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Stéphane Édouard : "Ma réponse à JC Kaufmann, le BHL de la sociologie"

C’est avec beaucoup d’humour et des extraits bien sentis que le sociologue Stéphane Édouard se défend des accusations du « sociologue des courants d’air » Jean-Claude Kaufmann.

 

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L’affaire Kaufmann/Édouard, sur E&R :

 






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20 Commentaires

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  • #1907276

    Le BHL de la sociologie = excellent et juste ;-)
    Ces universitaires bénéficiant de privilèges se croient au-dessus de tout.
    En tout cas, Stéphane Édouard vous avez su le remettre à son juste niveau.

     

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  • #1907277

    Après Jean-Claude, un petit coup de Philippe Corcuff et t’as juste envie de mourir pour que ça s’arrête.

     

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  • #1907307

    Habillé pour l’hiver le "sociologue des courants d’air". Ça tombe bien, le froid russe arrive !

     

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  • #1907342

    Même si il bénéficie du tamtam corporatiste et mediathique Monsieur Kaufmann fait partie de ce qu’il est bon de nommer l’ancien monde maintenant. Ce qui ne doit pas l’exempter de rester honnête. Ce billet d’humeur vidéo est une brèche de plus, bien inspirée, ne sentez vous pas cet air frais ? Ce souffle de liberté et de vérité venant disperser les mensonges de l’imposture ?
    C’est beau et ce n’est que le début de ce noble combat qui n’est pas sans en rappeler d’autres ici même. Stephane Edouard est un bon, un très bon

     

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  • #1907348

    Il n’osera pas le dire ou même se l’avouer, mais Stéphane Edouard fait parti de la dissidence, car il s’attaque, et avec brio, dans les arcanes du pouvoir. Même si on tient en horreur le recours à la justice pour faire valoir ses droits, la démarche de Edouard est la meilleure. Retourner l’arme contre ceux qui la manipulent. Ceci est un message fort envoyé à tout dissident. N’ayons pas peur, pas peur d’attaquer. Nos opposants le font sans vergogne, pourquoi pas nous ?

     

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  • #1907357

    Génial, il lui a mis une de ces tripotées !

     

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  • #1907380
    Le 24 février 2018 à 21:21 par Rusty James
    Stéphane Édouard : "Ma réponse à JC Kaufmann, le BHL de la sociologie"

    JC Kaufmann est aux sciences humaines ce que Max Pecas est au 7e art

     

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  • #1907405

    C’est sur youtube sous la vidéo mais je mets le lien direct :

    https://www.hommesdinfluence.com/ar...

    Moustache se fait littéralement écraser, et par là-même, "sa" "communauté universitaire" des sociologues.
    Franchement j’ai même eu pitié un moment, tranche de rire assurée. Mais comment on peut nommer de tels esprits vides à des postes tels que le CNRS ? je m’interroge.

     

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    • #1908094

      J’en ai vu beaucoup des commes-cela.
      Le CNRS est une entité independante, financant sur ses propres budgets ses chercheurs. C’est la meilleure planque pour un chercheur.
      Le recrutement se fait sur un projet. Qui passe devant une commission d’évaluation.
      Si le projet est accepté, le chercheur intègre administrativement le CNRS et va travailler ou il veut. Les universités sont heureuses de les accueillir, car elles bénéficient de l’aura du CNRS sans en avoir la charge financière.
      Le chercheur devient un petit baron. Il est invirable, sauf a quelques exceptions près.

      Et le summum, est qu’il n’a aucune obligation de résultat sur son projet initial. Il a entiere liberté sur son travail et ses recherches (si elles existent).
      En résumé c’est une sorte de concours pour accéder a la retraite le plus tôt possible. A l’université d’Orsay a l’epoque ou j’y étudiais, j’en ai croisé des sacrés specimens qui passaient leur temps a animer le club d’astronomie local, grassement payé sur les fonds du CNRS.
      Heureusement ils ne sont pas tous comme cela, Il faudrait sérieusement se pencher sur l’utilisation des fonds publics pour la recherche et la gestion de ces organismes.
      Mais il faut comprendre que l’on touche au coeur du système. Il ne faudrait pas que les gens avec un QI supérieur se sentent en danger.

       
    • #1909363

      Si je comprends bien le CNRS c’est comme le Conseil Economique et Social, c’est une des meilleure planque de France.

       
  • #1907468

    Drôle d’époque ou les provocations puis les duels s’établissent sur le papier ou à l’écran : je leur préférais ceux, plus chevaleresques, du sabre au clair. Mais tout fout le camp...

     

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    • @Sedetiam
      Vous préférez quand les désaccords se résolvent par les coups, les armes, et le sang ?

       
    • #1907864

      @ S.Z.

      Ça n’est pas tout à fait ce que j’ai voului exprimer : il fut une époque (moins virtuelle que les réseaux sociaux et leur pseudo-réalité) où le type qui désirait tancer un « adversaire » sur la base du n’importe quoi, réfléchissait trois fois avant de s’exprimer, y allait avec des mots choisis, évitait l’outrage (voir même le blasphème pour certains) et encore moins la diffamation. Le faire en dehors de ce cadre de la bienséance chevaleresque, de l’étiquette, était prendre le risque de s’exposer à une facture sonnate et trébuchante. Ainsi donc, le n’importe quoi n’était pas le n’importe comment et avec n’importe qui.
      Pensez-vous que la réalité d’aujourd’hui échappe à cela, comme si nous étions plus civilisés ? Que nenni : nos dissidents ici présents et sur les planches savent ce qu’il en est de relever le défi, quotidiennement.
      Nous parlions ici d’un type qui s’exprime en se planquant derrière sa plume affûtée au CNRS, sachant, pensant (ou se foutant) que son interlocuteur devra la jouer petit bras (vidéo bla bla), l’actuelle fiote de justice à deux vitesses, aidant.
      Gardons bien à l’esprit ce qu’un des appar_tenants du système rappelait à tout un chacun et surtout à l’un de nos dériseurs contemporain le plus renommé : « Après l’injure il y’a la loi et après la loi, il y’a les coups . »
      Comme le soulignait Coluche autre dériseur de son époque : « Alors j’l’invente pas, tout le monde le sait. »
      Moi non plus, je n’invente rien.
      Ainsi donc, ce qui me venait à l’esprit, c’est qu’il y en avait marre de ses types qui se permettent d’affirmer (voire de diffamer) sans laisser aucun droit de réponse aux autres, sous prétexte que tout le monde jacte ici et là, à satiété de sa propre minute de gloire, sans avoir le moins du monde conscience des risques réels, concrets. Au pire, de s’en tamponner.
      Ainsi donc, je veux bien le cynisme des Pierpoljacks, à l’instar de Diogène : à l’unique condition, qu’ils dorment et vivent dans un pithos. Sinon, qu’ils la ferment.
      C’est de cela dont il suffit.

       
  • #1908309

    kaufmachin c’est de l’enfonceur de portes ouvertes puissance 10. Mon Dieu, quel ramassit de poncifs !!! Edouard lui range des cargaison de barquettes de quenelle bien au fond à droite, à gauche, sur le dessus, jusque dans les narines ^^

     

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