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Réchauffement climatique : la découverte de Zeller et Nikolov peut-elle bouleverser le monde ?

La nature a créé la relation mathématique fondamentale maintenant connue sous le nom de E = mc2. Un résultat mathématique, s’il est prouvé, est un phénomène réel ; aussi réel que de trouver un diamant dans un lit de rivière. La nature crée des relations mathématiques fondamentales ; les humains ne font que les découvrir.

 

La découverte mathématique simple et limpide faite par les Drs Karl Zeller et Ned Nikolov a de nombreux ennemis. Si leurs conclusions sont avérées exactes, les industries éolienne et solaire pourraient faire faillite et faire pression sur les politiciens pour qu’ils mettent fin aux mandats relatifs aux biocarburants. Cela embarrasserait la plupart des politiciens et presque tous les climatologues, même ceux qui pensent que le dioxyde de carbone n’a pas d’effet significatif sur la température de la Terre.

La découverte climatique de Zeller-Nikolov utilise les données officielles de la NASA pour quantifier les températures moyennes des corps satellites à surface dure en orbite autour de notre Soleil. La formule n’est pas applicable aux planètes gazeuses : Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Zeller et Nikolov déclarent pouvoir déterminer la température moyenne à long terme de Vénus, de la Terre, de Mars, de Titan (une lune de Saturne) et de Triton (une lune de Neptune) en utilisant seulement deux valeurs informatives : leur distance au Soleil et leur pression atmosphérique.

Zeller et Nikolov ont constaté que la composition gazeuse des atmosphères n’était pas essentielle pour déterminer les températures moyennes à long terme. Par exemple, l’atmosphère de Vénus est composée à 96,5 % de dioxyde de carbone, alors que l’atmosphère terrestre ne contient que 0,04 % de dioxyde de carbone, mais ces différences considérables n’ont aucune incidence sur les calculs mathématiques nécessaires pour déterminer les températures moyennes. Cette preuve mathématique nous dit que même si Vénus a 2 412 fois plus de dioxyde de carbone que la Terre, mesurée en pourcentage de son atmosphère, le CO2 n’a aucun effet mesurable sur sa température moyenne à long terme. Zeller et Nikolov affirment que le dioxyde de carbone et tous les autres gaz atmosphériques ne contribuent à la température que par leur masse physique et la pression atmosphérique résultante.

La découverte de Zeller-Nikolov signifie que l’atmosphère de la Terre nous maintient au chaud grâce à un chauffage par compression de gaz sous le poids de l’atmosphère de la Terre, d’une épaisseur d’environ 300 milles, et non par effet de serre.

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80 Commentaires

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  • ca a ete demonté plein de fois, comme bien d’autres dogmes d’ailleurs, que ces messieurs aient raison ou non, ca n’empechera malheureusement pas les puissants de continuer, la science est morte, elle revivra peut-etre un jour, mais pour le moment elle est morte

     

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  • Ça ne change pas grand chose à la pollution de l environnement qui fait crever les plantes les bestioles et nous rends malades..,

     

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  • E. Burnouf (1801-1852) dit, après avoir parlé de la faculté de concevoir la vérité absolue dont les mathématiques ne sont qu’une partie :
    « Les mathématiques pures n’ont qu’une très faible portée philosophique et s’accommodent de tous les systèmes. Les quantités qu’elles ont pour objet sont les diverses formes de cette possibilité d’être que les Asiatiques ont appelée Mâyâ et que Platon nommait aussi la Mère, le lien, la dualité. Or, quelle que soit la métaphysique à laquelle on s’arrête, cette Mâyâ est la condition inévitable de tout phénomène réel ou seulement possible ; elle a donc en elle quelque chose d’absolu ; c’est ce qu’avaient compris les Indiens et Platon ».
    Le grand prestige qui est resté attaché aux sciences exactes et aux méthodes mathématiques vient de ce que c’est pendant l’époque de vérité qu’elles ont pris naissance. Depuis, on a gardé les mots, mais on n’a plus compris la profondeur des lois trouvées par ces méthodes.
    La Terre, l’Espace, l’Univers

     

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  • Sans la distance au soleil, ils auraient simplement redécouvert la loi de Boyle-Mariotte, 1ere année de physique.

