition primordiale. L’humanité actuelle en sa majorité n’est pas prête pour accueillir en elle et en chacun ce message car elle projette à l’extérieur ses propres considérations, peurs sur le monde extérieur lequel la renvoie à son erreur de cible - sens réel du mot péché. Il n’y a pas plus grande erreur que l’ignorance, pas celle des cursus scolaire et universitaire mais celle d’être privé de la Gnose, tant spéculative qu’opérative. C’est là le drame, la tragédie de notre époque.

@Le grand Charles

Vous confondez le Créateur avec la Créature. Dieu ne peut pas être en nous puisqu’il nous a créé. Il est donc nécessairement extérieur à nous.

L’incarnation et l’union sont deux croyances blasphématoires en Islam. Cela signifie que Dieu s’incarne dans certaines de ses créatures et s’unit à elles.

@Titus.
Dans votre critique de Mr. Le Grand Charles, vous commettez l’erreur magistrale que font la plupart des gens imprégnés de religion, c-à-d ne pas (encore) voir que Dieu et sa Création sont la même chose. Lorsque vous aurez réalisé Cela, vous aurez gagné votre place au paradis. Je suis pour ma part très heureux de voir que Le Grand Charles se dit de culture musulmane. Voilà quelqu’un qui parvient à se dégager du dogme religieux et qui plonge dans l’essentiel. Ceci est la voie royale pour la Réalisation. Oubliez donc qui vous croyez être, et vous verrez !

Titus vous dites "Vous confondez le Créateur avec la Créature. Dieu ne peut pas être en nous puisqu’il nous a créé. Il est donc nécessairement extérieur à nous. "

Nos parents nous ont créé. Et leurs gènes vivent en nous. Ces gênes qui nous donnent nos caractéristiques physiques, et qui font que nos parents nous créent à leur image.

Pourquoi ce besoin de se reproduire si ce n’est pour continuer à faire vivre notre patrimoine génétique à travers nos enfants ?

SI nous nous voyons comme des bébés en gestation. Et que la mort est LA vrai naissance. Rappelez vous que l’embryon dans l’utérus est lié par son cordon ombilical à sa mère, et donc que l’enfant ne fait qu’un avec elle... Elle le nourris sans même qu’il en ai conscience.

Le bébé ressent la présence de sa mère, il l’entends parfois mais ne la comprends pas, il ne peut la voir, ou sentir son odeur, et pourtant elle est là tout autour de lui et ne faisant qu’un avec lui... Elle est tout son monde et pourtant il ne le sait pas.

Le créateur est il dans chacun d’entre nous et dans tout ce qui nous entoure ? Personnellement j’en suis intimement convaincu. Comme l’enfant en gestation dans sa Matrice (uterus), je pense que nous sommes dans la matrice de dieu, et que nous ne faisons qu’un avec celle ci, et donc avec lui.

@Le Grand Charles
Dieu est un être personnel qui n’a pas besoin de la création pour exister. Nous sommes créés à l’image de Dieu, mais pour avoir Dieu en nous, en être le tabernacle, le temple vivant, il faut être sans péché, car Dieu n’est pas, volontairement, ou le mal est. D’où la phrase du Christ : soyez parfait, comme le Père est parfait. Cela ne veut pas dire que nous devenons Dieu, mais qu’Il est avec nous. Pour ce faire, il est obligatoire d’en passer par le sacrifice du Christ, qui rachète et libère du péché originel, et par le regret sincère des péchés personnels. Très peu nombreux sont les Hommes parfaits, le Christ, Marie, Jean le Baptiste, quelques apôtres, quelques saints, et peut être quelques illustres inconnus, mais guerre plus. Nous sommes aussi chair, en plus d’être conscience, et cette chair à un début et une fin, elle née et elle meurt comme tout ce qui est matière, elle est dite mortelle. L’âme, elle, a un début et pas de fin. Elle est créée par Dieu à la création de notre chair et passera son éternité près de Dieu, ou très loin de Lui, elle est dite immortelle. Tout ce qui existe, existe depuis toujours seulement dans la pensée de Dieu, mais n’est existant de facto qu’à partir du moment où Dieu l’a voulu. Dieu est Seul à être incréé, il n’a ni début, ni fin, il est dit Eternel.

