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Pour son intervention dans l’affaire Daval, le bonnet d’âne revient à Marlène Schiappa

On n’a pas à plaquer des globalités sociologiques sur l’absolue singularité de cette tragédie.

 

[...]

Le bonnet d’âne est pour Marlène Schiappa qui s’imagine que l’ignorance dans le domaine de la Justice lui donne d’autant plus de droits pour donner un point de vue que personne ne lui a demandé.

Elle mentionne un « assassinat », se trompe donc sur la qualification pénale et s’autorise un commentaire et une dénonciation inopportuns alors que ses collègues du gouvernement, en particulier la garde des Sceaux, n’ont jamais, sur quelque dossier judiciaire en cours que ce soit, usé de cette choquante liberté. Christophe Castaner vient de lui rappeler « qu’un ministre n’a pas à commenter une affaire judiciaire ». Je ne serais pas hostile à ce que le Premier ministre rajoutât sa propre réprimande.

C’est tout simple.

J’ai cru comprendre que dans le premier semestre 2019, cette affaire serait jugée par la cour d’assises. Il s’agit d’un crime particulier dont les ressorts n’ont rien à voir, même si la victime est l’épouse, avec un quelconque « féminicide » ou les terrifiantes statistiques d’une femme tuée tous les trois jours à la suite de violences ordinaires et quotidiennes. On n’a pas à plaquer des globalités sociologiques sur l’absolue singularité de cette tragédie.

Il y a des mystères que seule la justice criminelle parviendra à dissiper.

Lire l’intégralité de l’article sur huffingtonpost.fr

L’improbable Marlène Schiappa, sur E&R :

Ce que Marlène ne peut pas comprendre, chez Kontre Kulture :

 






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27 Commentaires

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  • Quand je vois le mari , silhouette frêle presque enfantine j" ai de la peine pour lui , il n’ a rien d’un homme violent, autoritaire, irascible .. il a dû avoir un coup de sang tellement son épouse se prenait pour un homme..
    la force physique d’ un homme (surtout quand il s’ énerve) vs l’ hystérie.. qui gagne ?

     

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  • #1892142

    Allez Marlène dégage, c’est l’heure !

     

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  • Cette affaire rejoint en tout point ce qu’Alain Soral explique depuis des années. Dans un couple, la femme opprime psychologiquement et émotionnellement, l’homme opprime physiquement. Après la goutte d’eau qui fait déborder le vase, il finit par péter les plombs, et là... lui n’aura pas d’excuse au yeux du "public".

    Surtout que cette situation découle évidemment du féminisme : gonzesse à culotte qui naïvement (et malheureusement) pense qu’elle peut agir en "égale" de l’homme (voire plus supérieure), lui n’étant que le castré (il était littéralement infertile)... jusqu’à ce que l’homme la traite comme n’importe quel homme (violence physique à l’encontre de quelqu’un qui fait chier). Bref... et le pire de tout ça, c’est que ce même féminisme vient faire le charognard sur le cadavre de cette pauvre fille... Et dire que ce féminisme n’existerait même pas s’il n’y avait pas les médias pour l’entretenir artificiellement...

     

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  • Elle serait pas cousine avec leonarda ?

     

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  • Marlène, c’est l’Ishtar des temps modernes : immisce-toi avec elle sur quelques coups fourrés et voilà que tout est inversé. La bipolaire du désir masculin sans vouloir en subir l’emprise, qui fait partie de l’ordre et génère le bazar. Un boucan en somme, puisque plus rien n’est sacré de nos jours (enfin les leurs).
    Mais plus près que les mythes mésopotamiens ou babyloniens, cette envie maladive de briller au firmament au gré de ses interventions en va-et-vient assaisonnées aux concepts du « plus c’est gros et mieux ça passe », devrait la pousser à approcher les rites siffrédiens.

    Quelqu’un pour lui faire dire 33 à la gironde ?

     

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  • On dirait Dalida sous cortisone.

     

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  • Affaire ultra médiatisée à mettre en perspective avec celle de Lelandais.

    Dans cette dernière, les fuites ont dégouliné très tôt, Jaku a été obligé de faire son show sur BFM et puis plus rien ou presque, en tous les cas à part un laconique "Lelandais a réponse à tout" et des interrogations quant à son possible statut de serial, pas grand-chose à se mettre sous la dent.

    Sur l’autre affaire, c’est l’inverse, c’est parti doucement avec un flou médiatique consubstantiel à un manque de retour sur l’enquête, puis cascades de fuite sur les aveux du mari en interrogatoire sous méthodologie canadienne, révélations qui n’est plus une surprise en république de tribunaux médiatiques, plus quant à révéler la teneur des insultes par SMS et la bagarre meurtrière, bref le prétendu mobile serait déjà connu, avec l’avocat de la défense déjà dans les cordes avec un présumé coupable sur les bras.

    Effectivement, la procureur de la République a des raisons de vouloir remettre l’église au milieu du village, car on ne peut pas s’empêcher de penser que le système politico-judiciaire joue pleinement son rôle dans deux faits divers distinctes, plus empressé de démontrer que le patriarcat est violent avec les femmes, ce qui rejoint le hype téléguidé du hashtag "balance ton porc", que de s’inquiéter de la pédophilie rampante et galopante sous forme de réseaux et dans l’hexagone.

    Le décalage dans le temps des fuites et dans les deux affaires, est aussi à analyser à l’aune de cette hiérarchisation des intérêts du moment, concourant à la manipulation des foules et plus grave, à l’instrumentalisation du juridique.

     

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  • Marlène, ce genre de pintade qui se croit arrivée à l’Olympe de la pensée et donc autorisée à nous imposer sa logorrhée féministe de petite marquise arriviste qui en d’autres temps se serait vue livrée à la soldatesque ou, au pire, aurait été guillotinée.
    Quant à l’affaire Daval encore un exemple pitoyable et triste de la guerre larvée des sexes (ou des genres).
    Un conseil aux hommes qui seraient tentés par la violence envers leur compagne pimbêche et agressive : FUIR, QUITTER, PLAQUER, DIVORCER, ne serait-ce que pour sauver son âme de la damnation éternelle.
    Quel monde et quelle société française où vraiment tout est fait pour que règne l’enfer !...

     

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  • En principe, le ministre qui peut intervenir dans toutes les affaires judiciaires (criminelles ou non), c’est le ministre de la justice selon certaines formes. Il donne des instructions à ses procureurs. C’est normal. Gardons-nous d’une vision à l’américaine de la procédure pénale. Le ministère public est une partie.

    En fait, ce qu’on peut reprocher à ce ministre, c’est de s’être totalement affranchie des formes et, en effet, comme ministre elle est tenue (au contraire des citoyens qui n’y sont pas tenus et qui pensent ce qu’ils veulent) par le mécanise judiciaire de la "présomption d’innocence". En plus, une déclaration gouvernementale pareille aurait été impensable à une époque où les ministres avaient quelques lumières en droit.

    En droit pénal, la forme est plus importante que le fond.

     

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  • Schiappa à une excuse c est une conne pur jus et je pèse mes mots !

     

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