     

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  • #2158627

    "Zeller et Nikolov affirment que le dioxyde de carbone et tous les autres gaz atmosphériques ne contribuent à la température que par leur masse physique et la pression atmosphérique résultante."

    Admettons que cette proposition soit vraie. Il faut donc bien cette masse de gaz pour créer la température ambiante actuelle, et une augmentation de cette masse créera une augmentation de la température ambiante. Ce qui implique qu’une augmentation de la masse de CO2 augmente la température. Or, depuis la révolution industrielle, l’homme de par ses activités, qui dépendent en majorité de la consommation de sources d’énergie fossile, produit du CO2 en très grande quantité jusqu’à nouvel avis. Donc, l’homme contribue à l’augmentation de la température de l’écosphère.

    D’autre part, même si l’on met de côté cette question de l’augmentation de la température et même si tout ce que je viens de dire ne tient pas, il y a tout le reste. A savoir,

    - les déchets nucléaires dont on ne sait que faire et qui resteront radioactifs pendant des centaines de milliers d’années et qui devront constamment être gérés ;

    - la disparition accélérée des espèces animales et végétales, en particulier, la sur-pêche des océans qui prive des régions entières des mers de leur vie et menace la survie des espèces sur-pêchées (même le requin est menacé, c’est dire !) ;

    - la raréfaction des matières premières, des combustibles fossiles et de l’eau ;

    - la pollution généralisée, c’est-à-dire de la terre, de l’eau et des airs, en particulier la plastification et l’acidification des océans et d’autres corps d’eau ;

    - l’appauvrissement constant des sols par l’utilisation intensive de fertilisants chimiques qui tuent les milliers de petits êtres vivants et d’enzymes qui constituent une terre nourricière, donc la diminution des récoltes, donc, à terme, l’augmentation des populations en état de malnutrition, etc.

    Or ce sont cette destruction et cette perturbation massive des conditions matérielles de notre survie et de celle des autres êtres vivants qui devraient mettre la mesure à l’ordre du jour. Car oui, nous dépendons entièrement des autres vivants avec qui nous partageons cette terre : nous ne sommes pas simplement les "acteurs rationnels" de l’économisme autiste régnant (qu’il soit marxiste ou orthodoxe, d’ailleurs) ou les joyeux consommateurs égalitarisés de force par le mondialisme non moins autiste. La bulle gigantesque qu’est l’industrialisme est au seuil de l’explosion.

     

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  • La science du climat est devenue un outil de pouvoir politique orwellien et une énorme activité lucrative pour les scientifiques, les professeurs, les universités, les employés des gouvernements fédéral et des États et de mille et une entreprises écologiques. Il suffit de penser aux milliards de dollars consacrés au « réchauffement de la planète » et aux faux remèdes prescrits.
    Les vrais scientifiques savent que vous ne pouvez pas contrôler la météo avec des éoliennes et des panneaux solaires, pas plus que vous ne pouvez contrôler la météo avec des boules de bowling et des statues d’hommes politiques décédés. Pourtant, la lubie coûteuse et impraticable des énergies renouvelables continue. Les capitalistes et les politiciens ambitieux mais naïfs sur le plan scientifique, d’Alexandria Ocasio-Cortez à Beto O’Rourke, en passant par le milliardaire Michael Bloomberg, veulent que les contribuables dépensent des milliards de dollars en programmes énergétiques qui ont déjà augmenté le coût de la nourriture et de l’énergie dans le monde entier.
    Ce qui précède est tiré de la fin de l’article et mérite d’être souligné, n’est-ce pas ?

     

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  • Rappelons que le "réchauffement" n’est OFFICIELLEMENT que de 0,6°C dans le monde sur le dernier siècle... Et encore il y a une marge d’erreur car on avait tout simplement pas les même moyens de mesure au début du XXe siècle. Tout le reste n’est que conjectures invérifiables...

