La France que nous aimons, elle est morte. Ce pays à présent est un cloaque sociétal, démographique, économique, culturel, politique, judiciaire, religieux, architectural. Elle est irréformable car le peuple est médiocre - pas tout le peuple, bien entendu, aimons les moines et moniales, qui prient pour nous, les bons curés plus nombreux que les mauvais - mais c’est le Vatican qui est mauvais - , nos ingénieurs (trop rares), nos savants (sauf les idéologues), nos mères de familles nombreuses, nos travailleurs, nos bons prof’s, nos militaires si mal commandés, etc. etc. Il faut militer pour qu’advienne une France nouvelle - qui pourrait être monarchique, qui sait, à nouveau catholique ? - dans un Occident récupéré qui retrouverait quelques chose à dire au Monde.
En attendant il faut soutenir la dissidence, en premier lieu E&R (financement participatif ++) et son président (avec son avocat) vers qui vont toutes nos pensées en ses épreuves « CRIF-made » et nous entendrons les vociférations de tribune sans les écouter dont nous espérons que les magistrats sauront s’en déprendre. Rien n’arrêtera à terme la liberté de la Toile, un jour celle des médias alternatifs, contre cet Etat orwellien qu’est devenu ce pays, cet Occident collectif, dans toute l’étendue de cette laideur morale qui a permis d’en arriver où nous sommes, cette corruption omniprésente, idéologique si elle n’est pas financière, ou les deux à la fois.
Encore une fois, pour le temps présent, dans nos contacts sociaux, nommons les choses, soutenons la Russie, la Palestine, l’Iran, faisons le tri pour ce qui vient d’Amérique, bref soyons soraliens de stricte observance et formons barrage, nous aussi « castors », mais du Beau, du Juste, du Bien. (Lisez la péroraison du magnifique éditorial de Jérôme Bourbon dans le dernier numéro de « Rivarol », en accès libre sur le Net.) Comme disent les Maçons - on prend son miel où on peut (!) : « Gémissons, gémissons, gémissons... mais espérons ! ». Salut à toi, Alain, tu es dans nos coeurs et pour ceux qui croient, dans nos prières. Comme dit aussi le cher Xavier Moreau : « Courage, on les aura ! »... à terme. - J.
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