La vidéo suivante est en anglais, mais sous-titrée en anglais, donc largement accessible pour les plus anglophobes d’entre nous. Il s’agit d’une vidéo à double lecture. Puisque Hitler est nécessairement le méchant, on imagine que la gauchiste est décrite aussi comme telle (ce qui est très probablement le projet de l’auteur). Mais si l’on admet que la lutte propalestinienne de la militante est bien la seule chose à mettre à son crédit, alors la conclusion s’inverse... Dangereux !

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Oui, avec l’image d’illustration, on a un peu divulgaché la chute de la vidéo, mais ce n’était pas non plus un chef d’oeuvre du cinéma policier. Pour se faire excuser, parce que c’est dimanche et que c’est un peu relâche, voici un bonus sans rapport aucun (encore que) : un bel exemple d’hybristophilie. Comme dans la vidéo ci-dessus, les femmes ne cesseront donc de nous étonner.

Nordahl Lelandais (qui se fait désormais appeler Périnet, nom de jeune fille de sa mère) a été condamné le 19 septembre 2025 par le tribunal correctionnel de Colmar à un an de prison ferme pour des violences conjugales commises sur sa compagne lors d’un parloir en prison le 9 juin, en présence de leur fils âgé de moins de deux ans.

Sa compagne de 33 ans, qui s’est exprimée pour la première fois publiquement dans Le Parisien, conteste avoir été victime de violences et affirme que les gestes de Lelandais - saisie du cou et traction des cheveux - étaient censés simuler une agression pour lui montrer les dangers du jogging seul, ne reflétant pas leurs relations habituelles.

Le tribunal a également retiré à Lelandais l’autorité parentale sur son fils et lui a interdit tout contact pendant trois ans, malgré les demandes de la mère qui souhaitait préserver le droit de son enfant « d’avoir un papa ».

La compagne, qui était tombée amoureuse de Lelandais par correspondance lors de ses études de droit, déclare : « Je sais que le criminel existe, mais je vois aussi l’autre Nordahl, je suis tombée amoureuse d’un être humain ». L’audience s’est tenue à huis clos à la demande du couple et de l’avocat représentant l’enfant, le tribunal souhaitant préserver les intérêts du mineur face à l’hypermédiatisation de l’affaire.