Mais "en même temps" [(c) micron], ce que dit Fouché au sujet de l’administration fédérale américaine est fort inquiétant, et révèle que le combat est loin d’être gagné, aussi bien aux USA que dans bien d’autres endroits du monde.
Ainsi, seuls une poignée d’états américains, dont le Kentucky (c’est à dire les péquenauds des péquenauds, pour ceux qui connaissent la politique américaine) seraient en train de se dresser contre la technologie ARN messager dans les vaccins, et l’équipe de JFK jr. serait en train de rendre les armes, au profit d’un "deal" au terme duquel l’état fédéral ne se mêlerait plus de déterminer ce qui est sécuritaire ou pas, et laisserait le champ libre à Big Pharma, en échange de quoi les gens ne seraient pas forcé de se faire administrer quelque produit que ce soit.
Une telle avenue serait dangereuse, puisque Big Pharma n’aurait alors qu’à concocter une autre plan-démie, fournir la "solution", et agiter les médias aux ordres afin d’abandonner cette politique "pro-choix", au nom de la sécurité et de l’économie.
Dans un tel système "pro-choix", qu’arriverait-il aux médecins peu enclins à guider les patients vers les "solutions" de Big Pharma ? Encore des menaces de sansctions professionnelles, ou liberté de choix pour eux aussi ?
On pourrait également redouter une accélération d’une tendance déjà amorcée : multiplication des vaccins multiples, dont un ou la totalité sont à base d’ARN-m, et disparitions des vaccins traditionnels, de manière à forcer les gens à accepter les produits à base d’ARN-m. Si la variole faisait un retour, il y a fort à parier que devant une photo d’une personne infectée la majorité des gens accepteraient de feraient picouzer avec n’importe quoi.
Quelle misère...