Le premier Badinter, c’est celui que tous les Français abreuvés aux médias – eux-mêmes abreuvés aux forces occultes – connaissent. C’est l’incarnation de la justice, de la droiture, de l’intelligence, de la bonté, de la grandeur, de la démocratie, de la tolérance, bref, une figure, la figure du bien. Il y a aura bientôt des écoles Badinter partout, enfin, peut-être pas des écoles, plutôt des rues, des (...)

La milliardaire-philosophe, soit un cran au-dessus de BHL qui n’est que millionnaire-philosophe, a commencé à dévisser après les attentats de 2015-2016, quand elle a autorisé les Français, du haut de sa rentière importance – « fille de » et « femme de » –, à être islamophobes. En toute logique essentialiste, depuis le début de la guerre Hamas-Israël, elle a pris le parti d’Israël, et dénonce les (...)

À moins que Badinter n’ait été éternel, ce qui nous aurait évité sa panthéonisation, l’annonce du président de la République ne surprendra personne. Quand on envoie Simone au Panthéon, et fête hanoukka à l’Élysée contre tout principe républicain, on peut tout se permettre. À Robert Badinter. pic.twitter.com/Xv2CVjbAWZ — Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 14, 2024 Pas sûrs que les autres (...)

En 2019, invité de l’Envoyé spécial d’une très complaisante Élise Lucet (qui n’en finit pas de payer son émission anti-pédocriminels de l’an 2000 sur France 3) qui lui déroule le tapis rouge d’Intouchable vénéré, Robert Badinter compare un enfant abattu par Mohammed Merah (une affaire extrêmement trouble) avec les commandos de tuerie allemands de 1941 en Ukraine ! Une Ukraine que Robert connaissait (...)