Egalité et Réconciliation
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Un migrant qui naît, c’est un Français qui meurt

Le problème de l’immigration massive, personne n’a la clé. Ou plutôt si, mais elle est trône tout en haut de l’armoire, pas vraiment normande, et on est trop petits pour la prendre.

Un migrant qui arrive, c’est un Français qui part

La clé, c’est mettre fin à la politique qui a ouvert les portes de notre pays depuis cinquante ans, puis de l’Europe depuis quinze ans. Nous n’avons plus de frontières, donc plus de protection, et l’Europe non plus, en vérité. On a trouvé un article qui fait froid (on peut même dire chaud) dans le dos.

Dans une tribune au Figaro, Pouvreau-Monti donne une idée du futur de notre pays, déjà bien attaqué.

La décision rendue par la Cour nationale du droit d’asile le 11 juillet dernier, ayant établi que les Palestiniens pouvaient « bénéficier du statut de réfugié » en France, est une nouvelle preuve de l’avancée du programme « d’accueil inconditionnel » souhaitée par les associations, pointe le directeur de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie.

 

Une employée de la CAF nous a confirmé : les droits pour les Palestiniens fuyant le génocide sont ouverts.

Un demi-milliard, ça promet. Si les conditions du droit d’asile n’évoluent pas vite, le grand remplacement d’aujourd’hui, à côté du très grand remplacement de demain, ce sera de la petite bière. Imaginez, des cases sous l’Arc de Triomphe ou la tour Eiffel...

Si la gauche se déclare immigrationniste, la droite se déclare anti-immigrationniste – mais ce ne sont que des mots puisque le grand patronat en a besoin. Il ne sert à rien de refuser trois visas, comme le fait la Retailleau, pour laisser passer 1 000 clandestins pseudo mineurs en fermant les yeux.

Mélenchon, lui, ne tourne pas autour du pot, comme Retailleau : il est carrément pour l’adaptation, autrement dit, de sa propre bouche, la créolisation.

 

 

De l’autre côté, c’est-à-dire côté Français, celui de la vie réelle et pas imaginaire de nos politiques chéris, c’est un autre son de cloche. Face à l’ensauvagement des villes, certains, qui étaient pourtant bien enracinés dans leur sol, songent à quitter les zones devenues dangereuses, ou tout au moins pénibles.

 

 

Parmi les forces vives de notre pays, trois millions de Français sont déjà partis à l’étranger, et il n’est pas certain que le remplacement à l’origine de la fuite de pas mal de cerveaux serve l’économie, au bout du compte. Bompard souligne que 50 % de la croissance sont tirées par la consommation, c’est pourquoi les dirigeants réels de ce pays importent du miséreux, ce minerai humain extrait en Afrique. Mais cela ne remplace pas une classe moyenne, qui produit, et qui consomme dans la gamme du dessus. Si ces migrants forment un jour une classe moyenne, pourquoi pas : tous ne sont pas des racailles ou des sauvages.

On rappelle, à toutes fins utiles, qu’un pays c’est comme une équipe de foot : il a le niveau de son joueur le plus faible. On va voir qu’il y a encore du boulot. Voir par exemple cette campagne de « prévention des risques infectieux chez les migrants », trouvée sur le site du Mans en 2021.

 

 

On termine ce tour d’horizon du problème numéro 2 des Français (après le pognon) sur une touche humoristique, qui va faire hurler la gauche antiraciste. Il existait dans le temps une gauche non immigrationniste, mais elle a été réduite à la portion congrue par les gardiens du Système.

Ce reportage de Brut, plateforme vidéo qui ruisselle de bien-pensance, est un modèle de dérapage inconscient.

 

 

 

On va dire qu’il faut garder espoir en l’homme