Annelise Bocquet est docteur en biologie et enseignante en hématologie et immunologie.

Nous avons déroulé ce tweet qui parle des dégâts des protéines Spike dans le corps des « vaccinés ». Nous n’avons pas retouché sa prose, uniquement reprécisé quelques sigles. Suit une conférence du chercheur Jean-Marc Sabatier, organisée par Virginie Joron.

Le virus sort d’un laboratoire... mais personne ne veut entendre en quoi le virus répond à la définition des armes biologiques au niveau biologique et les impacts sur la Santé.

1er point :

 La résistance aux traitements précoces, dont l’IVM [ivermectine] et l’HCQ [hydroxychloroquine],
 la phase d’incubation de 3 à 5 jours, avec surexpression d’ACE2 [enzyme de conversion de l’angiotensine 2] - ce qui permet au virus de se disséminer dans tout l’organisme (on a - donc et aussi - soigné trop tard),
 puis la latence avec réactivation possible du virus, ce qui pourrait recontaminer les gens ou les réexposer régulièrement au virus.

Le fait est qu’on a aussi soigné l’inflammation sans tenir compte des mécanismes tolérogènes... Ces mécanismes de tolérance expliquent la persistance du virus, celle de la Spike et les covid asymptomatiques.

Ce sont trois points essentiels abordés lors du Space, ci-dessous.

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2eme point :

J’explique le double effet amyloide, avec un cercle vicieux :

 La Spike est amyloide en elle-même (et le virus contient d’autres protéines amyloides),
 elle est amyloidogène - elle fait produire des fibres amyloïdes par l’organisme et induit leur fibrillation, c’est-à-dire l’organisation des fibres sous forme d’un réseau dégénératif amyloïde indestructible,
 et elle peut aussi utiliser les fibres et le réseau de fibres amyloïdes pour accélérer les contaminations et la propagation du virus dans l’organisme. Autrement dit, cela facilite les infections virales avec, à chaque fois, une production de fibres amyloides dégénératives. On est inscrit dans une boucle dégénérative...

 La tolérance immunitaire est en lien avec les propriétés dégénératives amyloïdes. Avec l’ouverture de la barrière hémato-encéphalique et la possibilité d’avoir un réservoir de virus au niveau du cerveau.

Si la BHE [barrière hémato-encéphalique] est ouverte, que la PGP [glycoprotéine P] est inhibée, il y aura des problèmes en lien avec certains traitements suggérés... notamment l’IVM. Je précise que le bleu de méthylène, ce ne sera pas mieux.

https://x.com/AnneliseBocquet/statu...

3eme point :

Il ne s’agit pas que du virus... les injections anti-covid font également produire de la Spike, le GoF [gain de fonction].
Elle est en effet produite par l’organisme lors d’une infection par le SARS-CoV-2 mais aussi après l’administration des produits anti-covid comme Pfizer ou Moderna. Et les quantités retrouvées sont dans les mêmes ordres de grandeur, chez les covid-longs ou les PVS.

https://x.com/AnneliseBocquet/statu...

Reste à déterminer la quantité de Spike tissulaire, en lien avec la biodistribution des nanoparticules lipidiques dans l’organisme... oui, cela diffuse dans le corps.

Comme la Spike (virale ou 2P, dite « vaccinale ») persiste, on aura des effets délétères dans le temps comme le développement des pathologies auto-immunes...

Bien entendu, les pathologies dégénératives aussi se développeront dans le temps. On a un effet cumulatif Spike virale + Spike vaccinale.

En fait, on n’a aucune preuve de l’élimination de la Spike ou du virus après exposition. = Alerte : transfusions de sang et transplantations.

Et les injections anti-covid ne protègent pas du virus... une infection virale par un variant ne permet pas non plus le développement de défenses immunitaires pour contrer un autre variant.

Il y en a qui vous nous arriver dessus.

https://x.com/ThailandMedicaX/statu...

4eme point :

Non seulement on ne développe pas d’immunité efficace ou pérenne mais le SARS-CoV-2 peut réactiver des virus latents dans votre organisme... EBV [mononucléose], CMV [cytomégalovirus ou herpès], VZV [de varicelle à zona], VIH... Cela peut maximiser les dégâts occasionnés.

Cela soulève les problèmes en microbiologie...

Ccl :

1. Il faut que vous surveillez étroitement votre santé.
2. Gardez en tête que les traitements proposés ne sont que des pansements... pas des remèdes miracles.
3. Il faut une approche multidisciplinaire et des coopérations entre médecins et scientifiques...
4. On est tous concernés. Tous, sans exception.

Le danger des « vaccins » à ARN-messager autoamplifiants

L’émission entière avec Sabatier et Joron