@Enki
L’ignorance involontaire n’est pas un péché. Le péché est définit par la notion d’acceptation du mal. Je sais que c’est mal et je le fais quand même : c’est un péché. La morale personnelle nous fait intrinsèquement savoir que ce qu’on fait est bien ou mal, et si le doute existe, il y a la Loi de Dieu qui met les points sur les i. (Le décalogue et les deux commandements parfaits du Christ la résume.)

Grand Charles
Vous pouvez vous trouver le dogme qui convient à votre personne en l’appelant cmme bon vous semble, ça reste un dogme. ne pas oublier la notion de ce qu’est Dieu, il nous a été révélé par des prophètes porteurs d’un message, c’est indéniable. Se dire vivre en dehors des religions tout en invoquant un Dieu sur mesure, ce n’est plus de Dieu que vous parlez, mais d’une entité inventée pour le soulagement des âmes incompatibles avec l’esprit monothéiste, ça ne me pose aucun souci. Par contre le dénigrement de ceux dont la croyance consiste en deux choses, la soumission et l’adoration de Dieu, on peut développer, ces deux notions sont réductrices, car la profondeur émanant de la soumission et l’adoration du puissant incluent des valeurs bien plus humanistes, dans le sens altruiste du terme. Quand les dogmes sont bien compris
Je ne peux m’empêcher de croire à un individualisme de votre définition de la croyance, la dimension sociale est importante dans toutes les religions, en sortir pour s’inventer un confort moral revient au résultat de la révolution française, un relativisme avec comme objectif, singulariser l’homme aux milieux de ses semblables.

En lisant "La physique de l’âme" de P Guillemant tu auras peut être la réponse ...

Je pencherais plus du côté de celui qui a voué sa vie à Dieu que celui qui a voué sa vie à tout autre chose , point de vue qui est le plus proche d’une certaine vérité fondamentale qui ressort de ses études de toute une vie.
Même si il s’arrête à la Révolution comme début de la déstruction de la foi commune, alors que si on ose aller un peu plus loin on réalise que le Protestantisme né dans les Cévennes sous Louis 14 avait toute sa raison d’être vu ce qu’était devenu la Royauté et le Clergé Catholique envers leurs brebis... La Révolution n’est pas sortie d’un chapeau de magicien, lire Histoire des pasteurs du déserts pour ceux qui veulent sortir de leurs méconnaissance de l’Histoire de France catholique envers ses chrétiens les plus proches du Christ ainsi que de tout les prophètes d’Israel , et donc du véritable Saint Esprit.

@boomax
La révolution est sortie des LOGES. Lire "La conjuration antichrétienne" de Monseigneur Henri Delassus en vente ici même sur Kontre Kulture.

@adam

"Un peu de sciences éloigne de Dieu, beaucoup en rapproche" disait Louis Pasteur.

La biologie et la physique ne peuvent parler que des causes secondes, pas de la cause première qui a créé les lois physiques.

En réalité, la vraie science, i.e. celle qui est vérifiable et vérifiée, pointe vers une intelligence créatrice.
On sait par exemple qu’il n’existe aucune pforce physique capable de créer un être vivant, même unicellulaire, à partir de matière inerte, de même qu’il n’existe aucune force physique capable d’assebler un aribus à partir de ses pièces détachées...
Si c’était le cas, la mort n’existerait pas... Même le plus fou des scientistes ou le plus crétin des athées n’ose pas nier l’existence de la mort.

Titus , tout atheo scientiste te dira que la mort existe, mais tout humain ayant prit réelement conscience de lui même par la Résurrection de son âme te dira que la mort n’existe pas méta physiquement parlant, seulement une éternelle recomposition sub atomique d’un état d’être à un autre. La décomposition/ recomposition chimiquo-organique est ce qui défini "la mort " d’un organisme, ou bien les odeurs de pestilences cadavériques comparée au parfums printaniers des essences florales , mais ça ne prouve en rien que la mort ai la moindre existence tangible face à l’éternité du vivant. C’est seulement un état observable d’un état non viable à un état plus ou moins mystérieux car non expérimenté par l’observateur , même si la mort expérimentée en tant que telle tant que le sujet de l’expérience est encore en vie est souvent proche d’une expérience très douloureuse, souvent certes , mais pas toujours, pour certaines personnes la mort est vécu comme une expérience plus vivante que n’importe quel autre qui s’imagine bien vivante alors qu’elle serait peut être objectivement vu comme "non vivante" , pour celui qui a sur-vécu à cette illusion métaphysique , par exemple le Christ pour citer celui qui connait le mieux ce sujet douloureux.