     

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  • Honnête nouvelle scientifique !
    Malgré tout nous entrons dans un moment spécifique de la fin d’un certain temps où le climat aura comme la Nature ses manifestations. Nous entrons dans la fin du cycle de précession des équinoxes.
    Nous savons que les pôles magnétiques vont vers leur basculement. Ils se sont déplacé en deux siècles de 10 à 15 degrés, ce qui a obligé tout récemment la navigation maritime et aérienne ( en priorité militaires) à devoir recalibrer leurs instruments.
    Il est noté que le pôle Nord est entrain de fondre (révélant ainsi certaines choses), alors que le Pôle Sud semble au contraire épaissir et épandre sa glace. Cela sera le phénomène mécanique pour que l’axe vertical de la Terre retrouve son origine. En effet celui-ci a été décalé, désaxé, et à son image nous sommes également désaxés, période d’involution oblige. En se redressant, nous allons être « redressés », davantage « reconnectés ».
    L’involution rime avec matérialité, densité, contraction. La terre commencerait à se dilater, ce qui ne manque pas de créer des tiraillements : réveil des volcans, tremblements de terre, etc.

     

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  • #2158966

    Je conseille à ceux que ça intéresse la lecture du livre de Jean-Marc BONNAMY : " Réchauffement climatique - Le pavé dans la mare ! - Le CO2 innocent : la preuve." Ed. L’Harmattan (17.50€)
    Ce bonhomme ne sera jamais invité sur un plateau télé face à un membre du GIEC. Il le ridiculiserait avec quelques vérités scientifiques de base.

     

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  • C´est quand meme terrible ces gens ne connaissant rien à la Physique se permettant de parler de Physique. c´est vraiment un phenomene moderne.
    Non la nature ne crée pas de relation mathematique. l´humain les crée pour modeliser des phenomenes constitutifs de la nature. Un resultat mathematique n´est jamais réel. C´est une sorte d´approximation qui permet de modeliser et de predire ce que la nature fait. Un model mathematique appliqué à la physique est toujours faux ou limité dans sa validité.

     

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    • salut Daniel,
      justement, je ne pense pas. Un résulat mathématique est une vérité intrinsèque à la nature, qui ne dépend pas de nous, les humains.
      Un cercle aura toujours un rapport circonférence/diamètre égal à Pi, quel que soit l’endroit, le temps et les conditions. C’est donc une réalité fondamentale de la nature. De même, un problème mathématique aura toujours la même solution, qu’il soit posé ici sur Terre, ou dans 10 milliards d’années dans un univers parrallèle. C’est le language qui change, l’écriture du problème, mais pas son expression en tant qu’idée, en ce moment dans ta conscience.

       
    • Non, les mathematiques sont un pur systeme né du cerveau humain.
      La nature les ignore. Pourquoi peut on modeliser certains comportements naturels avec des mathematiques est un mystere.
      L´origine des postulats de la physique quantique ou les equation de l´electromagnetisme decrivent les phenomenes observés, mais personne ne peut expliquer pourquoi.

       
    • hello Daniel,
      merci de ta réponse,

      Oui je suis d’accord avec toi sur l’exemple des champs magnétiques, que l’on peut décrire, mais dont on ne connait pas la nature profonde. Mais ce dont tu parles, c’est de la physique, pas des mathématiques dont nous parlions avant. La physique, c’est des maths + de l’expérimental. Et donc oui, une part d’"invention" humaine, d’interprétation.

      Les mathématiques ne contiennent pas d’expérimental, c’est l’exercice de la raison pur et ça, c’est universel, intemporel, c’est une réalité de la nature.
      Les mathématiques sont donc l’outil de notre conscience pour découvrir des vérités inaliénables, indépendamment de toutes perceptions humaines.
      Vouloir relier ces vérités au monde qui nous entoure, via l’expérimentation, est le boulot des physiciens.
      exemple : si je te demande de penser à un cercle. Tu peux imaginer un cercle parfait. Ce cercle parfait que tu imagines, tu ne l’as jamais vu, il n’existe pas dans notre monde. Mais ta conscience, via une définition mathématique (l’ensemble des points à équidistance d’un autre point), peut le concevoir sans problèmes. Tu viens donc, en visualisant ce cercle, d’accéder à une connaissance, uniquement via l’exercice de ta raison.

       
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