C’est la question que l’on se pose, à la direction israélienne du camp de concentration de Gaza. L’occupant, qui veut déporter la majorité de cette masse humaine (mais garder 600 000 esclaves pour le développement de la future colonie), met le paquet pour forcer les gens à partir. Pour cela, une seule arme : la faim.

Mange tes morts !

C’est dingue comme les gens sont attachés à leur terre, quand même : certains préfèrent mourir là, et même se battre, plutôt que de la quitter, comme s’ils étaient enracinés...

Les camions de nourriture sont bloqués aux portes de Gaza ou pillés par les colons, souvent des enfants font ce sale boulot. Le peuple israélien colonisateur est tombé malade de la haine, une pathologie dont on ne se remet jamais vraiment. Ils veulent la mort de ceux qu’on leur présente comme leurs ennemis (un 7 Octobre contre des centaines de 7 Octobre), et des ennemis mortels, alors que ce sont justement les colons, les ennemis mortels. Tout est inversé, tout est retourné, tout est mensonge. Israël, c’est 1984.

« On voit l’épuisement de la population entière, qui est devenue non seulement maigre mais aussi psychologiquement épuisée. »

À part ça, chez nous, tout va bien. Caroline Yadan continue à donner ses ordres au ministre Barrot, qui fait la navette entre Macron et le lobby. En ce moment, avec la reconnaissance de l’État de Palestine (ce qui ne mange pas de pain : un « impact juridique limité », selon France Info) prévue pour septembre, le Jean-No, il va finir déchiré en deux.

« Plus jamais tu laisses passer le mot génocide »

Le mensonge du colonisateur, ici et là-bas, est à la hauteur du massacre en cours. Plus que jamais, Gaza 2025 est Varsovie 1942. Les juifs du quotidien, c’est-à-dire ceux qui ne sont pas mouillés dans l’organisation du génocide, commencent à comprendre que la politique de Netanyahou peut être aussi très dangereuse pour eux.

« Le fait de dire antisionisme égale antisémitisme, ça amalgame juifs et Israéliens... C’est pervers et un peu criminel aujourd’hui parce que
ce qui va se passer, ouais, on va morfler, quoi. »

Sans vouloir envenimer les choser et donner raison à cette Française de confession juive, voici ce qui se dit aujourd’hui à visage découvert, en France, à Nice, cette enclave sioniste sur décision d’Estrosi.

Il est certain que ces tensions extrêmes vont faire craquer la paix civile en France, il ne peut en être autrement, surtout avec la situation sociale qu’on connaît, et qui se résume en : dans quelle poche vont nos milliards ? Toutes les rivières mènent au fleuve...

Et on peut compter sur des commanditaires de l’ombre pour jeter encore plus d’huile sur le feu avec du terrorisme « palestinien » en France, par exemple, ce qui n’a aucun sens politiquement parlant.

On comprend pourquoi trois millions de Français ont quitté notre pays pour travailler ailleurs, même si c’est pour des raisons fiscales, et pourquoi les survivalistes partis dans les montagnes et au fin fond de nos campagnes sont de moins en moins risibles.